Dynamique professionnelle et transformations de l'action publique. Réformer l'organisation des soins dans les prisons françaises. Les tentatives de spécialisation de la « médecine pénitentiaire » (1970-1994).

• REMERCIEMENTS
  
• TABLE DES MATIERES
  
• TABLE DES ACRONYMES
  
• INTRODUCTION
  
  • LA DISPARITION DE LA « MEDECINE PENITENTIAIRE » : UNE VICTOIRE DE LA SANTE PUBLIQUE ?
    
  • Les leçons de l'échec italien dans l'analyse de la réforme française : que sont devenus les « médecins pénitentiaires »?
    
  • Une distinction lexicale révélatrice : la « médecine pénitentiaire » en tant que groupe professionnel spécifique
    
  • PRESENTATION DES HYPOTHESES : LA LOI DU 18 JANVIER 1994 COMME « REFORME PENITENTIAIRE »
    
  • Première hypothèse : la loi du 18 janvier 1994 comme issue de la lutte entre « segments professionnels » médicaux antagonistes et acte de décès de la « médecine pénitentiaire »
    
  • Seconde hypothèse : la loi du 18 janvier 1994 comme réforme majeure dans la politique de « décloisonnement » de l'institution carcérale menée par des magistrats-militants
    
  • PERSPECTIVES THEORIQUES : UNE ANALYSE SOCIOHISTORIQUE D'UNE DYNAMYQUE DE SPECIALISATION MEDICALE
    
  • Un pas de côté à l'égard de la sociologie carcérale dominée par la question du sens des réformes et la permanence de l'« institution totale » goffmanienne
    
  • La conception foucaldienne de la réforme pénitentiaire comme instrument de gouvernement : apports et limites
    
  • L'opposition entre segments de médecins pénitentiaires dans la défense de leur autonomie professionnelle
    
  • La spécialisation de la médecine pénitentiaire, au croisement d'une dynamique médicale et des politiques carcérales
    
  • Une spécialisation médicale sous contrainte : le rôle de l'espace public et du scandale dans la définition de la médecine pénitentiaire en tant qu'activité stigmatisante
    
  • Une démarche de sociologie historique de l'action publique
    
  • DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE DU SUJET
    
  • LES SOURCES DE L'ENQUETE
    
  • L'étude des politiques carcérales comme point de départ
    
  • Les limites des entretiens avec le personnel sanitaire
    
  • Une littérature médicale éparse mais précieuse
    
  • Les promesses déçues des archives de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS)
    
  • Un recours décisif aux archives des directions ministérielles
    
  • Un recours ponctuel aux archives privées
    
  • L'utilité d'un croisement de l'entretien et de l'archive en matière d'analyse de la décision
    
• PREMIERE PARTIE 
  
• LA « MEDECINE PENITENTIAIRE » : LES TENTATIVES DE SPECIALISATION D'UNE ACTIVITE STIGMATISANTE
  
  • INTRODUCTION DE LA PREMIERE PARTIE
    
• CHAPITRE 1. LES «ANNEES 68» : CONTESTATION ET POLITISATION DU SYSTEME PENITENTIAIRE ET DE SA MEDECINE (1970-1973)
  
  • Section 1- La prison comme nouvel objet de luttes politiques : le « scandale des prisons »
    
    • 1. De la revendication du régime politique à la dénonciation du régime des prisons : la politisation de l'institution carcérale
      
    • 2. Prisons et journalisme : les conditions de détention désormais au centre des regards
      
  • Section 2 - La médecine pénitentiaire en accusation
    
    • 1. La dénonciation par les militants de la cause carcérale de la prise en charge médicale des détenus
      
    • 2. Des « épidémies » de suicides ? Entre accusés et témoins, les médecins de prison en première ligne de l'actualité
      
  • Section 3 - Les médecins face à l'Administration pénitentiaire : loyauté, apathie, protestation et défection
    
    • 1. De la remise en cause de la psychiatrie asilaire à la dénonciation de la psychiatre pénitentiaire : l'émergence d'un regard critique sur la tutelle administrative
      
    • 2. La contestation des internes de la tutelle pénitentiaire, effet de la politisation des étudiants de médecine après Mai 68
      
• CHAPITRE 2. UN NOUVEL IDEAL CARCERAL ET L'EMERGENCE DE L'IDEE DE « DECLOISONNEMENT »
  
  • Section 1 - Vers une nouvelle considération de la détention : la progressive reconnaissance du détenu comme sujet de droit
    
    • 1. La « petite phrase de Giscard » et l'idée de « droits » des détenus
      
    • 2. De la revendication du droit à la mobilisation des professionnels de la prison : l'émergence d'un nouveau militantisme carcéral
      
    • 3. La reconnaissance d'un «droit à la santé» et le rattachement des détenus à la Sécurité sociale
      
  • Section 2 - Le « décloisonnement » des services de santé pénitentiaires : la perte d'un monopole carcéral ?
    
    • 1. Le « décloisonnement », entre revendication professionnelle et politique publique : la polysémie d'un concept
      
    • 2. La défense d'une médecine pénitentiaire spécifique et l'échec du projet de « décloisonnement total » de l'organisation des soins
      
    • 3. La contestation de la psychiatrie pénitentiaire et son intégration au dispositif de santé mentale : la réforme de 1977
      
• CHAPITRE 3. TENTATIVES ET LIMITES DE SPECIALISATION D'UNE ACTIVITE MEDICALE CONTROVERSEE
  
  • Section 1 - La spécialisation de la médecine pénitentiaire comme réhabilitation d'un secteur d'action publique peu attractif
    
    • 1. Le travail interne de délimitation d'une nouvelle spécialité médicale : la mise en évidence d'une « pathologie carcérale »
      
    • 2. L'inscription de la médecine pénitentiaire au sein du secteur médical français : l'adoption d'une éthique et d'une appellation spécifiques
      
  • Section 2 - Une entreprise de spécialisation entravée : la non-institutionnalisation de la médecine pénitentiaire
    
    • 1. Les exigences contradictoires du métier de médecin pénitentiaire entre Thémis et Asclépios : une identité professionnelle contrariée
      
    • 2. Une spécialisation sous contraintes : la politisation de la critique de la médecine pénitentiaire et de son Inspecteur
      
      • CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
        
• SECONDE PARTIE 
  
• LA REMISE EN CAUSE D'UNE MEDECINE SPECIFIQUE : UNE RECONFIGURATION COGNITIVE
  
  • INTRODUCTION DE LA SECONDE PARTIE
    
• CHAPITRE 4. LES «FENETRES D'OPPORTUNITE» DE REFORME DE LA MEDECINE PENITENTIAIRE
  
  • Section 1 - L'alternance de mai 1981 : les conditions d'une transformation de l'action pénitentiaire
    
    • 1. La gauche face aux prisons : le poids des contraintes carcérales et le renouvellement des hommes
      
    • 2. L'influence d'une « communauté épistémique réformatrice » sur la politique carcérale : la Coordination syndicale pénale (COSYPE)
      
  • Section 2. Les «scandales» comme «fenêtres d'opportunité» de réforme de la médecine pénitentiaire
    
    • 1. L'éviction de Solange Troisier et la suppression de l'Inspection médicale interne : la politisation d'une réforme structurelle
      
    • 2. Du «lanceur d'alerte» à l'«affaire»: les logiques de «scandalisation»
      
• CHAPITRE 5. LES SPECIFICITES CARCERALES A L'EPREUVE DU « DECLOISONNEMENT »
  
  • Section 1- L'organisation sanitaire en prison sous le contrôle des services de la Santé
    
    • 1. L'Inspection générale des affaires sociales, entre légitimation et réforme de la médecine pénitentiaire
      
    • 2. Surveiller et conseiller : l'organisation des soins en prison sous le regard des médecins inspecteurs de santé publique
      
  • Section 2 - La délégation de la santé au secteur privé : la fin d'un monopole pénitentiaire
    
    • 1. Le « Programme 13.000 » et la délégation de gestion à des groupements privés : une forme de décloisonnement ?
      
    • 2. La « boîte noire » de la médecine pénitentiaire à l'épreuve de la rationalisation de l'organisation des soins
      
• CHAPITRE 6. LE SIDA, «REFORMATEUR» DE LA POLITIQUE DE SANTE EN PRISON ?
  
  • Section 1 - Mobilisation administrative et naissance d'une politique publique de prise en charge du sida en prison
    
    • 1. Le travail de mise en visibilité de l'épidémie : les «lanceurs d'alertes» face à la «politique discrète» de l'Administration pénitentiaire
      
    • 2. L'intervention des CISIH en milieu carcéral : une ouverture de la prison vers l'Hôpital ou de la Santé envers les prisons ?
      
  • Section 2 - Une nouvelle conception des soins en prison ? L'affirmation d'une médecine non-pénitentiaire
    
    • 1. De la démission à la mobilisation collective : l'émergence d'une association des professionnels de santé exerçant en milieu carcéral
      
    • 2. L'arrivée de médecins-chefs réformateurs : une même médecine entre le dedans et le dehors ?
      
      • CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
        
• PROLOGUE A LA CONCLUSION : LA REFORME DE 1994 COMME SUCCES D'UNE MOBILISATION DE MAGISTRATS-MILITANTS ET DE PRATICIENS REFORMATEURS
  
  • Trouver une alternative au « 13.000 » : des premières conventions à une réforme globale de la prise en charge sanitaire des détenus
    
  • La mise sur agenda, un phénomène immergé dans le secteur administratif 
    
  • Le nécessaire recours à la volonté politique via les cabinets ministériels
    
  • Le rapport Chodorge du Haut comité de la santé publique : les conditions de production d'une expertise légitimante
    
  • L'adoption de la réforme : du décret du 27 mars 1993 et la loi du 18 janvier 1994
    
  • La catégorisation de la prise en charge des détenus en tant que problème de santé publique et le rôle du scandale des collectes de sang contaminé en prison
    
  • La réforme de la médecine pénitentiaire comme convergence des variables politiques, professionnelles, cognitives et institutionnelles
    
• CONCLUSION
  
  • La mise en oeuvre de la loi du 18 janvier 1994 : une délimitation trop stricte des missions de soin et de garde ?
    
  • Le projet d'une « médecine pénitentiaire » au croisement d'une double dynamique médicale et carcérale
    
  • L'institution pénitentiaire et ses réformes au prisme de ses acteurs
    
  • Un contrôle indépendant des conditions de détention comme étape supplémentaire dans le décloisonnement l'institution carcérale
    
• SOURCES ECRITES
  
  • 1. ARCHIVES DES MINISTERES JUSTICE ET SANTE
    
    • Ø Archives internes non versées de l'Administration pénitentiaire consultées après autorisation des services (sous-direction PMJ de la DAP) :
      
    • Ø Archives non versées de la Direction générale de la santé (DGS) et consultées au ministère de la Santé après autorisation des services :
      
    • Ø Archives en cours de versement consultées au ministère de la Santé après dérogation :
      
    • Ø Archives du Centre des archives contemporaines (CAC) de Fontainebleau consultées sur dérogation :
      
  • 2. INSTITUT NATIONAL DE L'AUDIOVISUEL (INA)
    
  • 3. ARCHIVES ETIENNE BLOCH DEPOSEES A L'INSTITUT D'HISTOIRE DU TEMPS PRESENT (IHTP)
    
  • 4. ARCHIVES DU SYNDICAT NATIONAL DES EDUCATEURS PENITENTIAIRES (SNEPAP)
    
  • 5. PRESSE D'INFORMATION GENERALISTE ET MEDICALE PAR ORRDRE CHRONOLOGIQUE
    
  • 6. SOURCES IMPRIMEES (CLASSEMENT PAR SUJET)
    
    • A. Textes officiels et rapports
      
    • A. Textes officiels et rapports
      
• SOURCES ORALES
  
  • 1. ENTRETIENS AVEC DES SOIGNANTS
    
  • B. Psychiatres et psychologues
    
  • C. Infirmier(e)s
    
  • D. Pharmacie
    
  • 2. ENTRETIENS AVEC DES DECIDEURS
    
  • A. Administration pénitentiaire
    
  • B. Ministère de la Santé
    
  • C. Haut comité à la santé publique (HCSP)
    
  • D. Cabinets ministériels
    
  • 3. PROTAGONISTES DES PRISONS A GESTION MIXTE
    
• BIBLIOGRAPHIE
  
  • 1. SOCIOLOGIE, THEORIE POLITIQUE ET POLITIQUES PUBLIQUES
    
  • 2. HISTOIRE ET SOCIOLOGIE DE LA PRISON
    
  • 3. SOCIOLOGIE DE LA SANTE ET DES PROFESSIONS MEDICALES
    
  • 4. SOCIOLOGIE DE LA JUSTICE
    
  • 5. AUTRES
    
• ANNEXESANNEXE 1 : PRESENTATION DE L'ADMINISTRATION PENITENTIAIRE
  
  • 1. Services de l'administration centrale
    
  • 2. Services déconcentrés pénitentiaires
    
  • ANNEXE 2 : CHRONOLOGIE DE 1945 à 1994
    
• ANNEXE 3 : EVOLUTION DU NOMBRE DE MEDECINS EN MILIEU PENITENTIAIRE
  
• ANNEXE 4 : THESES DE MEDECINE SOMATIQUE CONSACREES AU MILIEU CARCERAL DEPUIS LA LIBERATION
  
• ANNEXE 5 : LA CREATION DU POSTE DE MEDECIN-INSPECTEUR DES PRISONS DANS LE CONTEXTE DE LA GUERRE D'ALGERIE
  
• ANNEXE 6 : LA DEFENSE PAR GEORGES FULLY DE L'AUTONOMIE DES MEDECINS PENITENTIAIRES EN MATIERE DE GREVES DE LA FAIM
  
  • ANNEXE 7 : LA CRÉATION DES CMPR EN 1967 : UN DÉBUT DE RECONNAISSANCE DE LA PSYCHIATRIE PÉNITENTIAIRE 
    
• ANNEXE 8 : LE DISCRÉDIT COMME RÉPERTOIRE D'ACTION D'UN DIRECTEUR À L'ENCONTRE D'UN PRATICIEN RÉCALCITRANT
  
• ANNEXE 9 : « LE FROID PÉNITENTIAIRE » : LE NÉCESSAIRE TÉMOIGNAGE D'UNE PSYCHOLOGUE CONFRONTÉE A L'INERTIE PÉNITENTIAIRE
  
• ANNEXE 10 : LES MOUVEMENTS DE REMISE EN CAUSE DE LA PSYCHIATRIE INSTITUTIONNELLE DEPUIS LA LIBERATION
  
• ANNEXE 11 : LES EFFETS DE MAI 68 SUR LES ÉTUDIANTS DE MÉDECINE FRANÇAIS
  
• ANNEXE 12 : LA RÉFORME AMOR DE 1945 ET LE MODÈLE DU « TOUT-CARCÉRAL »
  
• ANNEXE 13 : LE MOUVEMENT DE CONTESTATION DU DROIT DES « ANNÉES 68 » FACE AUX PRISONS ET LA JUDICIARISATION DE LA DETENTION
  
  • ANNEXE 14: L'« AFFAIRE MIRVAL » OU LA CONTESTATION D'UN INTERNE MILITANT
    
• ANNEXE 15 : L'INFLUENCE INDIRECTE DE MAI 68 SUR DEUX INTERNES PENITENTIAIRES
  
  • ANNEXE 16 : LES CRAINTES DE LA PENITENTIAIRE FACE A UN REGARD MEDICAL EXTERIEUR : LES PREMIERES INFIRMIERES CROIX-ROUGE EN DETENTION
    
• ANNEXE 17 : LES HOSPITALISATIONS CIVILES : CAUSE ET OBSTACLE AU « DÉCLOISONNEMENT TOTAL » DE LA MÉDECINE PÉNITENTIAIRE
  
• ANNEXE 18 : LE REGARD DÉSENCHANTÉ D'UN INTERNE EN PSYCHIATRIE SUR L'UTILITÉ DE SA PRÉSENCE EN MILIEU CARCÉRAL
  
• ANNEXE 19 : L'OBSTACLE RÉCURRENT DE LA RÉMUNÉRATION DANS LE PROJET DE LA CRÉATION D'UN CORPS DES SOIGNANTS PÉNITENTIAIRES
  
• ANNEXE 20 : ASCLÉPIOS AU SERVICE DE THÉMIS OU LA POSITION CONTROVERSÉE DE SOLANGE TROISIER EN MATIÈRE DE GRÈVES DE LA FAIM 
  
• ANNEXE 21 : ENTRE OPPORTUNISME ET ADHÉSION IDÉOLOGIQUE, LA JUSTIFICATION DE LA MÉDECINE PÉNITENTIAIRE PAR UN INTERNE
  
  • ANNEXE 22 : DE LA CURIOSITÉ À LA RÉVOLTE, PARCOURS D'UN INTERNE LYONNAIS
    
• ANNEXE 23 : LA STRATÉGIE DÉNONCIATRICE DE LIBÉRATION : LE CAS « MICHEL HENGE »
  
• ANNEXE 24 : ENTRE CRITIQUE RADICALE ET RÉFORME PRAGMATIQUE, LE SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE FACE À LA QUESTION PÉNITENTIAIRE
  
  • ANNEXE 25 : LA POLITIQUE SÉCURITAIRE D'ALAIN PEYREFITTE ET LA MULTIPLICATION DES PRESSIONS ENVERS LES PROFESSIONNELS PÉNITENTIAIRES
    
• ANNEXE 26 : LE « SCANDALE DES GRÂCES MÉDICALES »: LE RÉCIT DES FAITS
  
• ANNEXE 27: L'ANESTHÉSISTE ET LE CHIRURGIEN : LA PRISE EN COMPTE PAR L'IGAS DES CONTRAINTES PÉNITENTIAIRES
  
• ANNEXE 28 : ENTRE SURMENAGE ET LASSITUDE, PORTRAITS DE TROIS INFIRMIÈRES PÉNITENTIAIRES EXERÇANT DANS LES ANNÉES QUATRE-VINGT
  
• ANNEXE 29 : LES EFFETS LIMITÉS DES CONTRÔLES DE L'IGAS : L'EXEMPLE DE LA M.A DE PONTOISE
  
  • ANNEXE 30 : LES EFFETS PERVERS D'UNE MODERNISATION ET D'UNE NOUVELLE RÉGULATION DE LA MÉDECINE PÉNITENTIAIRE : LE DIFFICILE RECRUTEMENT DES CHIRURGIENS-DENTISTES
    
• ANNEXE 31 : LA CRÉATION DES SERVICES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES RÉGIONAUX (SMPR) EN 1986, ACTE DE DÉCÈS DE LA « PSYCHIATRIE PÉNITENTIAIRE »
  
• ANNEXE 32 : LA CRISE DE LA MÉDECINE LÉGALE : UNE DIFFICILE INTÉGRATION HOSPITALO-UNIVERSITAIRE ET SA NÉCESSAIRE RECONVERSION
  
• ANNEXE 33 : LES SOIGNANTS ET LE SIDA EN PRISON : ENTRE GESTION DES PEURS ET PRISE EN CHARGE IMPOSSIBLE
  
  • ANNEXE 34 : LE TRAITEMENT MÉDIATIQUE DU SIDA : DE LA PSYCHOSE À LA DÉDRAMATISATION
    
  • ANNEXE 35 : LE SCANDALE DES COLLECTES DE SANG EN MILIEU CARCERAL COMME REVELATEUR DES FAIBLESSES DE L'ORGANISATION DES SOINS EN PRISON
    
• ANNEXE 36 : ENTRETIEN AVEC DANIEL GONIN
  
• ANNEXE 37 : ENTRETIEN AVEC PIERRE ESPINOZA
  
• ANNEXE 38 : ENTRETIEN AVEC JEAN FAVARD
  
• ANNEXE 39 : ENTRETIEN AVEC YVAN ZAKINE
  
• ANNEXE 40 : ENTRETIEN AVEC MYRIAM EZRATTY
  
• TABLE DES ENCADRES
  
• PLAN DETAILLE
  
• RESUME DE LA THESE