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Géographie
Vulnérabilité des populations au plaudisme: cas des quartiers ngoa-ekéllé et nsimeyon (yaoundé)
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par
Juscar NDJOUNGUEP
Université de Douala - Master II 2012
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DEDICACE
REMERCIEMENTS
RESUME
Mots clés : Paludisme, vulnérabilité, population, bas-fonds, habitat, environnement,
Yaoundé 3
ABSTRACT
LISTE DES ACRONYMES, SIGLES, ABREVIATIONS
SOMMAIRE
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES PLANCHES
LISTE DES PHOTOS
INTRODUCTION GENERALE
I. CONTEXTE GENERALE DE L'ETUDE
II. DELIMITATION THEMATIQUE, SPATIALE ET TEMPORELLE DE LA RECHERCHE
II.1. Délimitation thématique
II.2. Délimitation spatiale
Figure1 : Localisation de la zone d'étude
II.2. Délimitation temporelle
III. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SUJET ET DU SITE DE L'ETUDE
III.1.Choix du sujet d'étude
III.2. Choix des sites de l'étude
IV. INTERET DE L'ETUDE
IV.1. Un intérêt théorique
IV.2. Un intérêt socioéconomique
IV.3. Un intérêt environnemental
IV.4.Un intérêt pratique
IV.5. Un intérêt scientifique
V. PROBLEMATIQUE
VI. QUESTIONS DE RECHERCHE
VII. OBJECTIFS DE LA RECHERCHE
VIII. HYPOTHESES DE LA RECHERCHE
IX. CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE
IX.1. Cadre conceptuel
3. Marginalitéet zone marginale
Figure2 : Le risque dans la dynamique urbaine
Figure3: Risque et vulnérabilité
IX.4. Le paludisme
XI.4.Opérationnalisation de la variable dépendante : Le concept de vulnérabilité
Tableau 1 : Opérationnalisation de la variable dépendante
X. CADRE THEORIQUE
Notre travail repose sur deux théories, il s'agit d'une part de la théorie centre périphérie de Reynaud A et d'autre part de la théorie des lieux centraux selon Walter Christaller et L?sch.
X.1. La théorie centre -périphérie de Friedman
XI. CONTEXTE SCIENTIFIQUE ET REVUE DE LA LITTERATURE
XI.1.2. La recrudescence du paludisme par rapport au comportement de la population
XI.1.5.L'observation des zones à risques
XI.1.6. L'approche anthropo-environnementale
XI .1.7. L'approche orographique
XI.1.10La compréhension des facteurs à risques liés au paludisme
XI.2 Revue de la littérature
XII.2.1. L'analyse des risques liés à la vulnérabilité
XII.2.2. Quelques études sur la vulnérabilité des populations au paludisme dans la ville de Yaoundé
XIII. METHODOLOGIE
La méthodologie suivie dans le cadre de la présente étude comprend un certain nombre de phases décrites succinctement dans les paragraphes qui suivent. Nous avons combiné dans l'ensemble de notre étude l'approche hypothético-déductive à la MARP
XIII.1. Recherche documentaire
Détermination de la taille de l'échantillon
Tableau 2: Répartition des questionnaires par quartier
Tableau 3 : Liste des cliniques enquêtées
Distribution du questionnaire et des guides d'entretien
XIII.6. Dépouillement, analyse et traitement des données
Dépouillement des fiches d'enquêtes
XIV. DIFFICULTES RENCONTREES
XV. PLAN DU MEMOIRE
PREMIERE PARTIE : MILIEU PHYSIQUE, HUMAIN ET FACTEURS DE VULNERABILITE AU PALUDISME A YAOUNDE III
CHAPITRE I: CARACTERISTIQUES PHYSIQUES ET SOCIO-ECONOMIQUES DES QUARTIERS NSIMEYONG ET NGO-EKELLE DE L'ARRONDISSEMENT DE YAOUNDE III
Introduction
I. 1.MILIEU PHYSIQUE ET HUMAIN DES BAS-FONDS DES QUARTIERS DE YAOUNDE III
I.1.1. Milieu physique des bas-fonds de Yaoundé III, facteurs de la vulnérabilité des populations au paludisme
Figure 4 : Milieu physique de l'arrondissement de Yaoundé III
I.1.2.Le réseau hydrographique fortement anthropisé et favorable à la vulnérabilité des populations au paludisme
I.1.3. Un climat favorable au développement des agents vecteurs du paludisme
Figure 5: Diagramme ombrothermique mensuel de Yaoundé (1999-2010)
I.1.4. Sols et végétation des quartiers de l'arrondissement de Yaoundé III
I.1.5.Morphologie générale
Tableau 3 : Typologie du relief des différents quartiers de la zone d'étude
I.2. CARACTERISTIQUES SOCIOCULTURELLES ET ECONOMIQUES DES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
I.2.1. Caractéristiques démographiques de la population enquêtée
I.2.1.1. Répartition de la population enquêtée pas sexe
Figure 6 : Genre des enquêtés
I.2.1.2. Origine géographique des enquêtés
I.2.1.4. Taille du ménage enquêté dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Figure 7 : Evaluation du nombre d'habitants par ménage
I.2.2. Caractéristiques économiques des ménages habitant les bas-fonds de Nsimeyong et Ngoa-Ekéllé
I.2.3. Infrastructures et Equipements
I.2.4.Occupation du sol
I.2.5.Habitat et Logement
Figure 8 : Matériaux de construction utilisés dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong.
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure 9 : La gestion de l'eau dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong.
Planche 1: Proximité des latrines et eaux usées au lieux d'habitation et vulnérabilité des populations au paludisme auxquartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
I.3. LE MILIEU HUMAIN DESQUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG.
I.3.1. Un environnement humain contrasté
I.3.2. Une population caractérisée par son hétérogénéité
I.3.2.1. Une population cosmopolite, source d'une mauvaise gestion de l'environnement
I.3.2.2. Evolution de la population, cause de la promiscuité
I.3.2.3 Analyse de l'incidence spatiale du paludisme dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
I.4. LES STRUCTURES SANITAIRES DANS LA ZONE URBAINE DE YAOUNDE III
I.4.1. Les petitesstructures sanitaires
I.4.2. Les formations sanitaires moyennes
I.4.3. Lesformations sanitaires de référence
Tableau4: Récapitulatif des structures sanitairesdans les quartiers de Yaoundé III
La répartition spatiale des structures sanitaires et pharmacies dans l'arrondissement de Yaoundé III est discontinue. On observe une carence des structures sanitaires publique et des pharmacies. Seul les structures sanitaires privées représentent une proportion significative, or malheureusement, ces derniers ne disposent pas de matériel et personnel adéquat pour pouvoir satisfaire les malades.
I.5. LE PALUDISME : CARACTERISTIQUES ET MODES DE TRANSMISSION
I.5.1. Caractéristiques
I.5.1.1.Les bas fonds des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong, des sites favorable au développement des moustiques agents vecteurs du paludisme
I.5.1.2. Mode transmission du paludisme
Figure 12: mode de transmission du paludisme
I.5.1.3. Manifestations du paludisme
I.5.2. Signes cliniques du paludisme
I.5.2.1. Paludisme non compliqué
I.5.2.2. Paludisme grave
Conclusion
CHAPITRE II :
FACTEURS DE VULNERABILITE ET REPARTITION DANS LES QUARTIERS NSIMEYONG ET NGO-EKELLE
Introduction
II.1. LA VULNERABILITE DES POPULATIONS DES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
En matière de risques, qu'ils soient sanitaires ou autres, il y a lieu de comprendre que la vulnérabilité compose le risque. Elle en constitue d'ailleurs le second volet après la notion d'aléa. Une large compréhension du risque sanitaire exige que l'on s'attarde sur ces deux concepts clés.
II.1.1. L'aléa : premier volet du risque
II.1.2. La vulnérabilité, un concept plus large lié au risque
II.1.3. Inégalités sociales et vulnérabilité des populations des bas-fonds au paludisme
II.1.3.1. L'inégalité sociale, un phénomène visible dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
II.1.3.2. L'urbanisation anarchique: facteur de promiscuité et propagation du germe du paludisme face à la détérioration de l'environnement sanitaire
II.2. LES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIODEMOGRAPHIQUES DE LA VULNERABILITE DES POPULATIONS DES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
II.2.1. Les facteurs environnementaux
Tableau 5: Catégories et variables de l'environnement sanitaire
II.2.2. La position géographique des bas-fonds et ses conséquences sur les populations
Figure 11: Localisation des Bas-fonds dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Figure 12 : Carte d'occupation de l'espace au quartier Ngoa-Ekéllé
Figure 13 : Occupation de l'espace au quartier Nsimeyong
II.2.3. Les espaces à risques
Planche 2 : Espaces à risque au sud-est du quartier Ngoa-Ekélé
II.3. LES FACTEURS SOCIO-ECONOMIQUES DE LA PROLIFERATION DU PALUDISME
II.3.1.1. Prolifération des déversoirs d'eaux usées dans les rues des quartiers Ngoa Ekéllé et Nsimeyong
Source : Enquête de terrain décembre 2011.
Figure 14: Lieu déversement des eaux usées par les ménages
II.3.1.2. Stagnation des eaux usées à proximité des habitations
II.3.1.3. Dépôts sauvages d'ordures ménagères dans les quartiers
II.3.2. Le niveau social des populations, source de vulnérabilité des populations au paludisme
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure 15: Matériaux utilisé pour la construction dans les bas-fonds des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure 16: Catégories sociales des populations des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
II.3.3.Le rythme d'occupation du sol dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Figure17 : Rythme d'occupation du sol dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
II.3.4.Une forte densité de l'habitat concentré dans les bas-fonds
Figure18 : Densité de l'habitat dans les bas-fonds du quartier Ngoa-Ekéllé
II.4.FACTEURS INSTITUTIONNELS PARTICIPANT A LA VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME
II.4.1. La mauvaise planification de l'occupation de l'espace
II.4.2. Infrastructure et niveau d'équipement sanitaire
Planche 3: Prolifération des ordures ménagères et des eaux usées dans les bas-fonds des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
II.5.HABITAT,MILIEU DE VIE ET VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME DANS LES BAS-FONDS
Planche4 : Qualité de l'habitat dans les bas-fonds du quartier Ngoa-Ekéllé
Planche5 : Végétation et propagation des moustiques
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure 19: Causes de la propagation des moustiques, agent vecteur du paludisme
II.6. AUTRES FACTEURS RENFORÇANT LA VULNERABILITE DES POPULATIONS DES BAS-FONDS DES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG AU PALUDISME
II.6.1. La résistance des vecteurs aux insecticides
Figure 20: Résistance des vecteurs du paludisme aux efforts des populations à Ngoa ékéllé et à Nsimeyong
II.6.2. Le recours de la quasi-totalité de la population à l'automédication
Planche 6 : Quelques antipaludiques.
Conclusion
DEUXIEME PARTIE :
ZONE MARGINALE ET PALUDISME : EVOLUTION DU TAUX ET STRATEGIES DE LUTTE FACE AU DEVELOPPEMENT DU PALUDISME
CHAPITRE III: EVOLUTION DE LA VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME DANS LES QUARTIERS NGOA EKELLE ET NSIMEYONG
Introduction
III.1. EVOLUTION DU NOMBRE DE MALADE SELON L'AGE DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
III.1.1. Evolution des cas de paludisme dans les différentes formations sanitaires privées
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure 21 : Coûts du traitement du paludisme dans les centres de santé privées des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Tableau 6: Coûts officiels du traitement du paludisme au Cameroun depuis 2007
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figures 22: Mesures d'atténuation utilisées par les populations des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
III.1.2. Evolution du nombre de maladesde paludisme dans les cliniques de Ngoa-Ekellé
III.1.2.1. Cas de l'infirmerie de la gendarmerie nationale
III.1.2.1.1. Cas des maladesde moins 5 de ans
Figure 23 : Evolution mensuelle du nombre de malade de moins de 5ans au centre de santé de la gendarmerie mobile et au centre de soins Eugene Jamot (2010-2011).
III.1.2.1.2. Cas des malades adultes
Figure24 : Evolution mensuelle du nombre des maladesadultes au centre de santé de la gendarmerie nationaleet au centre de soins Eugene Jamot (2010-2011)
On observe que la proportion des malades adultes est plus élevée au centre de soins Eugene Jamot qu'à la gendarmerie mobile. Néanmoins, le mois d'août connait une hausse à l'infirmerie de la gendarmerie nationale et une baisse au centre Eugene Jamot.
III.1.3.Evolution mensuelle du nombre de malade dans les cliniques de Nsimeyong
III.1.3.1. Cas des malades de moins de 5ans
Figure25 : Evolution mensuelle du nombre de maladesdans les cliniques de Nsimeyong
III.1.3.2.. Cas des malades adultes
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure 26 : Evolution mensuelle du nombre de cas de malade dans les cliniques Nsimeyong
III.2. EVOLUTION DU NOMBRE DE MALADES DANS LES DIFFERENTES FORMATIONS SANITAIRES PUBLIQUES DE YAOUNDE III
III.2.1. Cas des malades de paludisme de moins de 5ans
Figure 27: Evolution moyenne mensuelledes malades de paludisme de 2007 à 2011
III.2.2. Cas des adultes malades
Figure 28: Evolution moyenne mensuelle du nombre de malade adulte de 2007 à 2011
III.2.3. Cas des femmes enceintes
Figure 29: Evolution moyenne mensuelle du nombre des femmes enceintes maladesde 2007 à 2011
Tableau 7 : Evaluation du niveau de vulnérabilité par couches sociales
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure 30: Evolution annuelle du nombre de malade toute catégories de 2007 à 2011
Dans notre zone d'étude, les enfants de moins de 5ans sont classés parmi la couche de faible vulnérabilité à cause du fait que cette catégorie n'est pas très représentative ce sont des quartiers en majorité estudiantines. Les adultes constituent plus de 60% de la population totale.
III.2.4. Cas des enfants de moins de 5ans et les adultes hospitalisés hors mis les femmes enceintes
Figure 30: Evolution anuelle des enfants de moins de 5 ans et des femmes enseintes hospitalisés en 2007 à 2011.
III.2.5. Cas du CHU de Yaoundé
Tableau 8: Cas de paludisme observés au CHU de Yaoundé, 2011.
Source : Adapté du PNLP, 2011
Source : Adapté du PNLP, 2011
Figure31 : Occurrence des paludéens selon la saison au CHU de Yaoundé, 2011
III.3. AUTRES FACTEURS DE VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
Figure32: Facteurs de vulnérabilité des populations au paludisme dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Le climat et l'accroissement du nombre de malades
Figure 33 : Climat et évolution mensuelle du nombre de paludéens
Figure 33 : Evaluations des niveaux de vulnérabilité des populations au paludisme liée aux saisons
III.4. LA PERCEPTION DES RISQUES SANITAIRES
III.4.1.La responsabilité des populations
Figure 34: Causes de la multiplication des agents vecteurs du paludisme dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure 35 :Connaissance du paludisme parles populations de Ngoa Ekéllé et Nsimeyong
III.4.2. Le non respect des conditions sanitaires, la proximité du niveau de la nappe phréatique et la précarité des populations
Figure 36 : Facteurs d'aggravation des risques liés au paludisme
III.4.2.1. Période d'action du moustique agents vecteurs du paludisme
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure 38: Période d'action des moustiques dans les quartiers (Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong)
III.4.2.2. Insuffisance des structures sanitaires dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure39 : Avis des populations sur la disponibilité d'un centre de santé
III.5. RELATION ENVIRONNEMENT- PALUDISME
III.5.1. Environnement urbain des quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong et relation avec le paludisme
III.5.2. Insuffisance des outils d'assainissement mise en place pour améliorer la qualité l'environnement
Tableau 9 : Relation population/paludisme/bacs à ordure
Conclusion
CHAPITRE IV : ANALYSE ET EVALUATION DE LA VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME, ET STRATEGIES DE REDUCTION DU TAUX DE PREVALENCE DU PALUDISME DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG INTRODUCTION
Introduction
IV.1. ANALYSE DE LA VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME SELON L'AGE ET LES CONDITIONS SOCIO-ECONOMIQUES
IV.1.1. Analyse la vulnérabilité des populations au paludisme selon le nombre de malades
IV.1.1.1.Les indicateurs de mesure de la vulnérabilité
IV.1.1.2. Indicateurs de mesure du groupe
Tableau 10: Indicateurs de vulnérabilité par groupe d'âge et par sexe
Figure 40: Evolution mensuelle du nombre de maladesdans les structures sanitaires privées selon les catégories
Figure 41 : Proportion annuelle du nombre de cas de paludisme selon les catégories
Tableau 11: Répartition des populations par niveau de vulnérabilité
IV.1.2. Analyse de la vulnérabilité des populations au paludisme liée aux conditions socio-économiques
IV.2. EVALUATION DE LA VULNERABILITE DES POPULATIONS AU PALUDISME
IV.2.1. Cartographie de la vulnérabilité
Tableau 12: Catégories, enjeux et variables retenus pour l'analyse de la vulnérabilité
La cartographie de la vulnérabilité
Figure 42: Localisation des principales zones de vulnérabilité des populations au paludisme dans les bas-fonds du quartier Ngoa-Ekéllé
Figure 43: Localisation des principales zones de vulnérabilité des populations au paludisme dans les bas-fonds du quartier Nsimeyong
Figure 44: Zones vulnérables dans les bas-fonds des quartiersNgoa-Ekéllé et Nsimeyong
IV.2.2. La grille de la vulnérabilité
Tableau 13: Grille d'évaluation des vulnérabilités (d'après LEFORT E., 2004, modifié)
IV.3. STRATEGIE DE REDUCTION DU TAUX DE PREVALENCE DU PALUDISME DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
IV.3.1. La réduction conjointe de l'aléa de la vulnérabilité
IV.3.2. La maîtrise des indicateurs de pré alerte pour une meilleure planification des méthodes de lutte contre le paludisme
Figure 45 : Indicateurs de pré-alerte dans le cycle de planification de la lutte antipaludique
IV.3.2 La réduction prévisionnelle
IV.4. PRISE EN CHARGE DES MALADES DU PALUDISME DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
IV. 4.1. Prévention et prise en charge du paludisme
IV. 4.1.1. L'utilisation des moustiquaires imprégnées
Source : Enquête de terrain, 2011
Figure 46: Taux d'adoption de la MILDA dans les quartiers témoins
Planche 8 : Utilisation de la moustiquaire imprégnée
IV. 4.1.2. La mise à la disposition des médicaments antipaludiques
IV. 4.1.3. L'automédication
IV.5. REPONSES SOCIALES ET MODES DE COMPORTEMENT FACE AUX RISQUES DE PALUDISME
IV.5.1. Des réponses individuelles parfois contrastées
IV.5.2. Des réponses collectives relativement durables
Planche 4 : Population et amélioration de leur milieu de vie
IV.6-LES POPULATIONS ET LA PARTICIPATION A L'AMENAGEMENT DE LEUR CADRE DE VIE
V.6.1. Assainissement de l'environnement
V.6.2. Mesures alternatives d'éradication du paludisme
Figure 47: Mesures d'éradication du paludisme au niveau local
Figure 48: Méthodes d'éradication du paludisme envisagées
Figure 49: Gestion de l'incidence de la vulnérabilité au paludisme dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
IV. 7. LUTTE ANTIPALUDIQUE DANS LES QUARTIERS NGOA-EKELLE ET NSIMEYONG
IV. 7.1 La médecine traditionnelle et la lutte contre le paludisme
IV. 7.2.La médecine moderne et la lutte contre le paludisme
Médecine curative et individuelle
La résistance des germe de la maladie le traitement antipaludique et la vaccination contre le paludisme
IV. 7.3Les déterminants de la prise en charge médicale du paludisme à Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong
IV.7.4.Stratégies de lutte contre le paludisme
IV.7.4.1. Les pouvoirs publics.
IV.7.4.2. La société Hygiène et Salubrité du Cameroun (HYSACAM)
Figure 50: Les points de collecte des ordures ménagères dans les quartiers Ngoa-Ekéllé et Nsimeyong par HYSACAM
IV.8. SUGGESTIONS
IV.9. RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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