Léon Harmel et l'usine chrétienne,ancêtre des comités d'entreprises

• SOMMAIRE
  
• LISTE DES ABRÉVIATIONS ET DES SIGLES
  
• INTRODUCTION
  
• PARTIE I.
  
  LÉON HARMEL :
  UNE VISION MARQUÉE PAR SES VALEURS CHRÉTIENNES
  
  • CHAPITRE I.
    
    UNE VISION INCLASSABLE, « NI LIBÉRAL, NI SOCIALISTE »
    
    • SECTION I.
      UNE PENSÉE ANTILIBÉRALE JUSTIFIÉE PAR SA VISION RÉACTIONNAIRE
      
      • § 1. Le libéralisme, à la base de la destruction de la corporation
        
        • A. Un modèle d'inspiration : la corporation, un cadre de paix sociale
          
        • B. Un constat de départ : les conséquences désastreuses de l'abolition des corporations
          
      • § 2. Les méfaits de l'industrialisation, fruit des idées libérales
        
        • A. L'industrialisation cause principale du prolétariat industriel
          
        • B. Le prolétariat industriel, cause principale de la décadence morale des ouvriers industriels
          
    • SECTION II.
      UNE PENSÉE ANTISOCIALISTE JUSTIFIÉE PAR L'ADHÉSION DE LÉON HARMEL AUX IDÉES DU CATHOLICISME SOCIAL
      
      • § 1. Le socialisme : un courant révolutionnaire dangereux pour l'harmonie sociale
        
        • A. Le socialisme, promoteur de la lutte des classes
          
        • B. Le socialisme, cause de la violence en milieu ouvrier
          
      • § 2. Le socialisme : une sérieuse menace contre l'Église
        
        • A. Le socialisme : un courant qui diffuse de l'athéisme en milieu ouvrier
          
        • B. Le socialisme : un courant anticlérical virulent propagé en milieu ouvrier
          
  • CHAPITRE II.
    
    UNE VISION MANIFESTÉE PAR DES oeUVRES :
    LA CORPORATION CHRÉTIENNE ET LA DÉMOCRATIE CHRÉTIENNE
    
    • SECTION I.
      LA CORPORATION CHRÉTIENNE : UNE IDÉE D'HARMEL CONTRE LES EXCÈS DU LIBÉRALISME
      
      • § 1. L'amélioration des conditions de vie des ouvriers par la corporation chrétienne
        
    • A. L'OCTROI D'UN JUSTE SALAIRE À L'OUVRIER
      
    • B. UN DÉSIR ARDENT DE MAINTENIR L'OUVRIER DANS L'EMPLOI
      
      • § 2. L'amélioration des conditions de travail des ouvriers par la corporation Chrétienne
        
        • A. Le cadre de travail au Val : une oasis de tranquillité
          
        • B. La durée de travail au val : une oeuvre progressiste de Léon Harmel
          
    • SECTION II.
      LA DÉMOCRATIE CHRÉTIENNE : LE REMÈDE ANTISOCIALISTE DE LÉON HARMEL
      AU MOUVEMENT OUVRIER
      
      • § 1. Une tentative pour dynamiser le catholicisme social en perte de vitesse
        
        • A. Un constat : la perte de vitesse de l'oeuvre des cercles catholiques ouvriers
          
        • B. Un objectif : aborder une approche nouvelle face au mouvement ouvrier
          
      • § 2. Un mouvement pour lutter contre le socialisme
        
        • A. Une lutte contre les idées socialistes dans les cercles chrétiens d'études sociales
          
        • B. Une lutte sur le plan politique depuis le Ralliement
          
• PARTIE II.
  
  LE CONSEIL DE L'USINE CHRÉTIENNE,
  MODELÉ D'INSPIRATION POUR LE COMITÉ D'ENTREPRISE
  
  • CHAPITRE I.
    
    LE CONSEIL D'USINE, UNE INNOVATION DE LÉON HARMEL REFONDANT LE PATERNALISME CLASSIQUE
    
    • SECTION I.
      LE CONSEIL D'USINE, UNE REPRÉSENTATION DU PATERNALISME DANS LA GESTION DES oeUVRES SOCIALES ET CULTURELLES
      
    • § 1. La gestion des oeuvres sociales au Val : un rempart contre l'instabilité DE LA MAIN D'oeUVRE
      
      • A. Les oeuvres d'investissement social : une garantie de l'accès à des périodes désirées de la vie
        
      • B. Les oeuvres d'indemnisation sociale : une garantie face aux aléas de la vie
        
      • § 2. La gestion des oeuvres culturelles du val : une politique pour moraliser la main d'oeuvre ouvrière
        
        • A. Les associations fondamentales pour obtenir la pratique religieuse des ouvriers
          
        • B. Les sociétés de préservation de la morale pour préserver le Val d'influences délétères
          
    • SECTION II.
      LE CONSEIL D'USINE, MODÈLE PARTICIPATIF IGNORÉ DU PATERNALISME CLASSIQUE
      
      • § 1. Un pas vers la démocratie dans l'usine par le biais du conseil d'usine
        
        • A. Le conseil d'usine : un instrument précurseur de représentation du personnel
          
        • B. Le conseil d'usine : un cadre de dialogue social
          
      • § 2. La participation des travailleurs à la direction de l'usine
        
        • A. Une participation active sur les questions disciplinaires, d'hygiène et de sécurité au travail
          
        • B. Une participation fructueuse sur les questions de technique de travail
          
  • CHAPITRE II.
    
    L'USINE CHRÉTIENNE, MODÈLE PRINCIPAL D'INSPIRATION
    POUR LES COMITÉS SOCIAUX D'ENTREPRISE
    PUIS POUR LES COMITÉS D'ENTREPRISE
    
    • SECTION I.
      LES COMITES SOCIAUX D'ENTREPRISE : UNE REPRISE DU MODÈLE DE L'USINE CHRÉTIENNE
      
      • § 1. La reprise partielle du modèle corporatif de l'usine chrétienne
        
        • A. Le fondement de cette reprise : la pensée réactionnaire de Pétain
          
        • B. Les manifestations pratiques de cette reprise : la charte du travail de 1941
          
      • § 2. La reprise quasi identique du modèle paternaliste de l'usine chrétienne
        
        • A. Le fondement de cette reprise : l'incapacité financière de l'État dans le domaine social
          
        • B. Les manifestations pratiques de ce modèle paternaliste : « les comités patates »
          
    • SECTION II.
      LES COMITÉS D'ENTREPRISE : LA REPRISE DU MODÈLE DE L'USINE CHRÉTIENNE, VÉRITABLE COMPROMIS SOCIALE
      
      • § 1. Les modèles envisagés à la libération
        
        • A. Le modèle du Val : un modèle assis sur les deux piliers des futurs comités d'entreprise
          
        • B. Le programme du Conseil national de la Résistance (CNR) : un modèle trop ambitieux
          
      • § 2. Le modèle retenu par l'ordonnance de 1945 et la loi de 1946
        
        • A. Le modèle « gaullien » manifesté par l'ordonnance du 22 février 1945 : un modèle non consensuel
          
        • B. Le modèle retenu par la loi du 16 mai 1946 : un modèle abouti posant les bases des Comités d'entreprise actuels
          
          • 1. Un modèle très abouti en matière de représentation du personnel
            
          • 2. Un modèle participatif, réaliste et productif déjà appliqué au Val
            
• CONCLUSION
  
• BIBLIOGRAPHIE
  
  • Ouvrages
    
  • Articles de revues et contributions à des ouvrages collectifs
    
  • Articles de presse
    
  • Encycliques
    
  • Législation
    
• TABLE DES MATIÈRES