TABLE DES MATIERES
Introduction générale
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1. Problématique
1
2. Objet et thèse du travail
5
3. Choix et intérêt du travail
6
4. Méthodes de la recherche
6
5. Plan du travail
7
CHAP.I
8
APPROCHE HISTORIQUE ET METHODOLOGIQUE DES
SCIENCES DE LA CULTURE
8
I.0. Introduction
8
I.1. Constitution de l'objet des sciences de la
culture dans l'histoire des sciences.
9
I.1.1. Hégémonie des sciences de la
nature et généralisation des paradigmes.
9
I.1.2. Nature comme modèle de l'harmonie, de
l'ordre et d'uniformité.
13
I.1.4. La mathesis universalis du temps
moderne
14
I.2. Le xix e siècle et
l'émergence des sciences de la culture
17
I.2.1. Giambattista Vico et la révolution
méthodologique.
17
1.2.2. Johann Gottfried Von Herder et la
percée de l'histoire
22
I.2.3. Le naturalisme de la science du
XIXéme et le paradigme de la théorie
24
biologique de l'évolution.
24
I.3. Approche méthodologique des sciences
de la culture
28
I.3.1. Crise interne entre philosophie et
science
28
I.2.2. Wilhelm Windelband : les
méthodes nomothétiques et idiographiques.
31
I.3.3. Heinrich Rickert : les méthodes
scientifico-générales et historico-
33
Individuelles.
33
I.3.4. Paul Hermann et la méthode
psycholinguistique
36
I.3.5. Wilhelm Dilthey : Herméneutique
de la compréhension et de l'explication
38
I.4. Conclusion
42
CHAP.II
44
Analyse épistémologique des sciences
de la culture et de la nature selon une perspective comparative
44
II.0. Introduction
44
II.1. Spécificité
épistémologique des sciences
45
II.1.1. Les sciences de la nature
45
II. 1.2. Les sciences de la culture :
49
II.2. Théorie de la conceptualisation des
sciences
53
II.2.1. Le langage de la science
53
II.2.2. Le langage dans les sciences de la
nature
55
II.2.3. Le langage dans les sciences de la
culture
57
II.2.4. Logique conceptuelle des sciences de la
nature
60
II.2.5. Logique conceptuelle des sciences de la
culture
63
II.3. Principe de subsumption dans les
sciences
68
II.3.1. Subsumption dans les sciences de la nature.
Cas de la physique
68
théorique moderne
68
II.3.2. Subsumption dans les sciences de la
culture. Cas de la Renaissance
71
historique
71
II.4. Différence entre sciences de la nature
et sciences de la culture
73
II.4.1. Du point de vue historique : concept
de cause et concept de forme
73
II.4.2. Dans la phénoménologie de la
perception : l'orientation vers le ça et
76
vers le toi
76
II.5. Problématique de la
scientificité des sciences de la culture chez Ernst Cassirer
82
II.6. Conclusion
85
CHAP.III
88
Plaidoyer pour une épistémologie de
la coopération
88
III.O. Introduction
88
III. 1. Le regard cassirerien de la
science : critique et dépassement
89
III.2. Le rapport unitaire des sciences chez les
historiens
94
III.2.1. Hippolyte Taine et la fusion des
sciences
94
III.2.2. Heinrich Rickert et les concepts
axiologiques
97
III.3. Unité des sciences a partir du
réel scientifique
99
III.3.1. Gilles Gaston Granger et le réel
dans les sciences
100
III.3.2. Unité de la science et
diversité du savoir selon l'épistémologie
103
structuraliste et comparée d'AKENDA
103
III.4. Les éléments constitutifs
d'une épistémologie de la coopération
105
1. Le monde de la vie (Lebenswelt) ou
l'expérience vécue (Erleben)
107
2. La conceptualisation, les structures et les
schémas
107
3. L'opérationnalité
108
III.3. Conclusion
110
La présente étude avait pour objet de
constituer les éléments en vue de l'élaboration d'une
épistémologie de la coopération. Nous avons
constaté que la perspective dualiste de ces sciences que nous avons
étudiées d'abord dans la méthodologie, ensuite dans la
conceptualisation et enfin dans le critère de scientificité, ne
nous permet pas d'avoir l'idée d'un monde unifié par la science.
C'est ainsi que nous avons commencé d'abord par donner le regard de
Cassirer pour la science, nous avons montré ses mérites d'avoir
eu le souci d'unifier les sciences et de relever la pauvreté
épistémologique causée par les
épistémologies dualistes et le monisme des sciences de la nature.
Outre ces mérites, sa pensée ne permet pas toujours d'arriver
à concilier et l'unité de la science et sa diversité.
C'est ainsi pour arriver à constituer l'unité et la
diversité, nous avons fait appel à d'autres auteurs afin de
constituer notre point de vue sur l'épistémologie de la
coopération.
110
CONCLUSION GENERALE
111
BIBLIOGRAPHIE
116
TABLE DES MATIERES
127
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