Du système d'organisation d'un centre social associatif à la citoyenneté de proximité en tant qu'enjeu démocratique

• - INTRODUCTION -
  L'ACTE D'ASSOCIATION AU CENTRE DU SOCIAL.
  
• - PARTIE I -
  LA CONTRIBUTION D'UN CENTRE SOCIAL
  A LA CITOYENNETE DE PROXIMITE,
  DES POINTS DE VUE QUI SE COMPLETENT.
  
  • - CHAPITRE 1 -
    LE CENTRE SOCIAL
    ENTRE PARTENAIRES ET OPERATEURS
    DE POLITIQUES PUBLIQUES.
    
    • 1 - Le centre social : un équipement de voisinage dédié au travail social et familial.
      
    • 3 - Le centre social : un partenaire-opérateur de terrain, inscrit dans les dispositifs d'insertion politicoadministratifs.
      
  • - CHAPITRE 2 -
    LE CENTRE SOCIAL,
    UN ENJEU DE LEGITIMITE DES POLITIQUES
    D'ACTION SOCIALE LOCALES.
    
    • 1 - La commune : la légitimité du territoire de la vie quotidienne.
      
    • 2 - La Caisse d'allocations familiales : la légitimité du tiers-médiateur.
      
    • 3 - La Caisse d'allocations familiales et la commune : la légitimité d'une concertation contractualisée.
      
    • 1 - Le projet associatif comme agrément partenarial de
      
    • la Caisse d'allocations familiales et de la commune.
      
    • 2 - Les valeurs partagées comme réponses aux environnements socio-économiques et institutionnels complexes.
      
    • 3 - La commande publique comme subordonnée à la demande sociale.
      
• - PARTIE II -
  UNE ADMINISTRATION DE PROJETS QUI
  SOUS-TEND UNE RECONNAISSANCE DE
  LEGITIMITE RECIPROQUE ENTRE L'ASSOCIATION
  DE GESTION DES CENTRES SOCIAUX
  ET LA COMMUNE.
  
  • - CHAPITRE 1 -
    UNE CONJECTURE :
    DES ACTEURS DONT LA POSITION
    S'INSCRIT DANS UNE
    DEMARCHE INSTITUTIONNELLE.
    
    • 1 - Un système institutionnel intriqué.
      
    • 2 Une intervention sociale spécifique.
      
    • 3 - Une relation institutionnelle hybride.
      
  • - CHAPITRE 2 -
    UNE METHODE :
    UNE ANALYSE INDUITE PAR DES ENTRETIENS.
    
    • 1 - Une méthode qui infère la problématique.
      
    • 2 - Des acteurs qui incluent l'auteur.
      
    • 3 - Des données formelles empreintes d'expérience.
      
  • - CHAPITRE 3 -
    
  • UN RESULTAT :
    
  • UNE LEGITIMITE RECIPROQUEMENT
    RECONNUE ET CONTROVERSEE.
    
    • 1 - Une délimitation des compétences en débat.
      
    • 2 - Un partenariat nécessairement sous tension.
      
    • 3 - Une configuration associative en camaïeu.
      
• - PARTIE III -
  
• LA CONTRIBUTION DE L'ASSOCIATION
  
• DE GESTION DES CENTRES SOCIAUX
  
• DOLTO ET MONTA BERLET
  
• A LA PRODUCTION DE LA DEMOCRATIE
  
• LOCALE, UNE ORGANISATION QUI
  
• S'AJUSTE AU PROJET D'INTERMEDIATION.
  
  • - CHAPITRE 1 -
    NI PRIVE, NI PUBLIC, L'ENTRE-DEUX
    SOCIO-ECONOMIQUE ASSOCIATIF.
    
    • 1 - L'effet de levier social des ressources publiques et associatives.
      
    • 2 - La contribution des bénévoles à l'économie sociale.
      
    • 3 - L'apport des salariés à la cohésion sociale.
      
    • 4 - Des chantiers à développer et à mettre en oeuvre.
      
  • - CHAPITRE 2 -
    NI INDEPENDANT, NI ASSUJETTI,
    L'ENTRE-DEUX DE L'ACTEUR ASSOCIATIF.
    
    • 1 - Un diagnostic à débattre en commun.
      
    • 2 - Des procédures et des processus à discuter.
      
    • 3 - Des chantiers à développer et à mettre en oeuvre.
      
  • - CHAPITRE 3 -
    NI AMATEUR, NI SPECIALISTE,
    L'ENTRE-DEUX DES COMPETENCES DES
    RESSOURCES HUMAINES ASSOCIATIVES.
    
    • 1 - Un axe d'adaptation à maintenir, la formation permanente.
      
    • 2 - Des synergies apprenantes à cultiver, les ressources du changement.
      
    • 3 - Des traducteurs de logiques partenariales à apprêter, les porteurs institutionnels du projet.
      
    • 4 - Des chantiers à développer et à mettre en oeuvre.
      
• - CONCLUSION -
  VIVRE ENSEMBLE AU CENTRE DU SOCIAL.
  
• BIBLIOGRAPHIE
  
• - DOCUMENTS -
  
• TABLE DES MATIERES