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Etude de la conséquence en français contemporain: Le cas de trois oeuvres d'Emile Zola

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par Lysette Nanda
Université de Yaoundé I - DEA de langue française 2006
  

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3.2. La concession hypothétique

Au sujet du système hypothétique, nous avons vu que c'est la conjonction si qui permet d'introduire les propositions dans ce système. Le conditionnel ayant pour valeur principale de créer une situation imaginaire à laquelle le locuteur traduit son adhésion, et comme dit Oualid (2005 :79), qu'il donne comme faisant partie de son actualité vécue, [avec le conditionnel] le repère du procès se présente dans une actualité décalée par rapport au moment de l'énonciation. Ainsi dans l'énoncé suivant :

13. [...], si les usines rouvraient une à une, l'état de guerre n'en restait pas moins déclaré, [...]. (Ge, p501).

L'énonciation de [13] explique la fin de la grève, une fin plus apparente que réelle. Les mineurs ont perdu puisque leurs revendications n'ont pas été satisfaites. La réouverture des usines devait en fait être la victoire du patronat et par conséquent plus d'état de guerre. Or, par l'emploi de la concession, le locuteur est précisément entrain d'affirmer que P1 : les usines rouvraient une à une, n'a pas connu l'implication attendue, mais plutôt une non P2 : l'état de guerre restait déclaré. Cette négation est déclinée dans P2 par l'emploi de la locution ne ...pas moins qui, non seulement exprime la négation du fait, rend également l'implication fausse. Comme marqueur de concession argumentative, Morel (op cit : 35) dit que si peut prendre la valeur de il est vrai que. La concession hypothétique n'est donc qu'une nuance de la concession argumentative. Nuance qui est également rendue par l'adverbe d'intensité si. Nous n'avons trouvé aucune occurrence dans notre corpus, néanmoins nous empruntons un exemple à Oualid (op cit) :

14a. Ce jour-là, il y eut une tempête si rude dans l'hôtel, que tous les domestiques baissaient le nez, [...]. (Na, p.310).

14b. Si intelligent soit-il, il risque de ne pas réussir (Oualid, op cit ).

L'énoncé [14a] représente le système consécutif, système dans lequel l`adverbe d'intensité si est incident à l'adjectif rude. L'intensité étant une question d'échelle, le locuteur montre que, sur le parcours que représentent les différentes valeurs de l'adjectif, l'adverbe d'intensité si permet à l'adjectif d'atteindre un degré d'intensité indéterminé, mais suffisant, pour la réalisation de la conséquence. Parlant de parcours Hybertie (op cit : 138) énonce qu'il constitue une opération consistant

à parcourir la classe de toutes les occurrences d'une notion, sans pourvoir / vouloir s'arrêter à une seule, ce qui signifie qu'il est impossible d'attribuer une valeur référentielle stable à un terme de l'énoncé.

Le parcours est une opération abstraite qui se fait sur la classe des occurrences de la notion, dans le cas présent de l'adjectif. Pour ce qui est de l'énoncé [14b], la séquence introduite par si concessif explique que l'opération de parcours opérée sur la classe de la notion (intelligent), bien que tendant toujours vers le haut degré sur l'échelle d'intensité ne permet pas, comme le dit Morel (op cit : 103), de limiter l'accroissement quantitatif. Ainsi dans le système concessif, l'intensité est privée du repère qui, dans le système consécutif favorise la réalisation de la conséquence. C'est dans ce sens que la concession présente une conséquence niée.

Du reste, la relation concessive révèle qu'il n'y a pas toujours de rapport étroit entre les idées présentées dans un texte si l'on le considère d'un point de vue purement logique, dans ce cas, pour que la cohérence d'un texte se maintienne, dit Mossberg (2006 :26), on s'aperçoit que le lecteur semble accepter un grand nombre de contradictions et de confusions sans que sa conception de la cohérence du texte soit perturbée. Cependant la concession biculturelle semble plus facile à concilier comme le montre Dassi (2005 :2) que la conciliation entre deux propositions qui se repoussent en discours.

En percevant en fait la concession comme un mouvement argumentatif en deux temps où le locuteur premièrement reconnaît la validité d'un argument, pour ensuite émettre un contre-argument qui vient en restreindre la portée ou le détruire, Morel (op cit :5) met en valeur l'essentiel de la relation sémantique qui unit la principale à la subordonnée. En choisissant de présenter quelque chose comme inattendu par rapport à autre chose, la relation concessive apparaît, nous semble-t-il, comme une relation d'abord objective. L'énoncé est présenté comme une description, on a l'impression que le locuteur observe et décrit les faits sans s'impliquer, le regard est extérieur. En clair, dans l'énoncé [14b], la conclusion implicite : l'état de guerre n'est pas déclaré suscitée par l'état de chose décrit en P1 : les usines rouvraient une à une, repose sur une certaine conception de la norme. Il est donc objectivement logique qu'on infère que les usines ne rouvrent pas quand l'état de guerre est déclaré (conclusion niée par la concession). Mais l'emploi du connecteur (ne....pas moins) se révèle ici être comme étant l'élément qui introduit la griffe personnelle du locuteur, c'est-à-dire l'orientation qu'il donne à son énoncé. C'est l'introduction de ce connecteur qui rend, à notre humble avis, la relation de concession subjective.

En somme, la distinction qui existe entre la conséquence et la finalité lorsque ces relations empruntent les mêmes marques linguistiques se situe au niveau du mode : l'indicatif pour la conséquence et le subjonctif pour le but.

Pour nous il ne s'agit que d'un simple problème d'interprétation, la conséquence avec l'intensité étant aussi capable d'exprimer le but pour peu qu'on mette en valeur l'aspect pragmatique.

Pour ce qui est de la conséquence et de la comparaison, les outils linguistiques communs présentent la conséquence comme niée avec la possibilité de voir la conséquence se réaliser, si l'intensité exprimée par tant, si ou tel atteint un certain seuil, ce qui n'est pas le cas avec la comparaison. En ce qui concerne le rapport conséquence - concession, l'intensité de la concessive bien que tendant vers un degré paroxystique, présente toujours la conséquence comme manquée, alors que avec la conséquence l'intensité la plus élevée conduit inévitablement à la réalisation de la relation. En dehors de ces conclusions d'ordre général, nous sommes parvenue à ce résultat singulier : les connecteurs sans que et sans sont les seuls capables d'exprimer à la fois la conséquence, la cause et la concession.

Sur le plan argumentatif, cette aptitude permet qu'on les regarde comme les connecteurs subjectifs avec les mêmes valeurs argumentatives que celles que dégage l'implicite dans l'expression de la conséquence.

CONCLUSION GÉNÉRALE

Au terme de ce travail portant sur les différentes marques d'expression de la conséquence et sur leurs valeurs argumentatives, il ressort de manière générale, que lorsqu'on parle, on ne décrit pas seulement la réalité, on exprime aussi ses opinions profondes. La langue foisonne de moyens explicites et implicites pour exprimer directement ou indirectement le point de vue du locuteur. L'utilisation de ces procédés d'expression repose principalement sur les convictions et les attentes du locuteur par rapport aux évènements décrits. La plupart des expressions langagières sont donc empreintes d'une certaine subjectivité.

L'objectif de ce travail est de rechercher les motivations qui sous-tendent les divers moyens dont se sert un locuteur pour exprimer la conséquence, établir les rapports entre chaque marqueur et la raison de son emploi et relever, s'il y a lieu, les difficultés inhérentes à l'utilisation de ces différentes formes d'expression de la conséquence.

Le premier chapitre repose sur la vérification de l'hypothèse selon laquelle les marques d'expression de la conséquence constituent un vaste éventail. Dans la perspective de cette analyse, nous avons fait une étude rétrospective de la notion de conséquence de la grammaire classique à la grammaire structurale. A travers le fonctionnement du CCC, il s'est avéré que la grammaire ne reconnaît que deux principales formes d'expression de la conséquence : la conséquence simple et la conséquence subordonnée. Ce chapitre nous a enfin donné l'opportunité de présenter la pragmatique linguistique, grille d'approche que nous avons choisie pour éclairer la problématique. L'inventaire des moyens d'expression de la conséquence nous a permis de réaliser qu'il existe une multiplicité de marques qui traduisent la conséquence. Nous les avons classées en deux groupes selon leur nature : les marqueurs morphologiques et les marqueurs morphosyntaxiques.

Au deuxième chapitre, l'hypothèse à vérifier énonce que les différents connecteurs de conséquence ont des valeurs spécifiques. La vérification de cette hypothèse a nécessité la classification des outils morphologiques de la conséquence en trois sous-catégories : les connecteurs inférentiels, les connecteurs factuels et les marqueurs lexicaux. Les connecteurs inférentiels sont en nombre illimité et leur liste reste ouverte. Le contexte est la condition idéale de leur observation ; ils présentent la conséquence qui relève de la subjectivité du locuteur. L'interchangeabilité qu'on note entre ces connecteurs est, pour certains, apparente. Ainsi, pour une commutation efficace des connecteurs inférentiels, il est nécessaire qu'une étude approfondie des types d'arguments qu'ils relient soit faite pour regrouper les connecteurs par affinité. Les marqueurs factuels de conséquence ne présentent pas cette difficulté parce qu'ils introduisent la conséquence objective. Les marqueurs lexicaux se découvrent à travers le sémantisme du mot qui entraîne la conséquence. Les constats majeurs que nous avons dégagés sont :

- le connecteur, quelle que soit sa nature exprime la conséquence explicite et renforce l'argumentation du locuteur en lui permettant d'orienter la conclusion à tirer ;

- l'émetteur, par des outils morphologiques, montre une conséquence comme réelle avec une nuance d'attendue ou d'inattendue, irréelle, manquée ;

- la structure prépositive avec l'infinitif présente une conséquence ambiguë tandis qu'avec le groupe nominale, la conséquence s'assimile à l'hyperbole.

La conséquence étant une relation qui allie à la fois la morphologie et la syntaxe, nos investigations se sont étendues à l'approche morphosyntaxique.

L'hypothèse du chapitre trois énonce que les formes morphosyntaxiques de la conséquence recouvrent des valeurs semblables à celles induites par les formes morphologiques. Pour la vérifier, il nous a fallu recenser les moyens que la syntaxe exploite pour exprimer la conséquence : l'implicite, les types de relation de cause à effet. L'implicite se manifeste à travers deux structures à savoir la juxtaposition et l'apposition. Ces deux formes et les structures détachées, avec ou sans connecteurs, introduisent la conséquence inférentielle tout comme les marqueurs inférentiels. Il ressort dans l'ensemble les résultats suivants :

- le choix syntaxique et lexical est tributaire de la motivation du locuteur ;

- l'implicite présente la conséquence comme ambiguë, la pensée du locuteur est opaque pour l'allocutaire et précautionneuse pour l'énonciateur ;

- la modulation de l'énonciation par les signes modaux permet à l'énonciateur de présenter la conséquence comme éventuelle, irréelle ou équivoque.

Cette hypothèse n'est pas entièrement validée. Sa vérification est entravée par la distinction qui est faite entre la conséquence irréelle et la conséquence manquée. Les outils morphologiques qui introduisent la relation de cause à effet sont polyfonctionnels. Ils engagent donc plusieurs catégories de la causalité.

Le quatrième chapitre s'est préoccupé de vérifier l'hypothèse qui reconnaît des rapports entre la conséquence et les autres catégories de la causalité. Aussi les investigations ont-elles porté sur les rapports conséquence-finalité, conséquence-comparaison et conséquence-concession.

Pour ce qui est du rapport conséquence-finalité, nous l'avons examiné en deux points : étude des locutions conjonctives d'une part et analyse de la relation qui unit la conséquence, la manière et le but d'autre part. Il en est résulté que la différence entre la finalité et la conséquence ne se situe qu'au niveau de la visée qui sous-tend l'expression de la finalité et qui se traduit linguistiquement par la présence, dans P2 du subjonctif, mode du possible, du virtuel et marque de la subjectivité. La visée dans la conséquence dépend du locuteur alors qu'elle dépend de l'agent de l'action décrite dans P1 pour le but.

En ce qui concerne le rapport entre la conséquence et la comparaison, nous avons organisé son examen en deux phases : d'abord la comparaison par les adverbes si et tant, et ensuite par l'adjectif tel. L'adjectif tel connaît la même description que les adverbes si et tant. Il s'ensuit que la négation porte sur l'intensité de la propriété à laquelle elle est incidente. Ce qui met en lumière les résultats suivants :

- la comparaison est niée parce que l'intensité n'a pas atteint le degré suffisant pour permettre sa réalisation ;

- les outils linguistiques communs présentent la conséquence et la comparaison comme niée avec la possibilité, si l'intensité atteint un certain seuil, de voir la conséquence se réaliser, ce qui n'est pas le cas avec la comparaison ;

- seuls certains types de phrase (la négation, l'interrogation) partagent les mêmes outils linguistiques pour exprimer la conséquence et la comparaison.

Quant au rapport entre la conséquence et la concession, son étude a permis de dégager les connecteurs sans, sans que et si qui introduisent deux valeurs de la concessive : la concessive négative et la concessive hypothétique. La concessive négative est favorisée par les deux premiers connecteurs. La commutation de sans que par bien que ... ne pas nous a conduit à classer cette nuance de la concession comme une concession logique. Avec la concession hypothétique, l'intensité de la concessive, bien que tendant vers un degré plus élevé, présente toujours la concession comme manquée, alors que avec la conséquence, l'intensité présente la relation comme réalisée. En dehors de ces conclusions d'ordre général, nous sommes parvenue à ces résultats spécifiques :

- Les connecteurs sans que et sans sont les seuls capables d'exprimer à la fois la conséquence, la cause et la concession. Sur le plan argumentatif, cette aptitude permet qu'on les regarde comme les connecteurs subjectifs avec les mêmes valeurs argumentatives que celles que dégagent l'implicite et l'inférence dans l'expression de la conséquence.

- L'expression de la conséquence touche divers niveaux : grammatical, stylistique, linguistique et extralinguistique. Nous comprenons pourquoi les grammaires hésitent encore tant à se prononcer, de manière claire et précise, sur ce fait de langue.

- L'étude de la locution finir par nous a amené à constater qu'elle exprime, dans son emploi consécutif, une conséquence prévisible et qu'elle est même commutable par le connecteur alors. C'est dans ce sens qu'il nous paraît opportun qu'elle soit intégrée parmi les outils d'expression de la conséquence au même titre que les locutions suffire... pour que, achever de et les lexèmes entraîner, provoquer, etc.

Dans la perspective d'approfondir les conclusions de ce travail, une étude systématique des types d'arguments que lie un connecteur s'avère nécessaire pour clarifier les conditions que chacun d'eux doit remplir pour rendre possible la commutation. Par ailleurs, la diversité des marqueurs de conséquence en français incite à envisager une étude constrastive des marqueurs de conséquence dans nos langues nationales.

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90- DARRAS, B., (2005) Images et sémantique : sémiotique pragmatique et cognitive in

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91- DASSI, E., (2005) De l'attribut et de la concession comme supports du

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TABLE DES MATIÈRES

DÉDICACE II

REMERCIEMENTS III

INTRODUCTION GÉNÉRALE I

1. DÉFINITION DU SUJET 1

2. MOTIVATION 2

3. PROBLÉMATIQUE 5

4. HYPOTHÈSES 6

5. CORPUS 7

6. CADRE THÉORIQUE 8

7. MÉTHODOLOGIE 9

8. PLAN DU TRAVAIL 9

CHAPITRE 1 : L'APPROCHE FONCTIONNELLE DE LA CONSÉQUENCE 10

1. L'approche classique du CCC 11

1.1. La conséquence simple 11

1.1.1. La juxtaposition 11

1.1.2. La coordination 13

1.1.2.1. La conjonction de coordination 13

1.1.2.2. L'adverbe conjonctif 14

1.1.3. L'apposition 15

1.1.3.1. Le participe présent 16

1.1.3.2. La relative détachée 17

1.1.4. La préposition 17

1.1.4.1. Un nom précédé d'une préposition 18

1.1.4.2. Un infinitif précédé d'une préposition 19

2. Le CCC en grammaire structurale 21

2.1. La Grammaire Générative et Transformationnelle (GGT) 21

2.2. La Grammaire dépendancielle 24

2.3. L'approche prédicative de la notion de conséquence 25

2.3.1. La subordination en grammaire prédicative 25

2.3.2. La consécutive en grammaire précative 27

2.3.2.1. Le choix 28

2.3.2.2. La motivation 28

2.3.2.3. Le contrôle 28

2.3.2.4. Le prédicat en grammaire prédicative 28

3. Le cadre théorique : la pragmatique linguistique 30

3.1. Le fondements de la pragmatique 32

3.2. Les concepts fondamentaux de la pragmatique 36

3.2.1. Le concept de contexte 36

3.2.2. Le concept de performance 37

3.2.3. Le concept d'acte 38

3.2.4. L'argumentation 41

CHAPITRE 2 : LES MARQUEURS MORPHOLOGIQUES DE CONSEQUÉNCE ET LEUR PORTÉE ARGUMENTATIVE 46

1. La conséquence réelle 47

1.1. La conséquence réelle attendue 47

1.1.1. Les marqueurs de relation inférentielle 48

1.1.1.1. Le connecteur donc 48

1.1.1.2. Le Marqueur alors 51

1.1.1.2. 1. La valeur temporelle de alors 51

1.1.1.2.2. La valeur consécutive 53

1.1.1.3. Le Connecteur ainsi 56

1.1.1.4. Le marqueur aussi 59

1.1.2. Les marqueurs de consécution factuelle 62

1.1.2.1. L'expression de la conséquence par l'intensité 62

1.1.2.2. L'expression de la conséquence par la manière 65

1.1.3. Les marqueurs lexicaux de conséquence 67

1.1.3.1. Le verbe 67

1.1.3.1.1. Suffire 67

1.1.3.1.2. Finir par 68

1.1.3.2. Le groupe prépositionnel Jusqu'aux + GN 69

1.2. La conséquence inattendue 70

1.2.1. Le connecteur eh bien 70

1.2.2. Le marqueurs du coup 72

2. La conséquence irréelle 73

2.1. L'adverbe 74

2.2. Le groupe prépositionnel 74

3. La conséquence niée 75

3.1. La préposition sans 76

3.1.1. Sans + infinitif 76

3.1.2. Sans + GN 77

3.1.3. Le connecteur Sans que 78

CH APITRE 3 : LA CONSÉQUENCE MORPHOSYNTAXIQUE : PROPRIÉTÉS ET VALEURS I

1. La conséquence implicite 83

1.1. La juxtaposition 83

1.1.1. La causalité directe 83

1.1.2. La causalité indirecte 85

1.2. L'apposition 91

1.2.1. La relative apposée 91

1.2.2. Le participe présent 92

2. Les types et les valeurs de la relation de cause à effet 93

2.1. Les constructions détachées 93

2.1.1. L'adjectif apposé 95

2.1.2. Le connecteur comme 97

2.1.3. Le connecteur quand/lorsque 99

2.2. Les autres formes linguistiques 101

2.2.1. L'aspect 101

2.2.2. La modalité 103

2.2.2.1. La conjonction De sorte que + sans doute 104

2.2.2.2. La conjonction Si...que + un verbe d'opinion 106

2.2.3. L'hypothèse 106

2.2.4. La double corrélation 109

3. La relation entre la conséquence et les modalités de phrase 111

3.1. Donc marquant une interrogation 111

3.2. Donc marquant une injonction 113

3.3. Donc associé à une intonation exclamative 114

3.4. Les adverbes d'intensité si, tellement, tant associés à une 115

CHAPITRE 4 : LA CONSÉQUENCE ET LES AUTRES RÉLATIONS LOGIQUES I

1. La relation consécution et finalité 118

1.1. Les locutions conjonctives 118

1.2. La consécution, la finalité et la manière 124

2. Le rapport consécution et comparaison 127

2.1. Le cas de si et de tant comparatif 128

2.2. La locution tel...que comparatif 130

3. La relation consécution et concession 134

3.1. La concession négative 135

3.2. La concession hypothétique 142

CONCLUSION GÉNÉRALE I

BIBLIOGRAPHIE 151

TABLE DES MATIÈRES I

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