Les organisations de soirées techno. Le loisir dans l'institutionnalisation du mouvement

• Introduction
  
• Chapitre premier :
  
• Chapitre 2 :
  
  • I. La fête techno est une activité déviante
    
  • I.1. La fête est déviante
    
  • I.2. Un dispositif juridique postérieur aux pratiques d'organisations de fêtes techno.
    
  • II. Le militantisme libertaire
    
  • II.1. Organiser une fête avec des valeurs héritées des nomades
    
  • II.2.Les discours normatifs
    
  • III. De la communauté à l'équipe
    
  • III.1. "La communauté trans(e)cendantale"53
    
  • III.2. Organiser une soirée : une activité de loisir entre amis
    
  • III.3. La coopération dans l'équipe organisatrice
    
  • IV. Le caractère underground de la fête techno
    
  • IV.1. Tentative de définition de l' "underground"
    
  • IV. 2. S'accomoder de la légalité pour organiser des soirées
    
• Chapitre 3 :
  
  • I. Pourquoi organiser "dans les règles de l'art" ?
    
  • I.1.Définition du type d'organisation "dans les règles de l'art"
    
  • I.2.Des "combines" pour organiser des soirées
    
  • I.3.La prise de conscience de la responsabilité
    
  • II.1. La formalisation du fonctionnement interne
    
  • II.2. Dialoguer avec les autorités
    
  • III. Les "communautés de loisir"74
    
  • IV.Un mouvement culturel malléable pour ses amateurs
    
  • IV.1. Consommer la techno
    
  • IV.2. L'organisateur est-il un auditeur-pratiquant ?
    
  • IV.3. La participation musicale : l'exemple de l'amateur-dj
    
  • IV.4. Construire sa page sur myspace.com et son réseau social
    
  • IV.5. L'organisation, une école
    
  • V. La gestion de la fête
    
  • V.1.La gestion des risques
    
  • V.2. Gérer l'organisation avec les autres temps
    
• Chapitre 4 :
  
  • I. La spécialisation fonctionnelle de l'organisation
    
  • I.1. Répartir les tâches dans le fonctionnement interne
    
  • I.2. Conclure des partenariats
    
  • II. Vivre de sa passion
    
  • III. Des activités de loisir mimétiques
    
  • IV.Des "entrepreneurs du spectacles amateurs"
    
  • IV. 1 La professionnalisation du spectacle vivant
    
  • IV.2. Les spécificités de la culture musicale en question
    
• Chapitre 5 :
  
  • I. Le champs des musiques actuelles
    
  • I.1. La genèse des musiques actuelles
    
  • I.2. La structuration du secteur des musiques actuelles
    
  • I.3. Les « musiques actuelles » en question dans la recherche
    
  • II. La participation des acteurs à l'élaboration des décisions publiques
    
  • II.1. Les enjeux de la reconnaissance : "la culture de tous"
    
  • II.2. La notion de "co-construction tripartite"110
    
  • II.3. Une méthode de concertation à tous les échelons
    
  • II.4. L'encadrement institutionnel des pratiques amateurs ?
    
  • III. Les représentants de la techno
    
  • III.1. Techno+, structure d'information sur les risques liés à la santé.
    
  • III.2. Technopol, le syndicat des professionnels de la culture électronique
    
  • III.3. Un réseau d'acteurs en construction
    
  • III.4. La création d'outils pour favoriser la concertation
    
• Conclusion : le loisir dans l'institutionnalisation, le point de
  
• BIBLIOGRAPHIE
  
• Annexes
  
  • I. - Pour les manifestations faisant l'objet d'une demande d'autorisation
    
  • II. - Pour les manifestations ne faisant pas l'objet d'une demande d'autorisation
    
  • 3.1 - Les obligations des organisateurs
    
  • 3.1.1 Le régime général
    
  • 3.1.2 L'engagement de bonnes pratiques
    
  • 3.2 - Le rôle du préfet
    
  • 3.3 - Le rôle du correspondant de la préfecture
    
  • 3.4 - Les relations avec le maire
    
  • 3.5 - La procédure de saisie et les dispositions pénales.
    
  • 3-6 La constatation des infractions