Effets de la fiscalité directe des entreprises et des ménages sur la consommation privée au burundipar Désiré NTIRABAMPA Université du Burundi - Licence 2015 |
LISTE DES TABLEAUXTableau 1 : Résultats de la recherche du nombre de décalages optimal pour les variables 3 Tableau 2 : Résultats du test de stationnarité des séries en niveau au seuil de 5% 3
Tableau 3: Résultats du test de
stationnarité des séries en différence première
Tableau 4: Résultats de l'estimation de la relation de long terme 3 Tableau 5 : Résultats du test de stationnarité de la série des résidus en niveau 3 Tableau 6 : Résultats du Modèle à Correction d'Erreurs 3 Tableau 7 : Calcul du délai de rattrapage 3 Tableau 8 : Résultats du test d'autocorrélation des erreurs 3 Tableau 9 : Résultat du test d'héteroscédasticité 3 Tableau 10: Elasticités de long et de court terme du modèle estimé 3 LISTE DES GRAPHIQUESGraphique 1 : La courbe de Laffer 3 Graphique2 : Répartition du revenu selon le cycle de vie 3 Graphique3 : Evolution des recettes fiscales au Burundi en MFBU (1983-2013) 3 Graphique 4 : Evolution de la fiscalité directe des entreprises et des ménages en MFBU (1983-2013) 3
Graphique 5: Evolution des taux de croissance du
revenu disponible et de la fiscalité Graphique 6 : Evolution de la consommation privée en millions de FBU (1983-2013) 3 Graphique 7 : Variation de la consommation privée et du produit intérieur brut en % (1983-2013) 3 Graphique 8: Evolution des taux de croissance de la consommation privée et de la fiscalité directe des entreprises (1983-2013) 3 Graphique 9 : Evolution des taux de croissance de la consommation privée et de la fiscalité directe des ménages (1983-2013) 3 Graphique 10: Résultats du « CUSUM Test » et «CUSUM of squares Test» 3 Graphique 11: Résultats du test de normalité de Jarque et Bera 3 RESUMEL'objectif visé dans le présent travail de recherche est d'analyser l'effet de la fiscalité directe des entreprises et celle des ménages sur la consommation privée au Burundi et d'en tirer une conclusion sur base des résultats obtenus tout en suggérant à l'Etat et aux agents économiques privés des solutions adéquates à adopter étant donné que la consommation privée est l'un des moteurs de la croissance économique. L'analyse est faite à l'aide d'un Modèle à Correction d'Erreurs sur les variables envisagées à partir des données statistiques annuelles sur la période d'étude allant de 1983 à 2013. En effet, après avoir consulté les différents ouvrages et documents s'intéressant à notre sujet, nous avons constaté qu'il ya une relation théorique et empirique entre la fiscalité directe des entreprises et des ménages et la consommation privée. Pour notre analyse, deux hypothèses ont été vérifiées. La première hypothèse ainsi libérée : « Au Burundi, le prélèvement fiscal direct effectué sur les entreprises exerce un effet négatif sur la consommation privée dans le court et le long terme»; la deuxième stipule que « A long terme, la fiscalité directe des ménages, constituée principalement par l'impôt sur les revenus des personnes physiques, influence négativement la consommation privée ». Ainsi, les résultats obtenus ont permis d'infirmer la première hypothèse et de confirmer la deuxième. Compte tenu de cela, quelques suggestions ont été émises à l'Etat comme la réduction du taux d'imposition sur les bénéfices des sociétés et sur les revenus des personnes physiques tout en abandonnant certaines exonérations fiscales, et aux agents économiques privés de profiter des avantages accordés par le code des investissements et par les incitations fiscales des investissements. |
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