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Table des matières OENERALE
Introduction 1
1ère Partie : Le cinéma d'horreur :
passé et présent 6
Chapitre 1 : Définir le genre 8
1.1. Tentative de classification, le mal français 8
1.2. L'angoisse, la peur, l'épouvante, l'horreur :
l'implication physique des spectateurs 11
1.3. Entre voyeurisme et suggestion, le cruel dilemme du
cinéma d'horreur ....14
1.4. Codes et accessoires 15
1.4.1. La violence et l'incarnation du mal 15
1.4.2. La morale 17
1.4.3. Les échos historiques, sociaux et
esthétiques ...18
Chapitre 2 : Identification de l'objet : un corps
évolutif doté de nombreux tentacules 20
2.1. Le cinéma fantastique dans la première
moitié du XXe siècle : l'horreur qui ne
dit pas son nom 20
2.2. Les évolutions post Seconde
Guerre Mondiale : le traumatisme générateur de
nouvelles pistes horrifiques 23
2.2.1. Le splatter movie : aux frontières du gore et du
survival 25
2.2.2. L'horreur à l'italienne : gialli, cannibales et
gore 28
2.2.3. Le slasher et le post slasher : l'exploitation du genre
29
2.2.4. Le thriller 31
2.2.5. Les torture-flick et autres porn-flick 32
Chapitre 3 : L'exemple français : entre attirance
et répulsion 35
3.1. La faiblesse de la production 35
3.2. La réaction des institutions : la
réglementation de l'accès aux films
3.2.1. De la censure 38
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3.2.2. .... à la classification
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3.2.3. Attractivité des restrictions élevées
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3.3. Les enjeux économiques du secteur : problèmes
et solutions
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3.3.1. L'autocensure dictée par le financement des
chaînes de télévision 43
3.3.2. L'accès aux aides publiques 45
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Chapitre 4 : En chair et en os : les films d'horreur et leur
public
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4.1. Le plaisir de regarder : données psychologiques
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4.1.1. L'influence des images violentes
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4.1.2. A la recherche de la peur : la catharsis par la terreur
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4.1.3. Le voyeurisme
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4.2. Quelle culture pour les films d'horreur ?
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4.2.1. La subversion
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4.2.2. Les avatars subculturels de la communauté
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4.2.3. Une cible marketing ?
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2ème partie : Les principaux réseaux de
distribution en France :
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Quel modèle socio-économique pour les films
d'horreur ?
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Chapitre 1 : Les avatars de la communauté
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1.1. Des pratiques amateurs évoluant vers le
professionnalisme
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1.1.1. La presse spécialisée : fanzines et
magazines
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1.1.2. Internet : le domaine de tous les possibles
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1.2. Projeter des films : pour qui et pour quoi ?
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1.2.1. Les soirées ponctuelles
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1.2.2. Allier passion et professionnalisme : l'Etrange Festival
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1.2.3. Le fantastique et les institutions
cinématographiques
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Chapitre 2 : Les réseaux classiques de la filière
cinématographique
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2.1. Le cinéma : un lieu vénéré mais
délaissé 75
2.1.1. Les films d'horreur dans l'univers des salles 75
2.1.2. Le premier filtrage des distributeurs 76
2.1.3. Horreur chez les exploitants 80
2.1.3.1. Du rififi dans les circuits 80
2.1.3.2. Les salles indépendantes : quelle place pour le
fantastique/horreur? 82
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2.2. ... au profit d'un marché vidéo plus
adapté
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2.2.1. De la VHS au DVD : données chiffrées et
réglementation
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2.2.2. Et les films d'horreur dans tout çà ?
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2.2.3.1. Des éditeurs/ distributeurs
généralistes entreprenants
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2.2.3.2. Les éditeurs spécialistes : une survie
difficile
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2.3. La télévision
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2.3.1. Les restrictions établies par le CSA
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2.3.2. La réalité de la programmation : un exemple
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2.3.2.1. Les chaînes
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2.3.2.2. Les horaires
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2.3.2.3. La signalétique
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2.3.3. Les programmations spéciales sur les chaînes
spécialisées
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2.3.4. Les chaînes spécialisées sur le
câble
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Conclusion 106
Synthèse 110
Lexique 116
Index analytique 120
Index des noms propres 121
Index des films 124
Index des illustrations .125
Bibliographie 126
Tome 2 : annexes
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