Du mercenariat aux entreprises de services de sécurité et de défense : la question de l'externalisation dans les forces armées françaises

• REMERCIEMENTS
  
• TABLE DES ABREVIATIONS
  
• SOMMAIRE
  
  • INTRODUCTION
    
    • PREMIERE PARTIE - LE MERCENARIAT
      
  • Chapitre 1 - Le mercenariat : approche historique
    
    • 1 / Définition
      
      • C) Acception contemporaine
        
    • 2 / Le mercenariat : de l'Antiquité à l'époque moderne
      
      • A) L'Egypte antique : berceau historique du mercenariat
        
      • B) La Grèce, Rome et Carthage
        
      • a) La Grèce
        
      • b) Rome
        
      • c) Carthage
        
      • C) Féodalité et mercenariat
        
      • D) La Renaissance italienne : la figure du condottiere
        
      • E) Le service étranger suisse
        
      • F) Les corsaires
        
      • G) Le mercenariat : un phénomène « transgéographique »
        
    • 3 / Le mercenariat à l'époque contemporaine
      
      • A) Garibaldi, mercenaire au service de la liberté
        
      • B) D'André Malraux à Jacques Doriot : la figure du volontaire international
        
      • a) André Malraux
        
      • b) Jacques Doriot
        
      • C) L'après-Seconde Guerre mondiale : l'apparition du mercenariat entrepreneurial
        
      • a) David Stirling et les SAS
        
      • b) Claire Chennaut et les Flying Tigers
        
      • c) Bob Denard : le « sultan blanc des Comores37 »
        
  • Chapitre 2 - Le mercenariat : approche légale
    
    • 1 / La notion de mercenaire au regard du droit international
      
      • A) Le premier protocole additionnel aux Conventions de Genève du 12 août 1949, 8 juin 1977
        
      • B) La Convention sur l'élimination du mercenariat d'Afrique, 3 juillet 1977
        
      • C) La Convention internationale contre le recrutement, l'utilisation, le financement et l'instruction de mercenaires, 4 décembre 1989
        
    • 2 / La notion de mercenaire au regard des législations nationales
      
      • A) L'Afrique du Sud
        
      • B) La France
        
      • C) La Grande-Bretagne
        
      • D) Les Etats-Unis
        
      • E) Conclusion
        
    • 3 / Chartes éthiques et codes de déontologie : vers une standardisation internationale
      
      • C) ASIS International ou la certification du secteur de la sécurité aux Etats-Unis
        
• DEUXIEME PARTIE - L'EXTERNALISATION DE LA
  
• DEFENSE
  
  • Chapitre 1 - L'externalisation de la Défense : approche théorique
    
    • 1 / Définition
      
      • A) Externalisation et privatisation
        
      • B) Externalisation et obligations contractuelles
        
      • C) Externalisation et sous-traitance
        
    • 2 / L'externalisation de la Défense : un processus en deux temps
      
    • 3 / Délégation ou perte de souveraineté ?
      
      • A) L'Etat comme décideur ultime
        
      • B) Le risque de la perte de souveraineté
        
  • Chapitre 2 - L'externalisation de la Défense : approche empirique
    
    • 1 / Le budget de la Défense en France
      
      • A) La révolution « lolfienne » : la mission comme unité de vote du budget
        
      • B) Les crédits budgétaires : autorisations d'engagement et crédits de paiement
        
      • C) Budget de la Défense et pensions
        
      • D) Budget de la Défense et PIB
        
      • E) L'évolution des dépenses militaires en France : 1980 - 2010
        
      • F) Le coût de la modernisation technologique : la loi d'Augustine
        
    • 2 / Les domaines susceptibles d'externalisation
      
      • A) Typologie des ESSD par missions
        
      • a) Les sociétés militaires privées
        
      • b) Les entreprises « de soutien »
        
      • c) Les entreprises « de consultance »
        
      • d) Les entreprises « de logistique »
        
      • B) Typologie des ESSD par position sur le champ de bataille
        
      • a) Les military provider firms
        
      • b) Les military consultant firms
        
      • c) Les military support firms
        
      • C) Conclusion
        
    • 3 / L'externalisation en France
      
      • A) Les ESSD françaises
        
      • a) GEOS
        
      • b) RISK&CO
        
      • c) Gallice Security
        
      • d) Surtymar
        
      • B) L'externalisation dans les forces armées françaises
        
      • c) L'Armée de l'air
        
      • C) Coûts et bénéfices attendus de l'externalisation
        
      • a) Approche économique
        
    • 4 / L'externalisation dans les pays anglo-saxons
      
      • A) L'externalisation en Grande-Bretagne
        
      • B) L'externalisation aux Etats-Unis
        
      • C) L'externalisation en Australie
        
• TROISIEME PARTIE : L'EXTERNALISATION DE LA DEFENSE,
  
• UN PROCESSUS AMBIVALENT
  
  • Chapitre 1 - Les avantages de l'externalisation
    
    • 1 / Un complément nécessaire aux armées régulières
      
      • A) La protection des personnes et des biens en zone instable
        
      • a) La protection des entreprises multinationales
        
      • b) La protection des organisations non gouvernementales humanitaires
        
      • B) Une alternative face au désengagement des Etats dans le cadre des organisations intergouvernementales
        
      • a) L'Organisation des Nations unies et les opérations de maintien de la paix
        
      • b) L'Union européenne et la politique de sécurité et de défense commune
        
    • 2/ Une expertise reconnue
      
      • a) La lutte contre la piraterie
        
      • b) Les domaines hyper-spécialisés
        
      • B) Réactivité et flexibilité
        
    • 3 / La possibilité de gains économiques
      
      • A) La nécessité d'une « concurrence libre et non faussée »
        
      • B) Le cas des missions ponctuelles : les ESSD comme « intérimaires » de l'Etat
        
  • Chapitre 2 - Les limites de l'externalisation
    
    • 1 / Limites liées à la souveraineté nationale
      
      • A) La question de la perte de compétences
        
      • a) La réversibilité
        
      • B) L'illusion du « coeur de métier »
        
      • a) L'existence de fonctions hybrides
        
      • b) Un paradoxe : la fragilisation du « coeur de métier »
        
      • c) Conclusion
        
    • 2 / Limites économiques et sociales
      
      • A) La nécessité d'une véritable concurrence
        
      • B) Un intérêt économique encore incertain
        
      • a) Les incertitudes de la Cour des comptes
        
      • b) L'absence de comparaisons objectives
        
      • C) Limites statutaires
        
      • a) La notion de sacrifice
        
      • b) La question de la mobilité
        
    • 3 / Limites culturelles
      
      • A) La sacralisation de la fonction militaire
        
      • a) Soldat-citoyen et mercenaire
        
      • b) Les bellatores ou la noblesse d'épée
        
      • B) Philosophie et catholicisme romain : la critique du profit
        
      • a) La critique philosophique : chrématistique aristotélicienne et réification marxiste
        
• Conclusion
  
  • b) La critique catholique : la condamnation de l'usure
    
  • C) Le protestantisme : la doctrine de la prédestination comme déculpabilisation de la richesse
    
  • a) Luther et la lutte contre les indulgences
    
  • b) La réussite sociale comme signe d'élection
    
• LISTE DES PRECONISATIONS
  
• CONCLUSION
  
• BIBLIOGRAPHIE SELECTIVE
  
  • LIVRES EN FRANCAIS
    
  • LIVRES EN ANGLAIS
    
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  • FILMOGRAPHIE
    
  • ENTRETIENS DIRECTS
    
  • ENTRETIENS TELEPHONIQUES
    
• ANNEXE I : QUESTIONNAIRE SEMI-DIRECTIF UTILISE LORS DE
  L'ENQUETE DE TERRAIN
  
• ANNEXE II : TABLE DES FIGURES ET ILLUSTRATIONS
  
• TABLE DES MATIERES
  
  • EXECUTIVE SUMMARY
    
  • VERSION FRANCAISE
    
  • VERSION ANGLAISE