Evacuation des eaux pluviales en système séparatif par caniveaux superficiels. Cas du versant droit de la rivière Mbinza dans sa limite comprise entre la ligne de crête et la route de Matadi au quartier Mbinza Pigeon et conception d'un bassin de retenue

• Evacuation des eaux pluviales en système séparatif par caniveaux superficiels :(cas du versant droit de la rivière Mbinza dans sa limite comprise entre la ligne de crete et la route de matadi au quartier mbinza pigeon) et conception d'un bassin de rétenue
  
• DEDICACE
  
• AVANT - PROPOS
  
• LISTE DES SYMBOLES ET ABREVIATIONS
  
• LISTE DES TABLEAUX
  
• 0. INTRODUCTION
  
  • 0.1. INTERET DU SUJET
    
  • 0.2. DELIMITATION DU SUJET
    
  • 0.3. Présentation du projet
    
• CHAPITRE I. GENERALITES
  
  • I.1. Définition des concepts de base : eaux pluviales, système séparatif, érosions, versant, ligne de crête
    
  • I.2. Historique
    
  • I.3. Environnement géographique
    
    • I.3.1 Délimitation du site
      
    • I.3.2. Subdivision administrative du quartier
      
    • I.3.3. Altimétrie et relief
      
    • I.3.4. Climatologie
      
    • I.3.5. Le sol
      
    • I.3.6. Végétation
      
    • I.3.7. Hydrographie
      
  • I.4. Situation socio - économique
    
  • I.5. Démographie : dans le tableau 3 ci - après, nous présentons la démographie du quartier
    
  • I.6 Description de la situation existante
    
  • I.7. Problématique
    
  • I.8. Objectifs à atteindre
    
• CHAPITRE II. DETERMINATION DE L'INTENSITE DE LA PLUIE
  
  • II.1. Relevé des précipitations
    
  • Source : METTELSAT Stations de Kinshasa-Binza
    
  • II.2. Calcul de l'intensité de pluie
    
    • II.2.1 Calcul de l'intensité par la méthode de LOUIS DURET
      
    • II.2.2. Méthode de Gumbel
      
      • En faisant le graphique des intensités en fonction de U, nous voyons que la tendance de la courbe est une droite d'ajustement dont l'équation sera X=aU+b, par Excel nous avons trouvé l'équation X=28,97U+87,68 :avec X=fonction d'ajustement des intensités des pluies
        
      •  
        
      • D'une façon analytique on peut déterminer l'équation X=aU+b, les paramètres a et b peuvent être déterminés comme suit :
        
• CHAPITRE .III. CARACTERISTIQUES REPRESENTATIVES DU BASSIN VERSANT
  
  • III.1. Introduction
    
  • III.2. Caractéristiques représentatives du bassin versant
    
    • III.2.1. Aire d'impluvium ou surface du bassin versant
      
      • III.2.1.1. Méthode de délimitation des sous-bassins
        
      • III.2.1.2. Superficie d'intéressement des sous-bassins
        
    • III.2.2. Longueur des collecteurs
      
    • III.2.3. Les pentes
      
    • III.2.4. Coefficient de ruissellement
      
  • III.3. Calcul du débit à évacuer
    
    • III.3.1. Introduction
      
    • III.3.2. Méthode de calcul
      
      • III.3.2.1. Méthode rationnelle
        
      • III.3.2.2. Méthode superficielle ou modèle de Caquot
        
      • III.3.2.3. Formules superficielles d'utilisation
        
    • III.3.3. Choix de la méthode de calcul
      
    • III.3.4. Calcul du débit de pointe par la méthode rationnelle
      
• CHAPITRE IV. CALCUL DU RESEAU D'EVACUATION
  
  • IV.1. Introduction
    
  • IV.2. Dimensionnement des collecteurs
    
    • IV.2.1. Détermination de la section des collecteurs
      
    • IV.2.2. Détermination de la section mouillée, périmètre mouillé, rayon hydraulique et vitesse effective pour chaque tronçon
      
  • Pour de tronçon dont la vitesse est inférieure à 0.03m /s ;nous allons augmenter la pente afin d'avoir une vitesse supérieure à la vitesse minimale autorisée permettant l'auto curage soit 0.3m/s
    
  • IV.3. Vérification du fonctionnement hydraulique du réseau
    
  • IV.4. Dimensionnement des ouvrages
    
    • IV.4.1. Généralités
      
      • IV.4.2.1. Matériaux
        
      • IV.4.2.2. Nature du sol
        
      • IV.4.2.3. Les sollicitations
        
      • IV.4.2.4. Hypothèse des calculs
        
      • b) Dimensionnement de radier (1m de largeur)
        
      • c) Dimensionnement des voiles (parois) en B.A
        
      • Pour le plan d'armature voir annexe n°2
        
    • IV.5. Etude de profil en long
      
      • IV.5.1.1. Elaboration du profil en long
        
      • IV.5.1.2. Recherche de la ligne rouge
        
      • IV.5.1.3. détermination des cotes rouges et calcul du profil en long
        
• CHAPITRE V. CONCEPTION ET CALCUL D'UN BASSIN DE RETENU
  
  • V.1. Introduction
    
    • V.1.1. Définition
      
  • V.2. Type de Bassin
    
    • V.2.1. Bassin en eau-Bassin sec
      
    • V.2.2. Bassin en digue-Dépression naturelle
      
    • V.2.3. Bassin étanche-Bassin d'infiltration
      
  • Un bassin peut être étanche (donc ne pas infiltrer)soit parce que le terrain en place est imperméable ,soit parce qu'on ne veut pas infiltrer. Ce deuxième cas se produit si les eaux de ruissellement sont de mauvaise qualité et que l'on veut protéger le sous-sol ou la nappe.
    
  • On a intérêt à implanter un bassin d'infiltration quand cela est possible : sol perméable, nappe non vulnérable. On rétablit ainsi un cycle de l'eau plus naturel par rapport à l'impact de l'urbanisation (développement des surfaces imperméables).
    
    • V.2.4. Bassin en terre-bassin ouvert
      
  • Les bassins enterrés se rencontrent en milieu urbain dense, où la place est comptée, et ils sont généralement là comme une technique compensatoire, à l'appui du réseau d'assainissement.
    
    • V.2.5. Avantages des bassins de retenue
      
    • V.2.6. Inconvénients des bassins de retenues
      
  • L'évaluation du bilan global de la retenue suppose :
    
    • 2. D'étudier la topographie du site afin de déterminer avec une précision désirable, les thalwegs et les emplacements les plus défavorables pour y implanter les digues, cette étude de localisation de thalweg devra s'accompagner des sondages de reconnaissance pour vérifier, au stade de projet. En ce qui concerne les emplacements possibles, des nombreuses solutions peuvent entre envisagées :
      
    • V.3.1. Calcul hydraulique d'une retenue
      
      • V.3 .1 .1. Bilan hydraulique d'une retenue
        
      • V.3 .1 .2. Coefficient d'apport(Ca)
        
      • V.3 .1 .3. Modèle de fonctionnement
        
  • Si l'on admet que le volume d'eau apporté par une pluie de hauteur h est une fraction Ca du volume d'eau tombé sur l'ensemble du bassin versant, ce volume se traduit par la formule ci-après :
    
    • V.3 .2. Méthode de calcul du volume utile d'une retenue
      
  • Plusieurs méthodes sont applicables pour le calcul du volume utile d'une retenue, parmi ces méthodes nous avons :
    
  • . En effet, bien que la méthode suppose que le débit de vidange reste constant tout au long de l'épisode pluvieux, dans la réalité, les débits qui entrent en jeu, en amont comme en aval de la retenue ne sont jamais constants :
    
  • Ø Les uns sont fonction de divers éléments aléatoires qui entrent dans l'évaluation de la surface active ;
    
  • Ø Les autres sont fonction des phénomènes hydrauliques de remplissage de la conduite de vidange, puis du remplissage du bassin proprement dit,
    
  • Ø Si V0 est la capacité pour laquelle le débit devient constant, la capacité totale Ct vaut : Ct=V+V0 ;V étant le volume de stockage à débit constant.
    
  • A noter que la valeur de V0 est assez difficile à évaluer ce qui signifie que V0 sera un certain pourcentage de V soit Ct vaudra V majoré avec un coefficient majorateur.
    
    • V.3 .2 1. Démarche de calcul du volume utile d'une retenue
      
  • Application
    
  • Nous allons opter pour un bassin à base carré,
    
  • Nous allons choisir notre débit de fuite de manière que ce débit en aval puisse générer une vitesse inférieure à la vitesse limite tolérable par l'assainissement pour l'écoulement des eaux pluviales ,et un débit pouvant nous aider à avoir un temp de rétention optimal c'est-à-dire pas grand et non pas faible, en première approximation nous allons prendre la dimension suivante
    
    • V.3.3. Méthode de M. Dr. Ir. Günter Muller - Neuhaus (IMHOFF 1968)
      
  • Nous allons choisir notre débit de fuite de manière que ce débit en aval puisse générer une vitesse inférieure à la vitesse limite ,et un débit pouvant nous aider à avoir un temps de rétention optimal c'est-à-dire pas grand et non pas faible, en première approximation nous allons prendre les dimensions suivantes.
    
  • Nous allons prendre le dimension du collecteur aval égal :
    
    • V.4. Dispositions constructives
      
  • V.5 : Dimensionnement en béton Armé
    
    • IV.5.1. Généralités
      
      • V.5.2.1. Matériaux
        
      • V.4.2.2. Nature du sol
        
      • V.5.2.3. Les sollicitations
        
      • V.5.2.4. Hypothèse des calculs
        
      • V.5.2.5.Vérification des contraintes
        
      • V.5.2.6. Vérification de la déformation
        
  • V.6. Disposition constructive à l'exutoire
    
• CHAPITRE. VI. LE COUT DES TRAVAUX
  
  • VI.1. Introduction
    
  • VI.2. Métré Quantitatif
    
• CHAPITRE. VII. ETUDE D'IMPACT ENVIRONNEMENTAL DU                           PROJET
  
  • VIII.1. Introduction
    
  • VII.2. Description de projet
    
    • La phase préliminaire
      
    • La phase de construction
      
    • La phase d'exploitation et de maintenance
      
  • VII.3. Identification des impacts environnementaux et mesures           d'atténuation
    
• CHAPITRE .VIII. CONCLUSION ET SUGGESTION
  
• BIBLIOGRAPHIE
  
• TABLE DES MATIERES
  
• ANNEXES