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Droit et Sciences Politiques
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Droit Pénal
La coopération judiciaire pénale dans la zone CEMAC
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par
Théophile NGAPA
Université de Dschang - Cameroun - DEA en Droit Communautaire et Comparé Cemac 2005
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DEDICACE
REMERCIEMENTS
PRINCIPALES ABREVIATIONS
SOMMAIRE
RESUME
ABSTRACT
Introduction générale
PREMIERE PARTIE : LES ASPECTS NORMATIFS DE LA COOPERATION JUDICIAIRE
CHAPITRE I : LA DIMENSION POLITIQUE DE LA COOPERATION JUDICIAIRE
SECTION I : Le rôle prépondérant du pouvoir exécutif dans la définition de la politique pénale communautaire
Paragraphe I : Une législature à l'exécutif
A- Le rôle actif des représentants de l'exécutif dans la CEMAC
1- La Conférence des chefs d'Etat de la CEMAC
2- Le Conseil des Ministres de l'UEAC et le Comité Ministériel de l'UMAC
B- Le Conseil des Ministres de l'OHADA, véritable législateur pénal
1- Le Secrétariat Permanent : rôle de préparation des Actes Uniformes
2- Le Conseil des Ministres : rôle de délibération et d'adoption
Paragraphe II : La nécessité d'une plus grande intervention des représentants du pouvoir législatif
A- Les critiques avancées au pouvoir exécutif comme législateur pénal
B- La nécessité de renforcer l'intervention des représentants du peuple dans le processus d'élaboration des normes pénales communautaires
SECTION II : Le poids important des revendications de souveraineté
Paragraphe I : L'approche de coopération adoptée
A- L'Etat, acteur principal de la coopération judiciaire
B- La rareté d'institutions communautaires chargées de la coopération
Paragraphe II - Le laxisme du processus d'adoption et de ratification des textes communautaires
A- Le rayonnement de la règle de l'unanimité en matière de coopération judiciaire
B- Les écarts entre adoption et ratification
Chapitre II - La dimension juridique de la coopération
Section I : L'harmonisation des incriminations au niveau communautaire
Paragraphe I : L'affirmation d'un pouvoir d'incriminer au niveau communautaire
A- Les modes traditionnels de légitimation du pouvoir d'incriminer
1- La souveraineté des Etats
2- Le rôle privilégié du pouvoir législatif
B- Un effort considérable de communautarisation des incriminations
1- Les infractions édictées par le législateur CEMAC
2- L'harmonisation des incriminations par le droit pénal des affaires de l'OHADA
Paragraphe II : Les interférences entre les incriminations communautaires et la norme pénale interne
A- La cohabitation « pacifique » entre la norme pénale communautaire et la norme interne
1- L'introduction d'une nouvelle incrimination dans l'ordre pénal interne
2- La mobilisation du droit pénal interne au profit du droit communautaire
B- Conflit entre incriminations communautaires et droit pénal interne
1- Le principe de la primauté de la norme pénale communautaire
2- La problématique de la constitutionnalité des atteintes à la répression par le droit communautaire
Section II : Une harmonisation timide des sanctions
Paragraphe I : Le rôle important des Etats dans la détermination des sanctions
A- Le système des sanctions de l'OHADA
B- Le renvoi du législateur CEMAC aux législations nationales
Paragraphe II : La nécessité d'une harmonisation des sanctions pénales
A- L'effort du législateur CEMAC en matière d'harmonisation des sanctions aux incriminations communautaires
B- Les techniques d'harmonisation des sanctions aux incriminations communautaires
Conclusion de la première partie
DEUXIEME PARTIE : LES ASPECTS OPERATIONNELS DE LA COOPERATION JUDICIAIRE
Chapitre I : Les critiques avancées contre les instruments classiques de coopération
Section I : L'inadaptation de certains mécanismes d'extradition à la volonté d'efficacité dans la répression
Paragraphe I- L'inopportunité de certaines conditions de l'extradition
A- La double incrimination
B- La règle de la non-extradition en matière fiscale
Paragraphe II- La complexité de la procédure d'extradition
A- L'imprécision dans la détermination de l'instance judiciaire compétente
B- La protection fragile des droits fondamentaux de la défense
1- L'absence de délai contraignant
2- L'absence de voies de recours
C- Les contestations sur l'opportunité de la phase administrative de la procédure d'extradition
1- Les critiques contre l'intervention des autorités administratives dans la procédure d'extradition
2- Pour une collaboration directe de juge à juge
Section II : Les entraves à l'entraide judiciaire
Paragraphe I : Les difficultés d'ordre juridique
A- La protection du secret bancaire
B- La lenteur de la procédure : l'absence de délai contraignant
Paragraphe II : Les difficultés d'ordre matériel
A- La tenue anarchique des casiers judiciaires
B- La création d'un réseau communautaire d'échanges d'informations
Chapitre II : L'émergence d'un véritable droit de poursuite au niveau communautaire
Section I : Les avancées réalisées par le législateur CEMAC
Paragraphe I : Le renforcement de la coopération policière
A- La facilitation des enquêtes policières
B- La controverse soulevée par l'échange des suspects de police à police
Paragraphe II : La consécration du principe de la reconnaissance mutuelle des décisions de justice par le législateur CEMAC
A- L'autorité de la chose jugée des décisions répressives d'un Etat dans les autres
B- La force exécutoire des décisions répressives des Etats membres
Section II : Les évolutions envisageables
Paragraphe I : La création d'institutions communautaires chargées de la coordination de la coopération judiciaire : l'exemple européen d'Eurojust
Paragraphe II : La création d'un véritable parquet communautaire
Conclusion de la deuxième partie
Conclusion générale
ANNEXES
ANNEXE I : ACCORD DE COOPERATION JUDICIAIRE ENTRE LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
ANNEXE II : ACCORD D'EXTRADITION ENTRE LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE
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Corneille