Etudes de pérennisation du microcrédit "grenier commun villageois" à Ambatondrazaka, dans la région d'Alaotra - Madagascar

• SOMMAIRE
  
  • 3.1. DE PROBLEMES DE TRESORERIE EN SOUDURE, CONDUISANT AU CREDIT USURAIRE "VARY
    
  • 4.2. UN CAPITAL DE 7 MILLIARDS DE FMG PRETE AUX RIZIERS DANS LE CADRE DE FONDS DE
    
  • 6.3. INSTAURER DES SYNERGIES ENTRE PROJETS DE DEVELOPPEMENT REGIONAL ET
    
• AVANT - PROPOS
  
• REMERCIEMENTS
  
• LEXIQUES
  
• ACRONYMES
  
• LISTE DES FIGURES
  
• LISTE DES TABLEAUX
  
• LISTE DES ENCADRES
  
• LISTE DES CARTES
  
• RESUME
  
• SUMMARY
  
• INTRODUCTION
  
• I. METHODOLOGIE
  
  • 1. La pré-enquête
    
    • 1.1. Réunion-discussion de groupe et interview des responsables locaux
      
    • 1.2. Dépouillement de documentation
      
    • 1.3. Poursuite des ateliers sur la microfinance
      
  • 2. Investigations sur terrain
    
    • 2.1. Des questionnaires relatifs aux objectifs de l'enquête
      
    • 2.2. Une méthode d'échantillonnage stratifiée pour une meilleure représentativité de la population
      
    • 2.3. Collecte des données par entretiens en tête-à-tête avec les paysans
      
    • 2.4. Entretiens avec des dirigeants d'institutions publiques et privées
      
  • 3. Saisie et analyse des données collectées sous Excel
    
  • 4. Problèmes rencontrés lors des investigations
    
    • 4.1. Des attitudes de réserves dès question de "crédit"
      
    • 4.2. Des réactions d'apparence par quelques paysans
      
    • 4.3. Des réticences à des questions jugées "délicates" par l'enquêté
      
    • 4.4. Des difficultés sur l'évaluation de la quantité de produits récoltés
      
• Conclusion partielle
  
• II. RESULTATS OBTENUS
  
  • 1. Typologie d'exploitation basée sur le revenu annuel brut en paddy du ménage
    
    • 1.1. Classe 1 nettement dominée par les paysans du PC 15
      
    • 1.2. Fortes inégalités sur les soldes de trésorerie
      
  • 2. Caractéristiques des exploitants
    
    • 2.1. Importance de métayage : un des freins à l'accès au crédit agricole
      
    • 2.2. Des salariés à la récolte nécessitant 235 000 fmg et 334 kg de paddy par ha de rizière
      
    • 2.3. Vente de paddy : principale source de liquidité des paysans
      
    • 2.4. Le marché de paddy dans la Vallée Marianina, monopolisé par un seul collecteur
      
  • 3. Les marchés financiers ruraux dominés par les prêteurs informels
    
    • 3.1. De problèmes de trésorerie en soudure, conduisant au crédit usuraire "vary maintso"
      
    • 3.2. Crédit bancaire plus orienté vers les Associations à Caution Solidaire
      
    • 3.3. Le GCV : la seule forme d'Association liant l'épargne et le crédit
      
    • 3.4. Près de 84% des paysans voit le GCV nécessaire
      
      • 3.4.1. Avantages du crédit GCV : fonction du tonnage, de la durée de stockage et de la différence entre "cours de paddy au déstockage et quantum"
        
      • 3.4.2. Environ 44% des chefs d'exploitation n'ont pas de diplôme CEPE
        
      • 3.4.3. Un taux d'intérêt à la portée des exploitants
        
      • 3.4.4. Difficulté de constitution de fonds de garantie mutualiste (FGM) après les dépenses lors de la récolte
        
      • 3.4.5. De la caution solidaire aux conflits sociaux
        
      • 3.4.6. Le quantum élevé peut accentuer le risque
        
      • 3.4.7. Deux maisons sur sept répondent aux normes de stockage dans la Vallée Marianina
        
      • 3.4.8. Utiliser les prêts dans des cultures de contre saison et des activités génératrices de revenus
        
  • 4. Les autres intervenants
    
    • 4.1. Le crédit GCV de l'OTIV a gagné plus de collecteurs que de paysans
      
    • 4.2. Un capital de 7 milliards de fmg prêté aux riziers dans le cadre de Fonds de Commercialisation de Paddy
      
    • 4.3. Deux GCV instaurés par le Programme ARTA dans la Vallée Marianina
      
  • 5. Analyse des risques suivant leur origine
    
    • 5.2. Non-recouvrement dû à l'incapacité des emprunteurs
      
    • 5.3. Non-recouvrement dû à la mauvaise volonté des emprunteurs
      
• Conclusion partielle
  
• III. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
  
  • 1. Flexibiliser les conditions d'octroi selon la capacité du groupement à fournir le fonds de garantie
    
  • 2 . Rassembler les stocks de plusieurs groupements dans un même silo approprié
    
  • 3. Promouvoir le relais entre crédit de campagne "faisance-valoir riz" (ACCS) et crédit GCV
    
  • 4. Mieux engager les groupements dans la gestion des risques en mettant en place une Société de Cautionnement Mutuel (SCM)
    
  • 5. Se méfier de l'hétérogénéité des montants alloués aux membres d'un même groupement
    
  • 6. Sécuriser le crédit mais aussi les revenus des ruraux
    
    • 6.1. Encourager la diversification des activités à financer en vue de minimiser les risques covariants40
      
    • 6.2. Développer les prestations de services offertes aux Organisations Paysannes
      
    • 6.3. Instaurer des synergies entre projets de développement régional et institutions financières rurales
      
  • 7. Promouvoir le crédit de collecte géré par les coopératives agricoles
    
• Conclusion partielle
  
• CONCLUSION GENERALE
  
• BIBLIOGRAPHIE
  
• ANNEXES
  
• ANNEXE 4 : TABLEAUX RESSOURCES SUR LA DETERMINATION DES AVANTAGES DU GCV 76
  
• ANNEXE 1 : Monographie simplifiée d'Ambatondrazaka
  
• ANNEXE 2 : Historique du crédit rural dans la région de l'Alaotra
  
  • A. 1960 à 1972 : L'époque des sociétés de crédit avec la SCAM
    
• ANNEXE 3 : Quelques renseignements sur les cultures de contre saisons
  
• ANNEXE 4 : Tableaux ressources sur la détermination des avantages du GCV
  
• ANNEXE 5 : Les réalisations en "crédit GCV" de la BOA et de l'OTIV en 2003
  
• ANNEXE 6 : Organisations de la Société de Cautionnement Mutuel (SCM)
  
• ANNEXE 7 : Le Projet BV Lac