Rôle du capital social dans l'appropriation par la communauté d'un projet de développement rural à l'extrême-nord (Cameroun).( Télécharger le fichier original )par Laurent Parfait NDENGUE Université Catholique d'Afrique Centrale - M.Sc en Développement et Managemrnt des Projets 2011 |
D. Au Gouvernement de la républiqueLe projet PLID s'est davantage limité à la dimension technique des actions conduites. Mais au regard de l'importance des questions foncières dans la zone d'intervention du projet, nous recommandons au gouvernement de la république à travers les autorités traditionnelles détentrices du pouvoir coutumier « chefs de terre » et les autorités politico-administratives, de se placer au centre du débat. En effet, ils sont les seules capables d'entériner et de crédibiliser les instruments, mécanismes ou décisions résultant des négociations conduites entre locataires et propriétaires. Le projet contribuant également à l'atteinte des objectifs fixés par les politiques publiques, tant sectorielles qu'intersectorielles ; il est donc nécessaire que l'Etat redynamise ses services au niveau local parce que la disparition progressive des infrastructures locales contribue à la poursuite du déclin du capital économique et en définitive, du capital social, condition préalable à un développement rural solide et durable (Weisinger, 2007). E. Aux bailleurs de fondNous avons notés un grand besoin d'une seconde phase du projet PLID visant à consolider les acquis de la première, en testant le passage de l'échelle village à l'échelle régionale. Pour ce fait, nous recommandons aux bailleurs de fonds de mettre à la disposition du projet assez de moyens financiers, parce que l'insuffisance de fonds a été un facteur limitant de la phase pilote du projet. En outre, nous recommandons à ces bailleurs et à tous ceux qui financent les activités de développement rural de ne pas se limiter à l'exploitation des rapports qui leurs sont parvenu pour se rassurer de l'effectivité des activités, mais à effectuer des descentes sur le terrain. En effet, le sondage auprès des bénéficiaires est un moyen de juger de l'efficacité d'un projet/programme. En définitive, les entraves à la réalisation du projet sont attribuées aux communautés locales à l'équipe du projet, à la société civile et au gouvernement. Et les recommandations faites aux parties prenantes préalablement citées ainsi qu'aux bailleurs de fonds peuvent contribuer à une réussite de la deuxième phase du projet qui est attendue.
Les causes des échecs des projets de lutte contre la désertification entrepris depuis plus de quarante ans dans le Sahel sont multiples et aussi variées que la diversité des cas de figure, chaque projet étant quasiment unique en son genre. Mais la principale cause réside dans le fait que, la démarche technique, voire techniciste, l'ait toujours emporté sur l'approche sociale dans la plupart des projets mis en oeuvre dans le monde rural au Cameroun. Il est donc nécessaire de compter avec la population locale pour assurer leur implication et réduire les échecs. Le Projet de Lutte Intégrée contre la Désertification (PLID) a été mis en oeuvre dans ce contexte, avec pour ambition de susciter l'adhésion du plus grand nombre. Notre analyse a pour objectif le capital social. La question de recherche portait sur le rôle du capital social dans l'appropriation du PLID par les communautés du district paroissial de Wazzang-Kalliao. Pour y arriver, nous avons émis l'hypothèse selon laquelle, le capital social favorise l'implication des membres de la communauté dans les activités du projet, mais cette implication est limitée par leur niveau d'accès aux ressources du projet, et leur comportement basé sur les principes de sélection et de détournement du projet. Ces limites sont relevées dans les deux hypothèses secondaires suivantes : le fort développement des réseaux sociaux informels dans la communauté a facilité aux populations l'accès aux ressources du projet ; le niveau de confiance élevé dans la communauté n'a pas limité les principes de sélection et de détournement des activités du projet par les bénéficiaires. Pour donner forme à cette analyse, nous avons opté pour la méthode interactionniste mise au point par l'Ecole de Chicago, afin d'expliquer de manière synchronique et rendre compte des stratégies et tactiques des bénéficiaires du projet PLID, en fonction de leurs buts et de leurs ressources. En outre, les populations disposent individuellement ou en en groupe, d'une marge de liberté qu'ils utilisent de façon stratégique dans leurs interactions, malgré les contraintes que leur impose le système. Nous avons aussi choisi la méthode stratégique de Crozier et Friendberg à cet effet. Enfin nous avons complété les deux méthodes précédentes par l'approche macro est centrée sur la valeur d'intégration et de cohésion sociale du capital social dans la communauté et l'approche méso centrée sur la valeur instrumentale du capital social comme mobilisateur et producteur de ressources comme l'information et d'autres échanges dans la communauté. L'analyse du capital social réalisée à Wazzang-Kalliao met en exergue les difficultés de développement de cette localité. En effet elle est caractérisée par la baisse de la fertilité des sols provoquée par le phénomène d'érosion, la difficulté d'accès à l'eau potable et d'abreuvement du bétail, l'insuffisance des structures d'encadrement des producteurs, les pratiques agricoles et pastorales extensives, le surpâturage, les feux de brousse mal gérés. A ceci s'ajoutent la croissance démographique rapide associée à un déficit alimentaire chronique et une réduction des revenus qui, poussent les populations à exercer une forte pression sur leur environnement. Il faut donc adopter des pratiques plus conservatrices. Dans ces conditions défavorables, cette communauté détient un capital social viable, mais celui est menacé par l'exode rural des plus actifs, c'est-à-dire les jeunes. Cette étude montre que la mise en oeuvre du projet PLID s'appuie sur une stratégie au centre de laquelle se trouve l'autopromotion paysanne. Elle a été cependant entravée par le capital social qui a eu une incidence sur la performance, la compétitivité des acteurs chargés de l'implémenter. Dans la communauté de Wazzang-Kalliao, le capital social est en deux temps, dans un réseau formel et dans un réseau informel. La participation sociale dans les réseaux formels organisés reste cependant très faible ; la plupart des activités se déroulent dans les réseaux informels. Toutefois, il y a une exception, le réseau formel du CDD présente un haut niveau de confiance entre les populations et les agents de développement qui leur favorisent l'accès aux ressources. La faible participation social dans les réseaux formels favorise le développement de l'informe, qui augmente le niveau de confiance. Dans ces regroupements informels, la population dépend de ses liens d'attachement, comme la famille et les amis, pour de l'aide sur les activités de développement. En outre, il y a un grand niveau de réseautage et les liens d'accointances y sont favorables aux échanges d'information, d'entraide et l'accès aux ressources et appuis divers. Ce résultat confirme notre hypothèse secondaire selon laquelle le fort développement des réseaux sociaux informels dans la communauté a permis aux populations, d'accéder facilement aux ressources du projet. Par contre, une forte dépendance des liens d'attachement pourrait à long terme limiter le niveau d'appropriation des populations, le développement durable étant un processus qui dépend de l'action collective. Les populations doivent davantage s'entraider afin d'augmenter leur niveau d'appropriation et assurer la pérennisation des projets de développement rural. Mais trop de demandes importantes sur la solidarité des personnes et trop exigences au-delà des capacités des populations peuvent détruire le capital social. Le niveau de confiance élevé dans la communauté favorise l'implication des populations aux activités du projet et limite les principes de sélection et de détournement énoncés par Olivier de Sardan. En effet, certains aspects de l'organisation sociale tels que la confiance, les normes et les réseaux d'engagement civique peuvent apporter une aide significative aux communautés. Ce résultat infirme don l'hypothèse selon laquelle, le niveau de confiance élevé dans la communauté n'a pas limité les principes de sélection et de détournement des activités du projet par les bénéficiaires. Finalement, le manque de confiance dans la communauté rurale nuit au processus d'appropriation des activités de développement rural. Cette étude démontre le capital social peut jouer un rôle décisif pour la reconstruction d'identités locales et le retour de la confiance dans le contexte spécifique des communautés rurales dont les institutions de développement ont chuté au Cameroun. Pour que les populations s'approprient des activités du projet, il faut aussi la construction d'une politique publique qui reflète les besoins de tous les membres de la communauté. Cela ne serait possible que s'il existe une société civile parmi les ruraux qui favoriserait la construction et l'application des politiques publiques dans le secteur, pour un développement durable. Les recherches futures pourraient aborder la notion de construction de la société civile en milieu rural, afin d'avoir une approche sectorielle à l'appropriation d'un projet de développement rural par les communautés au Cameroun. AFITEP-AFNOR., 1992. Dictionnaire de management de Projet, AFNOR, Paris 2ème édition. BARY M.A., 1977. Economie du développement : les grands pionniers, GIDEPPE, Paris. BEAUVILAN A., 1989. Nord-Cameroun. Crise et peuplement, Tome1&2, Imp. Claude Bellée à Courtance (Manche). BOUDON R., 1979. La logique du social : introduction à l'analyse sociologique, Hachette, Paris. CICIBA., 1989. 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Organisations socioprofessionnelles 33 5. Intervenants et partenaires au développement 35 D. Les Infrastructures Sociales de Wazzang-Kalliao 35 1. Etablissements scolaires 35 III. ACTIVITES SOCIO-ECONOMIQUES 36 IV. PROBLEMATIQUE DE LA DESERTIFICATION A WAZZANG-KALLIAO 38 CHAPITRE 2 : PRESENTATION DU PROJET DE LUTTE INTEGREE CONTRE LA DESERTIFICATION 41 I. PRINCIPAUX AXES STRATEGIQUES DU PLANNATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION (PAN/LCD). 42 A. Aménagement et gestion participative de l'espace 42 B. Gestion durable des ressources naturelles (eau, sols, couvert végétal, faune) 43 C. Restauration des terres dégradées et amélioration de la fertilité des sols 43 D. Renforcement des capacités d'intervention des acteurs en matière de lutte contre la désertification 44 E. Gestion concertée des ressources partagées au niveau sous régional 44 A. Justification du projet PLID 45 III. LES RESSOURCES DU PLID 47 A. Les ressources humaines du PLID 47 B. Les ressources matérielles 48 C. Les ressources financières 48 IV. LES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS 49 A. Pratique de techniques intégrées de lutte antiérosive 50 1. Formation et accompagnement des agriculteurs aux techniques de lutte antiérosive. 51 2. Appui à l'acquisition des équipements agricoles 52 3. Organisation de voyages visites pour les groupes 52 B. Réalisation d'ouvrages de gestion des ressources hydriques 52 1. Etude technique sur la gestion des eaux 52 2. Sensibilisation de la population sur les problèmes d'eau 53 3. Accompagnement de la population pour les réalisations physiques 53 C. Prise de conscience de l'importance de l'arbre 54 D. Structuration et renforcement des capacités des groupes cibles et partenaires. 56 1. Les structures partenaires associées dans la mise en oeuvre du PLID. 57 2. Les groupes cibles du Projet 58 3. Le Comité de Promotion Humaine (CPH) 59 4. Renforcement organisationnel et du développement institutionnel des groupes cibles et associations. 59 5. Appui à l'acquisition des équipements des groupes cibles et associations partenaires 60 CHAPITRE 3 : CAPITAL SOCIAL COMME OUTIL D'APPROPRIATION D'UN PROJET DE DEVELOPPEMENT RURAL 62 I. LA VIE COMMUNAUTAIRE A WAZZANG-KALLIAO 63 A. La communauté de Wazzang-Kalliao 63 B. Perception de la communauté par les populations 64 II. APPROPRIATION DES ACTIVITES DE LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION. 65 A. Analyse de la stratégie et de l'approches d'intervention 65 B. Actions de lutte contre la désertification 66 1. La pratique de techniques intégrées de lutte antiérosive 66 2. La réalisation d'ouvrages de gestion des ressources hydriques 68 3. Education environnementale et promotion de l'arbre 68 4. Action des structures associés 69 III. LES RESEAUX SOCIAUX COMME VECTEUR DE DEVELOPPEMENT 70 A. Les réseaux formels à Wazzang-Kalliao 70 B. L'informel à Wazzang-Kalliao 71 IV. LA CONFIANCE, VECTEUR D'APPROPRIATION DES ACTIONS DE DEVELOPPEMENT 74 V. LES ENTRAVES A LA REALISATION DU PROJET 77 A. Non prise en compte de l'aspect organisationnel des communautés 77 B. Mauvaise planification comme limite à la participation de la communauté aux actions du Projet 77 C. Limites de l'approche village 78 D. Exclusion social comme limite à l'appropriation du projet 78 E. Absence de capitalisation des acquis du projet 79 D. Au Gouvernement de la république 81
ANNEXE 1 : FORMULAIRE DE CONSENTEMENT DE L'INSTITUT CATHOLIQUE DE YAOUNDE Titre de la recherche Capital social et Développement Rural Au Cameroun : Cas Projet de Lutte Intégrée contre la Désertification à Maroua dans l'extrême-nord. Chercheur : Laurent Parfait NDENGUE Directeur de recherche : Professeur. Marie Thérèse MENGUE A. RENSEIGNEMENTS AUX PARTICIPANTS 1. Objectifs de la recherche. Cette recherche vise à mieux comprendre le rôle du capital social dans l'appropriation du Projet Intégré de Lutte contre la Désertification par les populations du District Paroissial de Wazzang-Kalliao dans du Diocèse de Maroua-Mokolo. 2. Participation à la recherche Votre participation à cette recherche consiste à un entretien : ? par entrevue ?par questionnaire 3. Confidentialité Les renseignements que vous nous donnerez demeureront confidentiels. Chaque participant ou groupe de participants à la recherche se verra attribuer un numéro et seul le chercheur principal aura la liste des participants et du numéro qui leur aura été accordé. De plus, les renseignements seront conservés dans un classeur sous clé situé dans un bureau fermé. Aucune information permettant de vous identifier d'une façon ou d'une autre ne sera publiée étant donné le caractère anonyme des entretiens. Ces renseignements personnels seront détruits au plus tard le 15 août 2011. Seules les données ne permettant pas de vous identifier pourront être conservées après cette date. 4. Avantages et inconvénients En participant à cette recherche, vous pourrez contribuer à l'avancement des connaissances. Votre participation à la recherche pourra également vous donner l'occasion de mieux vous connaître. 5. Droit de retrait Votre participation est entièrement volontaire. Vous êtes libre de vous retirer en tout temps par avis verbal, sans préjudice et sans devoir justifier votre décision. Si vous décidez de vous retirer de la recherche, vous pouvez communiquer avec le chercheur, au numéro de téléphone indiqué à la dernière page de ce document. Si vous vous retirez de la recherche, les renseignements personnels vous concernant et qui auront été recueillis au moment de votre retrait seront détruits. 6. Indemnité Aucune B. CONSENTEMENT Je déclare (nous déclarons) avoir pris connaissance des informations ci-dessus, avoir obtenu les réponses à mes (nos) questions sur ma participation à la recherche et comprendre le but, la nature, les avantages, les risques et les inconvénients de cette recherche. Après réflexion et un délai raisonnable, je consens (nous consentons) librement à prendre part. Je sais (Nous savon) que je peux me (nous pouvons nous) retirer en tout temps sans préjudice et sans devoir justifier ma (notre) décision. Signature : ___________________________ Date : _________________________________ Noms : ______________________________ Prénoms : ______________________________ Je déclare avoir expliqué le but, la nature, les avantages, les risques et les inconvénients de l'étude et avoir répondu au meilleur de ma connaissance aux questions posées. Signature du chercheur___________________ Date : ___________________________ Nom : NDENGUE Prénom : Laurent Parfait Pour toute question relative à la recherche, ou pour vous retirer de la recherche, vous pouvez communiquer avec Laurent Parfait NDENGUE candidate au Master, au numéro de téléphone suivant : (237) 99969715 ou à l'adresse courriel suivante : ndenguelp@yahoo.fr.Vous pouvez aussi communiquer avec, Edouard KALDAPA, le Coordonnateur du projet PLID au numéro : (237) 99869931 ou à l'adresse : cddmaroua@yahoo.fr Toute plainte relative à votre participation à cette recherche peut être adressée au Professeur Marie Thérèse MENGUE, la coordinatrice du Master DMPA à la FSSG de l'Institut Catholique de Yaoundé aux numéros : (237) 22237400 / 22238460 / 99968460 / 99968516 ou aux courriels : masterdmpaucac@yahoo.fr / mengue _mt@yahoo.fr / managersucacgroupesyahoo.ca N.B : Un exemplaire du formulaire d'information et de consentement signé doit être remis au participant ANNEXE 2 : ENTREVUE AVEC LES RESPONSABLES DES ASSOCIATIONS PARTENAIRES DU PROJET PLID DANS LE DIOCESE DE MAROUA-MOKOLO Date de l'entrevue : ___________________________________________________________ Nom : ______________________________________________________________________ Activité principale____________________________________________________________ Adresse : ___________________________________________________________________ Téléphone : _________________________________________________________________ GENESE DU GROUPE Date de création : Année __________________ 1. Raisons de création de votre association ? 2. Depuis combien d'années oeuvrez-vous partenaire du CDD ? 3. Quelle langue de communication dans votre association ? COMPOSITION DU GROUPE 4. Quel est votre statut juridique: ?Légalisé ?Non légalisé 5. Si vous n'avez pas de textes comment devient-on membre de votre groupe ? 6. Religion (s) pratiquée (s) par les membres de l'association ? ACTIVITES DE LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION 7. Depuis combien d'année oeuvrez-vous pour la lutte contre la désertification? 8. Comment avez-vous commencé à le faire avec quel appui? 9. Décrivez-nous votre stratégie ? 10. Quel est votre plus grand défi dans la lutte contre la désertification ? 11. Quelles sont vos sources d'information pour prendre vos décisions par rapport à vos activités qui contribuant à la lutte contre la désertification? 12. Raisons se choix de votre association comment partenaire du PLID ? 13. Sur quoi est basé votre partenariat avec le PLID ou le CDD ? 14. Quelle est votre perception de la désertification? 15. Est-ce que vous discutez de l'environnement et de la lutte contre la désertification avec d'autres associations dans la région ou ailleurs? ?Oui ? Non 16. Si oui de quoi discutez-vous? 17. Pour ce qui est des projets de développement, quels furent les plus marquants dans le diocèse? 18. Comment votre association les a-t-il accueillis? 19. Qu'est-ce que le projet PLID vous a apporté de plus par rapport aux autres? 20. Connaissez-vous d'autres associations ou réseaux formels ou informels se rapportant à la lutte contre la désertification en générale?
21. Quelles sont les activités que l'association mène dans le cadre du PLID et comment? 22. Comment se passent les autres activités du PLID? 23. Pourquoi avez-vous décidé de participer aux activités du PLID ? 24. Comment oeuvrez-vous pour la pérennisation des activités du PLID ? COMITE LOCAL 25. Comment les comités locaux des villages ont été créés ? 26. Comment sont-ils organisés et quel est leurs statuts? 27. Quel est l'apport de ces comités sur l'adoption du projet par les populations ? 28. Quel a été le rôle de votre association dans cet apport? 29. Quels atouts possèdent les comités locaux pour pérenniser les activités du PLID? 30. Comment est-ce que les comités locaux vous aident-t-ils à pérenniser les activités du projet PLID ? 31. Si une circonstance arrivait que vous ne soyez plus partenaire du CDD, est ce que vous continuez à promouvoir et à diffuser les pratiques du PLID, pourquoi? GROUPES ET RÉSEAUX 32. Est-ce qu'il y a des groupes, associations, organisations ou projets qui sont très importants dans le diocèse?
33. Quelles sont les activités de développement du diocèse où les personnes peuvent se rencontrer?
34. Comment votre association participe-t-il à ces activités? 35. Quels sont des lieux plus informels où les personnes se réunissent dans la communauté? 36. Qui sont les personnes influentes dans la communauté?
CONFIANCE 37. Comment se fait la confiance entre les membres de votre association? 38. En général, faite vous confiance à l'équipe du PLID, pourquoi? 39. En général, faite vous confiance aux groupes de producteurs, pourquoi? 40. Comment votre niveau de confiance envers la population a-t-il évolué dans le temps? 41. En cas de besoin d'aide, à qui vous adressez-vous en premier ? 42. Avez-vous des exemples d'incidents dans les associations, groupes de producteurs les comités locaux qui démontrer le niveau de confiance ou le manque de confiance? (ex. : disputes, conflits entre groupes, choses perdu et retrouvées...) 43. Quels sont les cas où il y a beaucoup de confiance entre les membres, et quels sont les cas où il n'y a aucune confiance entre les membres? 44. Pour les décisions d'entreprises des activités du projet PLID, à qui faites-vous confiance et pourquoi? 45. Quel est votre conception du Capital social ? 46. D'après vous comment ce capital social a-t-il contribué à l'adoption du projet PLID par les populations? ÉDUCATION ET REVENU 47. Quelle est le niveau scolaire le plus bas des membres de l'association? Quelle en est le plus élevé ? 48. Quelles formations techniques l'association a reçu ces 05 dernières années et de qui?
49. Quel est le revenu des membres de votre association par année? 50. Quel est le revenu moyen annuel dans le diocèse? ANNEXE 3 : ENTREVUE AVEC LES GROUPES CIBLES BENEFICIAIRES PROJET PLID DANS LE DIOCESE DE MAROUA-MOKOLO SECTION A : INTRODUCTION 1. Année de création : ___________________ 2. Nombre de membres : Femme___________________ Homme ____________________ 3. Depuis combien d'années le groupe est créé Pourquoi ? 4. Forme juridique : ?Légalisé ?Non légalisé 5. Comment le groupe a-t-il été créé ? 6. Avez-vous un règlement intérieur et un statut ? ?Oui? Non Si non comment devient-on membres du groupe ? 6. Quel est le lien qu'ont les membres du groupe ? 7. Quelles est la langue de communication dans le groupe ? 8. De quelles ethnies sont les membres du groupe ? 9. Y-a-t-il des non catholiques dans votre groupes ? ?Oui ?Non Si oui, de quel (s) religion (s) sont-ils ? 10. Etes-vous êtes tous propriétaires de terres que vous exploitez ? ?Oui ? Non Si non, à qui appartiennent-elles ? Et comment en êtes-vous entré en possession ? SECTION B : PRODUCTION 11. Quel vos votre principales activités ? 12. Vous pratiquez ces activités depuis combien d'années? 13. Quelle est l'importance de ces activités pour le développement du village ? 14. Comment avez-vous participé à la mise en oeuvre des activités du PLID ? 15. Comment êtes-vous devenu bénéficiaire du Projet PLID ? 16. Quelles sont vos activités extra-agricoles ? 17. Comment avez-vous eu l'information sur cette activité ? 18. Avez-vous déjà participé aux activités d'autres projets que le PLID? ?Oui ?Non a. Si oui, lesquels?
b. Comment avez-vous ? c. Qui vous a aidé à participer aux activités ? SECTION C : LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION 19. Comment obtenez-vous les informations sur l'environnement? 20. À votre avis, à quelle (s) information (s) faites-vous le plus confiance? 21. En quelles années avez-vous connu les plus lourdes pertes et quelles furent les causes? 22. Etes-vous affilié dans une EMF dans le diocèse? ?Oui ?Non a. Si oui, laquelle et comment se font les transactions d'argent? b. Sinon, pourquoi? 23. Quelles pratiques avez-vous modifié suite à l'avènement du PLID et comment?
SECTION D : VOTRE COMITE LOCAL 24. Comment le comité local de votre village a été formé et pourquoi ? 25. Comment est-ce que ce comité est organisé et comment fonctionne-t-il ? 26. Quel rôle joue-t-il dans le projet PLID et comment le fait-il? 27. Comment sont les relations entre ce comité et votre groupe ? 28. Comment est le lien social dans ce comité local ? 29. Comment le comité local vous aide-t-il à pérenniser les activités du PLID ? 30. Comment le comité local peut-il aider à la réussite future des projets de développement dans le village ? 31. Quel est la place que le comité local réserve aux jeunes et aux femmes du village ? SECTION E : CONFIANCE 32. A qui faites-vous confiance dans votre groupe ? 38. A qui faites-vous confiance dans le village ? 39. Faites-vous confiance aux membres des autres groupes, Pourquoi ? 40. Faites-vous confiance aux non catholique, Pourquoi ? 41. En général, faite vous confiance à l'équipe du PLID, pourquoi? 42. En général, faite vous aux membres du comité local du village, pourquoi? 43. Lorsque vous avez des décisions à prendre pour les activités de développement à qui faite vous confiance, Pourquoi? SECTION F : PARTICIPATION SOCIALE 44. En dehors des activités initiées par le PLID à quelles autres activités participe votre groupe dans le village ou ailleurs? 45. Qui vous aide à participer à ces activités et comment ? 46. Comment vos relations sociales vous ont-elles aidées à adopter les innovations du PLID ? SECTION G : CONCLUSION 47. Quelle est le niveau scolaire le plus bas des membres du groupe ?________________ Quelle en est le plus élevé? ___________________________________________ 48. Au cours des 5 dernières années, quels sont les formations ou conseils relatifs au développement que le groupe a reçu et de qui ?
49. Quel est le revenu moyen annuel des membres de votre groupe ? 50. Quel est le revenu moyen annuel dans le village? ANNEXE 4 : ENTREVUE AVEC LES COMITES LOCAUX Date de l'entrevue : _____________________________________________________ Village : ________________________________________________________________ Adresse : ______________________________________________________________ IDENTIFICATION Date de création : Année _________________ 1. Raisons de création? 2. Nombre de membres : Femme___________________ Homme ____________________ 3. Quelle langue de communication dans votre association 4. De quelles ethnies sont les membres du groupe ? 5. Quel est le statut juridique de votre groupe ? ?Légalisé ?Non légalisé 6. Avez-vous un règlement intérieur et un statut ? ?Oui ?Non Si non comment devient-on membres du comité ? 7. Est-ce qu'il y a des personnes non catholiques qui sont membres du Comité? ?Oui ?Non a. Si oui, quelle est leur religion? 8. Comment le comité a-t-il été créé 9. Quel est le lien social qu'ont les membres du comité 10. Tenez-vous régulièrement des réunions ? ?Oui ?Non Si non, pourquoi ? ACTIVITES DE LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION 11. Comment mener-vous régulièrement vos activités prévues par le PLID ? 12. Comment le PLID est arrivé dans votre village (par qui)? 13. Décrivez-nous votre action dans le projet PLID. 14. Quel est votre plus grand défi dans la lutte contre la désertification ? 15. Qu'est ce qui guidait le choix des groupes des producteurs avec lesquels vous travailliez dans le cadre du projet PLID ? 16. Quel est votre plus grand défi dans la lutte contre la désertification ? 17. À qui demandez-vous de l'aide pour la réalisation de vos activités ? 18. Quelles sont vos sources d'information pour prendre vos décisions par rapport à vos activités qui contribuant à la lutte contre la désertification? 19. Est-ce que vous discutez de l'environnement et de la lutte contre la désertification avec d'autres groupes dans la région ou ailleurs? ?Oui ? Non 20. Si oui de quoi discutez-vous? 21. Pour ce qui est des projets de développement, quels furent les plus marquants dans la localité? 22. Comment la population les a-t-elle accueillis? 23. Quelles types de relations entretenez-vous avec les groupes de producteurs du village? 24. Qu'est-ce que le projet PLID vous a apporté de plus par rapport aux autres? 25. Y a-t-il d'autres associations ou réseaux formels ou informels de développement du village?
26. Comment faites-vous pour pérenniser les actions du PLID dans votre localité? GROUPES DE PRODUCTEURS 27. Comment les groupes de producteurs du village ont été créés ? 28. Comment sont-ils organisés? 29. Quel est l'apport de ces groupes sur la lutte contre la désertification dans le village? 30. Quel a été le rôle de votre comité dans cet apport? 31. Quels atouts possèdent les groupes de producteurs pour pérenniser les activités du PLID? 32. Quels atouts possèdent le comité pour pérenniser les activités du PLID? 33. Comment est-ce que les associations partenaires vous aident-t-elles à pérenniser les activités du projet PLID ? 34. Si une circonstance arrivait que vous ne soyez plus membre du comité, est ce que vous continuez à promouvoir et à diffuser les pratiques du PLID, pourquoi? GROUPES ET RÉSEAUX 35. Est-ce qu'il y a des groupes, associations, organisations ou projets qui sont très importants dans le village?
36. Quelles sont les activités de développement du village où les personnes peuvent se rencontrer?
37. Comment votre comité participe-t-il à ces activités? 38. Quels sont des lieux plus informels où les personnes se réunissent dans le village? 39. Qui sont les personnes influentes dans le village et pourquoi ?
CONFIANCE 40. Comment se fait la confiance entre les membres de votre comité? 41. En général, faites-vous confiance à l'équipe du PLID, pourquoi? 42. Faites-vous confiance aux associations partenaires du PLID, pourquoi? 33. Comment votre niveau de confiance aux groupes des producteurs a-t-il évolué dans le temps? 44. En cas de besoin d'aide, à qui vous adressez-vous en premier ? 45. Avez-vous des exemples d'incidents dans les associations, groupes de producteurs qui démontre le niveau de confiance ou le manque de confiance? (ex. : disputes, conflits entre groupes, choses perdu et retrouvées...) 46. Quels sont les cas où il y a beaucoup de confiance entre les membres, et quels sont les cas où il n'y a aucune confiance entre les membres? 47. A qui faites-vous totalement confiance dans le village et pourquoi? ÉDUCATION ET REVENU 48. Quelle est le niveau scolaire le plus bas des membres de l'association? Quelle en est le plus élevé? 49. Quelles formations techniques le comité a reçu ces 05 dernières années et de qui?
50. Quel est le revenu moyen annuel des membres du comité? 51. Quel est le revenu moyen annuel dans le village? ANNEXE 5 : QUESTIONNAIRE BENEFICIAIRES DU PROJET SECTION A : INTRODUCTION 1. Année de naissance : ___________ 2. Sexe : ?Femme ?Homme 3. Êtes-vous née dans la zone ? : ?Oui ? Non Sinon depuis combien de temps habitez-vous la zone? ?Moins de 1 an ?1 à 5 ans ?6 à 10 ans ?11 à 20 ans ?21 à 30 ans ?Plus de 30 ans 4. Statut matrimoniale : ?Marié ?Veuf ?Divorcé ?Conjoint de fait (concubinage) ?Célibataire 5. Avez-vous des enfants? ?Oui ?Non a. Combien? ?1 ?2 ?3 ?4 ?5 ?6 et plus b. Combien réside à la maison? ?1 ?2 ?3 ?4 ?5 ?6 et plus 6. Combien de personnes au total résident à la maison? ?1 ?2 ?3 ?4 ?5 ?6 et plus 7. Vous êtes : ?Locataire de votre maison ?Propriétaire de votre maison ?Autres (à préciser) 8. Avez-vous des frères ou soeurs? ?Oui ?Non a. Si oui, combien? _______frères ________soeurs SECTION B : PRODUCTION 9. Quel est votre principale activité ? Agriculture ?Elevage 10. Vous pratiquez cette activité depuis combien d'année? ?Moins de 5 ans ?5 à 9 ans ?10 à 14 ans ?15 ans et plus 11. Quelle est l'importance de cette activité (superficie, cheptel)? ____________________ 12. Êtes-vous propriétaire de la terre que vous exploitez? ?Oui ?Non a. Si oui, quelle est la superficie de votre propriété? _______________________________ b. Sinon, quelle est la superficie en location? ____________________________________ c. Et qui en est le propriétaire? ?Membre de la famille ?Conjoint ?Ami ?Autres (à préciser) 13. Comment êtes-vous devenu bénéficiaire du Projet PLID? ?Grâce à l'OP ?Grâce à mes connaissances ?Grace à un membre de ma famille ?Grace à mes précédentes activités ?Autres (à préciser) 14. Quelles sont vos activités extra-agricoles ? 15. Comment avez-vous eu l'information sur cette activité? ?Par un membre de la famille ?Votre conjoint ?Un(e) ami(e) ?Un voisin ?Connaissance ?Radio ?Eglise ?Autre (à préciser) 16. Avez-vous déjà participé aux activités d'autres projets que le PLID? ?Oui ?Non a. Si oui, lesquels?
b. Comment avez-vous eu l'information sur le projet? ?Bouche à oreille ?Annonce à l'Eglise ?Connaissances ?Radio ?Autres, précisez c. Qui vous a aidé à participer aux activités ? ? L'OP ?Mes connaissances ?Un membre de ma famille ?Autres (à préciser) SECTION C : LUTTE CONTRE LA DESERTIFICATION 17. Où prenez-vous vos informations sur l'environnement? (Sélectionnez les choix qui s'appliquent à vous) ?Télévision ?Radio ?Téléphone ?Association ?Amis ?PLID ?Eglise ?Autres, précisez 18. À votre avis, à quelle (s) information (s) faites-vous le plus confiance? ?Télévision ?Radio ?Téléphone ?Association ?Amis ?PLID ?Eglise ?Autres, précisez 19. En quelles années avez-vous connu les plus lourdes pertes et quelles furent les causes?
20. Cochez la valeur qui correspond à votre niveau de préoccupation 1 à 5 (1 : Pas du tout préoccupé et 5 : très préoccupé)
21. Etes-vous affilié dans une EMF dans le diocèse? ?Oui ?Non a. Si oui, laquelle et pourquoi? b. Sinon, pourquoi? 22. Quelles pratiques avez-vous modifié suite à l'avènement du PLID et comment?
23. Êtes-vous membre d'un groupe actif dans la lutte contre la désertification? ?Oui ?Non a. Si oui, le quel et pour quelle raison? b. Sinon, pour quelle raison? SECTION D : VOTRE COMMUNAUTE Cette section pose des questions sur votre communauté et les gens qui y habitent. (Cochez votre niveau d'accord ou désaccord des énoncés suivants)
SECTION E : CONFIANCE Cette section pose des questions sur votre niveau de confiance aux membres de votre communauté. (Cochez votre niveau d'accord ou désaccord des énoncés suivants)
41. Lorsque vous avez des décisions à prendre pour les activités de développement à qui faite vous confiance? 1 à 5 (1 : Très confiance à 5 : Pas du tout confiance)
SECTION F : PARTICIPATION SOCIALE Est-ce que vous participez à des activités de nature? (Participer est défini comme une activité dans lequel vous vous retrouvez en groupe)
54. En moyenne, combien d'heures passez-vous par mois à participer à ces activités? ?1 à 5 ?6 - 10 ?11 - 15 ?16 - 20 ?Plus que 20 SECTION G : CONCLUSION 55. Cochez le plus haut niveau d'éducation complété par vous, soit vos frères et soeurs et vos enfants.
56. Dans les 5 dernières années, avez-vous reçu une formation ou des conseils se rapportant au développement? ?Non ?Oui, Si qui les quels?
57. Quel est votre revenu moyen annuel? ?Moins de 100 000 ?100 000 à 199 999 ?200 000 à 299 999 ?300 000 à 399 999 ?400 000 à 499 999 ?Plus de 500 000 58. Quel est le revenu annuel moyen du ménage? ?Moins de 200 000 ?200 000 à 349 999 ?350 000 à 599 999 ?600 000 à 749 999 ?750 000 à 899 999 ?Plus de 900 000 ANNEXE 6 : CHEMINEMENT DE L'ECHANTILLONNAGE BOULE DE NEIGE |
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