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Cinéma
Le cinéma d'horreur en France : entre culture et consommation de masse
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par
Laure HEMMER
EAC Paris - Master 1 Management de projets culturels 2007
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REMERCIEMENTS
AVANT-PROPOS
PREMIèRE PARTIE
LE CINéMA D'HORREUR
PASSé ET PRéSENT
CHAPITRE 1 : Définir le genre
1.1. Tentative de classification, le mal français
1.2. L'angoisse, la peur, l'épouvante, l'horreur : l'implication physique des spectateurs
1.3. Entre voyeurisme et suggestion, le cruel dilemme du cinéma d'horreur
1.4. Codes ou accessoires ?
1.4.1. La violence et l'incarnation du mal
1.4.2. La morale
1.4.3. Les échos historiques, sociaux et esthétiques
CHAPITRE 2 : IDENTIFICATION DE L'OBJET : UN CORPS éVOLUTI F DOTé
DE NOMBREUx TENTACULES
2.1. Le cinéma fantastique dans la première moitié du XXe siècle : l'horreur qui ne dit pas son nom
2.2. Les évolutions post Seconde Guerre mondiale : le traumatisme générateur de nouvelles pistes horrifiques
2.2.1. Le splatter movie : aux frontières du gore et du survival
2.2.2. L'horreur à l'italienne : gialli, cannibales et gore
2.2.3. Le slasher et le post-slasher : l'explosion du genre
2.2.4. Le thriller
2.2.5. Les torture-fl icks et autres porn-flicks
CHAPITRE 3 : L'EXEMPLE FRANÇAIS : ENTRE ATTIRANCE ET RéPULSION
3.1. La faiblesse de la production
3.2. La réaction des institutions : la réglementation de l'accès aux films
3.2.1. De la censure...
3.2.2. ...à la classification
3.2.3. Attractivité des classifications élevées
3.3. Les enjeux économiques du secteur : problèmes et solutions
3.3.1. L'autocensure dictée par le financement des chaînes de télévision
3.3.2. L'accès aux aides publiques
4. EN CHAIR ET EN OS : LES FILMS D'HORREUR ET LEUR PUBLIC
4.1. Le plaisir de regarder : données psychologiques
4.1.1. L'influence des images violentes
4.1.2. A la recherche de la peur : la catharsis par la terreur
4.1.3. Le voyeurisme
4.2. Quelle culture pour les films d'horreur ?
4.2.1. La subversion
4.2.2. Les avatars subculturels de la communauté
4.2.3. Une cible marketing ?
DEUXIEME PARTIE
LES PRINCIPAUX Réseaux DE
DIFFUSION en France,
QUEL Modèle Socio-économique
POUR LES FILMS D'HORREUR ?
CHAPITRE 1 : LES AVATARS DE LA Communauté
1.1. Des pratiques amateurs évoluant vers le professionnalisme
1.1.1. La presse spécialisée : fanzines et magazines
1.1.2. Internet : le domaine de tous les possibles
1.2. Projeter des films : pour qui et pour quoi ?
1.2.1. Les soirées ponctuelles
1.2.2. Allier passion et professionnalisme : l'Etrange Festival
1.2.3. Le fantastique et les institutions cinématographiques
CHAPITRE 2 : LES Réseaux CLASSIQUES
DE LA Filière Cinématographique
2.1. Le cinéma, un lieu vénéré mais délaissé...
2.1.1. Les films d'horreur dans l'univers des salles
2.1.2. Le premier filtrage des distributeurs ?
2.1.3. Horreur chez les exploitants
2.1.3.1. Du rififi dans les circuits...
2.1.3.2. Les salles indépendantes : quelle place pour le
fantastique/horreur ?
2.2. ...Au profit d'un marché vidéo plus adapté ?
2.2.1. De la VHS au DVD : données chiffrées et réglementation
2.2.2. Et les films d'horreur dans tout çà ?
2.2.3.1. Des éditeurs/distributeurs généralistes entreprenants
2.2.3.2. Les éditeurs spécialisés : une survie difficile
2.3. La télévision
2.3.1. Les restrictions établies par le CSA
2.3.2. La réalité de la programmation des films d'horreur, un exemple : la programmation du 17 février au 15 mars1
2.3.2.1. Les chaînes
2.3.2.2. Les horaires
2.3.2.3. La signalétique
2.3.4. Les programmations spéciales sur les chaînes non spécialisées
2.3.5. Les chaînes spécialisées sur le câble
SYNTHèse
LEXIQUE
Index Analytique
INDEX DES NOMS PROPRES
INDEX DES FILMS
INDEX DES ILLUSTRATIONS
BIBLIOGRAPHIE
Table des matières OENERALE
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