Le Cameroun sous les fourches caudines du fmi d'après les journaux: 1988-2006par Symphorien Loïc EMBOLO Université de Yaoundé 1 - Master 2 en Histoire des relations internationales 2023 |
2.2.Renforcerle circuit infernal d'argent-dette et d'aide-crédit concessionnelAprès le passage de l'utopie de l'État développeur au mythe du marché autorégulateur, le caractère conditionné des accords, et les droits économiques et sociaux posent expressément une relation de dépendance vis-à-vis des ressources financières extérieurs. Cela se distingue autant par la continuité d'une aide crédit concessionnel qui ne permet pas réellement au Cameroun de se démarquer sur le plan économique et social, que par son surendettement improductif501(*). Lorsque le FMI intervient au Cameroun en 1988, il décide quel'État recourt à l'endettement extérieur pour se procurer des devises, pourtant ces endettements excessifs ont servi uniquement à acheter des équipements et des biens de consommation auprès des pays les plus industrialisés,notamment les pays de l'OCDE et les pays du G7 qui font tout pour entretenir leur domination sur les pays subsahariens avec l'appui du Comité d'aide au développement de l'OCDE, du Club de Paris, du FMI, de la Banque mondiale, de leurs institutions publiques spécialisées et de leurs Trésors publics502(*).Cela a permis de promouvoir l'aide-crédit concessionnel au Cameroun, comme moyen adapté de financement de leur développement. En effet, l'application des programmes d'ajustement structurel au Cameroun entre novembre 1988 et avril 2006 étaient souvent liés à des prêts et des aides financières octroyés par des bailleurs de fonds, notamment le FMI, la Banque mondiale, la BAD, le France, etc. En échange de ces prêts et aides, le Cameroun était tenu de mettre en oeuvre des réformes économiques et politiques, y compris des mesures d'austérité, de libéralisation économique, de privatisation et d'autre politiques visant à stabiliser son économie et à réduire sa dette. Cependant, ces réformes ont entrainé une augmentation de la dette extérieure de cet État, car le pays devait emprunter davantage pour financer ses besoins budgétaires et pour rembourser ses dettes antérieures.De plus,l'assistance financière accordée par les institutions internationales était souvent liée à des conditions strictes, ce qui a créé un cercle vicieux de dépendance à l'égard de l'argent-dette et de l'aide-crédit concessionnel. Les journaux tels que Le Quotidien, Mutations, Cameroon tribune et les annalyses économiques de l'époque confirme cela lorsqu'ils rapportent que les programmes d'ajustements ont entrainé une augmentation de la dette extérieure du Cameroun, une réduction des dépenses publiques dans les secteurs de la santé et l'éducation, une augmentation du chômage et la pauvreté, ainsi qu'une dépendance accrue à l'égard des institutions financières internationales. Ainsi, pendant que cetÉtatpauvre et démuni en termes de développement humain continue de transférer des sommes considérables à «ses richescréanciers'' pour rembourser sa dette extérieure en 2005, une grande partie de sa population s'enfonçait dans la misère.En effet, lorsque le FMI prête de l'argent avec intérêts, celapermet aux firmes occidentales d'avoir une main mise sur les ressources naturelles nationales et de piller l'État créancier sous couvert de libéralisation.Cela adonc permis de maintenir le Cameroun dans le cercle vicieux du sous-développement et du surendettement improductif,alors que les membres de l'OCDE et les institutions qu'ils contrôlent se sont enrichis notablement503(*). Entre 1980 et 2004 par exemple, le total bilan du FMI s'est accru de 407%, soit une augmentation de 43,86 milliards à 222,43 milliards de dollar américain et celui de la Banque mondiale de 320%, soit de 85,1 milliards à 357,14 milliards de dollars, alors que la dette de l'Afrique subsaharienne passait d'une moyenne de 22 milliards de dollar à une moyenne de 208 milliards de dollar, soit un bond de 845% selon Mutations504(*). Et selon J. Perkins, le FMI «[dit] venir en aide aux pays à risque afin deles surendetteretimposer son diktat dans le but d'exploiter leurs mines. Et après s'être suffisamment servit, elles parlent d'annulation de la dette'', ajout-il505(*). Quel paradoxe ? Cela étant dit,l'allègement de dette au Cameroun ne seraitqu'utopique, d'oùle retour récurrent de thèmes sur«l'endettement, l'aide publique au développement, les stratégiques de lutte contre la pauvreté,l'éradication de la corruption, etc.''506(*) II. QUEL INTERET POUR LE CAMEROUN A COLLABORER AVEC LE FMI ? En 1988 c'est la crise économique et le poidsdes pesanteurs extérieuresqui obligent les autorités camerounaises à s'appuyer sur des leviers extérieurs capables de faire basculer la donne, d'où le recours aux programmes d'ajustement le FMI. Mais en avril 2006, lors de l'atteintedu point d'achèvement, le partenariat est maintenupar la signature de nouveaux accords triennaux entre les deux parties, comment le comprendre ? 1. Rétrospective sur la banqueroute et le recours du FMI en 1988 Après près de 25 ans de prospérité économique imposée par l'abondance des ressources naturelles et le pragmatisme des dirigeants, le Cameroun entre dans une phase d'involutionéconomique en 1986, caractérisée par un déséquilibre de la balance de paiement et d'un endettement sévère. Maisface à l'échec de l'ajustement autonome et le poids des pesanteurs extérieurs en 1988, les autorités gouvernantes concluent sur la décennie 1990 plusieurs accords avec le FMI dans le cadre des programmes d'ajustement structurel.
Lorsque les autorités camerounaises sollicitent l'intervention du FMI en 1988, le but est de stabiliser, grâce aux soutien financier et aux conseils économiques duFonds, les déséquilibres macroéconomiqueset le problème dela balance de paiement causés par la dévaluation du dollar américain à la Conférence de Plazza, la chute mondiale des cours de matières première et la hausse des taux d'intérêtspar le Trésor américain en 1984507(*). En effet, à la session budgétaire de juin 1987, une situation particulière et inédite se produit à l'Assemblée nationale lors du vote du budget de l'exercice qui devait débuter en 1988 : le budget général est réduit. Pour la première fois, le budget camerounais connait une réduction globale de près de 150 milliards de FCFA, soit une réduction de 19% par rapport à l'exercice précédent. Il passe de 800 milliards durant l'exercice 1985/86 à 650 milliards en 1986/87508(*). Cette évolution en étroite relation avec celle du PIB est la résultante d'un malaise constaté dans les finances publiques quelques années plus tôt à cause des sombres perspectives de l'évolution de l'activité économique tant au niveau national qu'international. De plus, du fait du ralentissement de l'activité économique et de la baisse des cours des produits d'exportations sur les marchés internationaux, le Cameroun subi un important manque à gagner sur les recettes fiscales, et une augmentation des dépenses avec les multiples sollicitations de l'État sur tous les secteurs de la vie nationale. La conséquence directe est la création d'un déficit important dans le trésor public. Face à l'inefficacité des perspectives qui ne donnent aucune lueur d'espoir en raison de la chute continue des cours de matières premières d'exportation et du mouvement descendant du dollar américain, la tendance à la baisse de l'économie engage le pays dans un cycle récurrent de déficit extérieur et endettement, comme l'indique le tableau ci-dessous. Tableau n°7 : Évolution de la dette publique du Cameroun entre 1980 et 1988
Source : Banque mondiale,«World debt tables : External Finance for Developing Countries'',vol.2, 1993. À l'analyse, le tableau ci-dessus indique en clair que le Cameroun, en dépensant plus qu'il ne produisait, vivait largement au-dessus de ses moyens durant l'exercice 1986/87 et 1987/88. Face à l'échec de l'auto-ajustement, les indicateurs de l'économie camerounaise deviennent typiques à ceux des pays candidats aux programmes d'ajustement structurel. Ainsi, lorsque le Cameroun conclut son premier accord avec le FMIaprès de laborieuses négociations dans le cadre des programmes d'ajustement en septembre 1988, l'objectif principal était de permettre à cet État de réunir les conditions internes nécessaires afin de faire face aux difficultés conjoncturelles sur une période de 3 ans. Cela explique donc le processus en interne de l'ajustement économique et financier entrepris par les autorités camerounaises avec l'aide du Fonds monétaire international.Pour résoudre le problème d'endettement, le gouvernement camerounais négocie avec le FMI des accords de rééchelonnement de la dette extérieure dans le but de dégager des ressources devant stimuler les budgets et la croissance économique.
En 1984,la dépréciation du dollar, la hausse des taux d'intérêts par le Trésor américain et la détérioration des termes de l'échange rendent le Cameroun insolvable auprès des bailleurs de fonds et les banques privées.Cela pousse donc les autorités nationales à négocier un accord de rééchelonnement avec le Club de Paris et de Londres509(*).Mais face à l'échec cuisant de l'ajustement autonome, les groupes de lobbies français obligent les autorités camerounaises à aller au FMIafin de bénéficier du rééchelonnement de la dette et de sauvegarderles nombreux et puissants intérêts des sociétés étrangères, notamment de Total et surtout le groupe Bolloré qui contrôle l'exploitation du port de Douala et celle de chemin de fer CAMRAIL510(*). En effet, le Club de Paris exige que le Cameroun soit engagé dans un programme appuyé par le Fonds afinde bénéficier d'un accord de rééchelonnement. Cela explique donc la le contexte de signature du premier accord de confirmation et celui dupremier accord relatif au rééchelonnement de 621 milliards de FCFAde septembre 1988511(*).Pour être totalement débité de cette somme, le gouvernement national a dû adopter la supervision de l'initiative de Dakar en 1989, le Plan Trinidad en 1990 et l'IAD et l'IADMen 1997 et 2005. C'est dans ce cadre que le Japonrééchelonne la dette du Cameroun de 200 millions de FCFA en 1992,de 3,1 milliards le 30 mars 1995, de 1 milliard le 10 novembre 1997,et enfin de 3,2 milliards le 18 juin 1999512(*). En contrepartie, le gouvernement camerounais devait mettre en oeuvre des réformes économiques et structurelles visant à améliorer la gestion des finances publiques, à promouvoir la transparence et la bonne gouvernance, et à renforcer le secteur financier. Cela a également permis à l'Étatcamerounais d'attirer davantage les investissements étrangers et de stimuler la croissance économique entre 2000 et 2005. 2. Pourquoi coopérer avec le FMI après l'atteinte du point d'achèvement del'IPPTE ? Plusieurs raisons expliquent l'intérêt pour le Cameroun à coopérer avec le FMIaprès l'atteintedu point d'achèvement de l'IPPTE.D'une part, cet État devait bénéficier pleinement des flux financiers d'allègement, et d'autre part renforcer les politiques publiques post point d'achèvement pour une croissance plus diversifiée et inclusive.
Selon la presse locale Mutations, le Cameroun après le point d'achèvement de l'IPPTE compte bénéficier de tous les flux financiers d'allègement ou d'annulation de la dette extérieure de l'initiative bilatérale française et l'IADM513(*). Et pour cela, il fallait conclure de nouveau accords de partenariat avec le FMI qui estime que l'État camerounais ne dispose pas encore d'un secteur financierrobuste et bien réglementé. Carles politiques économiques envisagées par le chef d'État ne seront pas pertinentes et crédibles par rapport aux attentes des marchés, des citoyens et des investisseurs nationaux et internationaux514(*). Ainsiil fallait donc s'appuyer sur des leviers solides comme le FMI qui est l'institution d'élaboration et de diffusion de nouvelles normes internationales dans le but d'instiguer de la confianceauprès des investisseurs, d'accroitre la transparence de la politique économique et de permettre aux marchés financiers de mieux évaluer la côte de crédit de l'emprunteur ainsi que les normes de bonne conduite qui puissent servir de référence515(*). Pour rendre crédible le Cameroun auprès des investisseurs étrangers, le FMI devrait oeuvrer pour une plus grande transparence et une meilleure communication des données, tant du secteur public que du secteur privé.Ce qui explique donc la diffusion fréquente des données mises à jour sur les positions des réserves internationales et les engagements extérieurs du Cameroun, notamment de la dette extérieure et des mouvements de capitaux privés à court, moyen et à long terme516(*).Cela se matérialise par une utilisation plus fréquente des Notes d'Information au Public (NIP) et d'une diffusion plus large des lettres d'intention et des documents-cadrés de politique économique qui sous-tendent les programmes appuyés par le FMI517(*).
Le gouvernement camerounais, dans l'optique de renforcer et de soutenir sa croissance économique après le point d'achèvement s'allie avec le FMI qui se présente commele meilleur refuge contre les crises financières après des innovations. Depuis le début de la décennie 2000, le Fonds a su mettre en oeuvre des programmes qui se sont avérés efficaces contre l'exubérance de la crise économique et financière. Ce qui a permis d'améliorer la santé économique de cette nation et le bien-être des populations.Cela est passé par l'application des politiques d'ajustement structurel, l'élaboration puis l'adoptiondu Document de Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté etenfinl'adoption du Document de Stratégie pour la Croissance et l'Emploi qui pose les bases d'une vision de l'émergence du Cameroun à l'horizon 2035518(*). En effet, le DSCEdevrait atténuer les conséquences sanitaires, économiques et sociales du pays en garantissant la stabilité macroéconomique ; en renforçant la bonne gouvernance, les efforts de transparence et de lutte contre la corruption ; en accélérant les réformes budgétaires structurelles pour moderniser les administrations fiscales et douanières, en mobilisant les recettes, en améliorant la gestion des finances publiques, accroissant l'efficacité des investissements et réduisant les risques budgétaires des entreprises publiques ;enrenforçant la gestion de la dette et réduisant les vulnérabilités de la dette ; et en mettant en oeuvre des réformes structurelles pour accélérer la diversification et la dynamisation de l'économie tirée par le privé519(*). Élaboré dans un contexte caractérisé par le renchérissement du coût de la vie etla recrudescence de la crise financière, alimentaire et énergétiquemondial, le DSCEgrâce à l'appui financier des bailleurs de Fonds se présente commeun cadre intégré de développement, de cohérence financière, de coordination de l'action gouvernementale et des appuis extérieurs, de consultation et de concertation avec la société civile, le secteur privé et les partenaires au développement, et un cadre d'orientation des travaux analytiques pour éclairer la gestion du développement520(*). III. QUELQUES PERSPECTIVES POUR TIRER PLEINEMENTPROFIT DE CETTE COLLABORATION Dans une coopération comme celle du Cameroun et du FMI, on n'est jamais aussi vainqueur ni aussi vaincu qu'on l'imagine. Au lieu de toujours pointé d'un doigt accusateur les programmes d'ajustement du FMI commeseuls responsables du marasme économique dans cet État, les autorités nationales devraient plutôt améliorer la gouvernance afin de mieux tirer profit de cette coopération pour un développement durable et équitable du pays. Il s'agit de rompreavec le pacte colonial etde mettre en place des stratégies de développement durable plus inclusives par exemple. 1. Rompre avecle pacte colonial La rupture du pacte colonial tient compte de la qualité de l'éducation et de l'adaptation à des situations diverses.
Investir dans l'éducation et la formation professionnelle est crucial pour assurer un développement économique durable. Car cela permet aux individus de développer leur esprit, de remettre en question les normes établies et de contribuer activement à la construction d'une société plus juste et équitable. Cela est parfaitement résumé par la maxime «le secret de la liberté réside dans l'éducation'', soulignantainsi l'importance de l'éducation dans le processus de libération et d'émancipation des peuples. Selon J. Poirot, «l'accès à l'éducation est une des libertés politiques et sociales qui, avec la liberté de participation ou d'expression et le droit à la santé, sont des éléments constitutifs du développement''521(*). En investissant donc dans l'éducation, un pays comme le Cameroun peut former une population instruite, critique et capable de prendre en main son propre destin. Pour élucider le rôle crucial de l'éducation dans le développement économique à long terme d'un pays,on se réfère généralement à l'histoire de la Chine. C'est également dans cet ordre d'idée que se rangeait Nelson Mandela lorsqu'il affirmait que l'éducation est l'arme la plus puissante qu'on puisse utiliser pour changer le monde, car elle permet de comprendre les valeurs et les principes fondamentaux qui guident la vie humaine à prendre les décisions éclairées.Cela explique donc la pertinence d'un bon système éducatif pour le développement d'un pays tel que le Cameroun.Car lorsque nous analysons le type d'éducationdans ce pays, force est de constater que malgré le taux d'alphabétisation, des lacunes telles que la mauvaise orientation dans la sphère du vivre, du survivre, et des raisons de vivre est éminente, d'où le manque de créativité et d'inventivité de la part des dirigeant dans le secteur économique par exemple522(*). En paraphrasant J. Ki-Zerbo, le Cameroun en est arrivé là non seulement à cause de la perpétuité d'un système éducatif colonial, mais également à cause de la phase euphorique qui correspondait à une période de haute conjoncture internationale, soit après l'indépendance quand l'argent facile régnait en maître. L'époque où le gouvernement recevait, distribuait et faisait des plans. Il y avait une sorte de merveilleuse élasticité de la demande en matière de ressources humaines523(*). Mais depuis l'avènement de la crise économique jusqu'au point d'achèvement, c'est fini tout ça, d'où la nécessité de rompre avec ce pacte et investir dans le capital humain afin de permettre à l'Étatcamerounais de réaliser son plein potentiel en tant que nation souveraine et démocratique. Après avoir atteint le point d'achèvement de l'IPPTE en avril 2006, le Cameroun a bénéficié d'un allègement de sa dette extérieure et a pu bénéficier de ressources supplémentaires pour investir dans le développement économique et social du pays. Cependant, pour prospérer après cette étape importante, il est crucial que le pays sache s'adapter aux défis et aux opportunités qui se présentent. Il doit inventer son développement, et ne plus penser que l'aide est la solution miracle. C'est la raison pour laquelle les moments de crise doivent être les moments de remise en question et d'adaptation524(*).Mais au lieu de ça, le gouvernement cherche plutôt à maximiser l'aide qu'il considère comme une source permanente, au lieu d'élaborer et mettre en oeuvre des stratégies pour accélérer la croissance et réduire les inégalités.En effet, les pays qui ont connu un développement important, que ce soit en Europe, en Amérique ou en Asie, tels la France, la Chine et les USA, doivent leurs performances non pas à l'aide extérieure, mais à leur capacité à créer des richesses525(*). Plusieurs grands auteurs ont abordé la question de l'adaptation comme un élément clé du développement économique et social. Par exemple, Joseph Schumpeter, économiste autrichien, souligne l'importance de l'innovation et de la créativité dans le processus de développement économique. Selon lui, les entreprises et les pays qui sont capables de s'adapter rapidement aux changements du marché sont ceux qui prospèrent à long terme526(*). Le cas de la Chine est illustratif. Il y a quelques années les pays africains à l'instar du Burundi, Burkina Faso, Cameroun disposaient d'un revenu par habitant supérieure à celui de la Chine,mais depuis la fin des années 1990, la Chine connait une croissance soutenue grâce à sa rapide capacitéed'adaptation aux changements du marché mondial et deses investissements dans les secteurs productifs527(*). Ce qui n'est pas encore le cas du Cameroun, où les fonds assignés officiellement aux secteurs sociaux et économiques vitaux sont souvent utilisés pour financer des dépenses improductives et nourrir la corruption. Le gouvernement doit se proposer un modèle assurant la croissance économique et permettant une réduction significative de la pauvreté du pays. De même, Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d'économie en 1998, met en avant l'idée que le développement économique ne se résume pas seulement à la croissance du PIB, mais qu'il doit également prendre en compte les dimensions sociales, politiques et environnementales528(*). Pour prospérer après le point d'achèvement, le Cameroun doit donc s'adapter non seulement sur le plan économique, mais aussi sur le plan social et environnemental. Car, le développement, ce n'est pas seulement les indicateurs de la croissance économique, surtout quand ils ne sont que macro-économiques et fondés sur des moyennes. C'est la raison pour laquelle il ne faut pas pousser l'extraversion jusqu'à vendre sa propre histoire pour acheter le développement d'autrui529(*). Il faut dire oui à l'argent du libéralisme, mais à certaines conditions qui ne sont pas des conditionnalités ! En effet, le bien-être des Camerounais doit demeurer la priorité, car l'argent est bon, mais l'homme est meilleur, parce qu'il répond quand on l'appelle. C'est dans ce sens que s'aligne également Jeffrey Sachs, économiste américain et défenseur du développement durable lorsqu'il souligne l'importance de l'investissement dans les infrastructures et les technologies pour favoriser la croissance économique et la réduction de la pauvreté dans les pays en développement530(*). Ainsi, le Cameroun devrait donc investir dans ces domaines tout en s'adaptant aux défis liés à la mondialisation, aux changements climatiques et aux inégalités sociales. 2. Mettre en place des stratégies de développement durable Après avoir atteint le point d'achèvement de l'IPPTE, le Cameroun devrait mettre en place des stratégies efficaces pour prospérer et assurer un développement économique et social durable. Notamment la diversification économique et le renforcement des infrastructures d'une part, et la promotion de l'entrepreneuriat et l'intégration régionale et internationale d'autre part.
Concernant la diversification économique, le Cameroun devrait chercher à diversifier son économie au-delà de ses secteurs traditionnels tels que l'agriculture, le pétrole et le gaz ; et à penser à inclure le développement de secteurs tels que le tourisme, les technologies de l'information et de la communication, les énergies renouvelables, et la transformation des ressources naturelles. Ce qui pourrait être essentiel pour permettre à cet État de de tirer parti des opportunités offertes par la mondialisation tout en préservant sa souveraineté et sa cohésion sociale. En effet, la dépendance excessive à un seul ou deux secteurs économiques peut rendre un rendre un pays vulnérable aux chocs externes et limiter ses perspectives de croissance à long terme, comme ce fut le cas du Cameroun au milieu des années 1980. Par ailleurs, plusieurs auteurs tels que René Dumont, Adam Smith, Célestin Monga et Éric Toussaint ont également abordé la question de la diversification économique dans le contexte africain et ont souligné l'importance pour les pays comme le Cameroun de diversifier leurs économies afin de réduire leur dépendance à l'égard des matières premières, d'encourager le développement d'autres secteurs tels que le tourisme, l'industrie manufacturière, les services et de favoriser une croissance économique plus stable et durable. En effet, la concentration excessive sur les matières premières expose l'économie camerounaise à des risques importants en raison de la volatilité des prix sur les marchés mondiaux531(*). Pour ce qui est du renforcement des infrastructures, le Cameroun devrait renforcer ses infrastructures pour soutenir sa croissance économique et promouvoir un développement durable. En effet, l'atteinte du point d'achèvement en avril 2006 par cet État, dans le cadre de l'IPPTE, a permis au pays de bénéficier d'un allégement de sa dette extérieure et de ressources supplémentaires pour investir dans le développement532(*). Ce qui devrait permettre de renforcer les infrastructures. A priori, les infrastructures de transport, d'énergie, d'eau et d'assainissement sont essentielles pour favoriser le développement économique et social du pays. En effet, des routes en état de délabrement, un accès limité à l'électricité et à l'eau potable, ainsi que des infrastructures de santé et d'éducation insuffisantes entravent la croissance économique et le bien-être des populations. A fortiori, plusieurs auteurs ont souligné l'importance des infrastructures dans le développement des pays en développement. Paul Collier dans son ouvrage The Bottom Billion par exemple met en avant le rôle crucial des infrastructures dans la réduction de la pauvreté et la promotion de la croissance économique. De même l'économiste Jeffrey Sachs, dans son livre The End of Poverty, insiste sur la nécessité d'investir massivement dans les infrastructures pour sortir les pays pauvres de la pauvreté533(*). Ainsi, renforcer les infrastructures au Cameroun permettrait de stimuler l'investissement privé et d'attirer davantage de capitaux étrangersdans les domaines clés pour un développement durable534(*). En améliorant les conditions de transport, d'énergie et de communication, le pays pourrait augmenter sa compétitivité sur le plan international et favoriser la création d'emplois et la diversification de son économie.
Il est crucial de promouvoir l'entrepreneuriat dans un pays comme le Cameroun pour stimuler la croissance économique, créer des emplois et favoriser le développement durable. L'économiste Joseph Schumpeter développe le concept de «destruction créatrice'' selon lequel l'innovation et l'entrepreneuriat sont des moteurs essentiels du progrès économique535(*). En favorisant l'émergence de start-ups et de petites entreprises innovantes par exemple, le Cameroun pourrait dynamiser son économie et accroitre sa compétitivité sur le plan international. De plus, l'entrepreneuriat peut jouer un rôle clé dans la diversification de l'économie camerounaise fortement dépendante de matières premières et du secteur pétrolier. En encourageant la création d'entreprises dans des secteurs tels que l'agriculture, le tourisme, les technologies de l'information et de la communication, le pays pourrait réduire sa vulnérabilité aux chocs externes et stimuler une croissance plus équilibrée et durable. Aussi, promouvoir l'entrepreneuriat au Cameroun permettrait de renforcer le tissu économique local, de favoriser l'innovation et de créer des emplois pour une population jeune et dynamique. En investissant dans l'éducation entrepreneuriale, en facilitant et en soutenant les initiatives locales, le pays pourrait bâtir un écosystème entrepreneurial solide et contribuer à son développement économique à long terme. Concernant l'intégration régionale et internationale, le Cameroun devrait promouvoir l'intégration régionale et internationale afin de consolider les acquis en matière de développement économique et social. En s'engageant dans les accords de libre-échange avec ses voisins et des organisation régionales telles que la CEMAC et la zone de Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF), le Cameroun pourrait bénéficier de synergies économiques et renforcer sa compétitivité sur les marchés internationaux.Cela favoriserait le transfert de connaissance, de technologies et de bonnes pratiques entre les pays membres, ce qui pourrait stimuler l'innovation, renforcer les capacités productives et améliorer la compétitivité des entreprises camerounaises. Par ailleurs, en promouvant également une intégration internationale progressive et équilibrée, le Cameroun pourrait concilier le trilemme de la mondialisation selon lequel «l'intégration économique, la démocratie et la souveraineté nationale'', ce qui permettrait de renforcer sa position sur la scène internationale tout en préservant ses intérêts nationaux536(*). Car le Cameroun pourrait diversifier les ressources de croissance, accroitre la résilience face aux chocs externe et renforcer la coopération avec ses partenaires pour relever les défis communs tels que le changement climatique, la sécurité alimentaire et la santé publique. Au terme de ce chapitre où il était question de traiter de l'avenir des relations entre le FMI et le Cameroun,il ressort que malgré le caractère quelque fois complexede cette collaboration, lorsque les intérêts égoïstes sont pris en filature,il y a du mérite à continuer cette coopération. Mais à condition quele gouvernement camerounais prenne, d'une part des mesures audacieuses contre les défis auxquels le pays fait face afin de bénéficier pleinement desavantagesqui en découlent,notamment l'accès aux financements, l'acquisition de l'expertise, de la crédibilité, des conseils économiques à contextualiser, etc. D'autre part, le gouvernement devrait mieux orienter la mobilité des capitaux vers les secteurs essentiels et stratégiques comme dans le capital humain par exemple. Pour conclure ce projet de recherche où il était question de s'appesantir surl'investitureet le point de vue des journaux dansl'évolution de la coopération Camerounais-FMI entre 1988 et 2006, force est de reconnaitre que la presse, aussi bien locale qu'internationale, a joué un rôle déterminant dans le processus de régulation de la crise économique de 1985 et le recours au FMI dans le cadre des programmes d'ajustement en 1998. Alors qu'en 1960 la philosophie économique du Cameroun s'alignait à la vision politique dont elle se présente comme le versant grâce à l'abondance des ressources nationales et le pragmatisme des autorités gouvernantes,l'introductiond'une politique d'import-substitution en 1970permet de remplacer les importations par la production locale, ce qui a favorisél'assise d'une autosuffisance alimentaire et la sortiedu pays d'une économie de traite.Et en 1980 de nouveaux objectifs à long terme, devant diversifier l'appareil de production, réaliser un développement endogène et faciliter l'accès de tous aux équipements sociaux de basesont fixés pour l'an 2000.Mais en 1986, la crise économique oblige l'urgence d'un retour à la stabilité macroéconomique, d'où la suspensiondes plans quinquennaux. Après l'avènement de cette crise, Cameroon tribune, Le Messager et Mutations, vont apaiser la panique sociale en informant le public sur les causes et les conséquences de la crise, et vont mettre en lumière les politiques économiques mises en place par le gouvernement pour y faire face, tout en critiquant les mesures qui n'étaient pas efficaces. Ils ont également donné une tribune aux experts économiques pour analyser la situation et proposer des solutions. En outre, les journaux étrangers tels que Jeune Afrique et Le Monde ont apporté un regard extérieur sur la crise économique au Cameroun, ce qui a permis de mettre en perspective les politiques économiques du pays par rapport à celles des autres pays et d'identifier les meilleurs pratiques à suivre.Cette couverture de la crise a permis de sensibiliser l'opinion publique camerounaise sur les enjeux économiques et de mobiliser la société civile pour demander des réformes économiques plus efficaces. Cela a mis la pression sur le gouvernement camerounais à recourir aux programmes d'ajustement du FMI. Après l'élaboration de la «Déclaration de Stratégie et de Relance Économique'' par la Commission interministérielle camerounaise, c'est finalement le 24 septembre 1988 que le premier accord de confirmation est signé, dans le cadre des programmes d'ajustement structurel, après de laborieuses négociations. Ce qui a débouché à la mise en place des mesures de réforme socio-politiques et économiques entre 1988 et 2006.Il s'agit de l'abandon des subventions aux produits et services de premières nécessité, l'austérité budgétaire et réduction des dépenses, la dévaluation de la monnaie locale, l'élévation des taux d'intérêt, la promotion d'une production agricole pérenne pour faire rentrer les devises, la suppression des barrières douanières, la libéralisation de l'économie, la suppression du contrôle des changes, la privatisation massive des entreprises publiques, et l'introduction d'une TVA.Ces mesures devaient permettre de surmonter sans tarder les difficultés auxquelles se heurte déjà la balance des paiements etd'empêcher que les difficultés ne resurgissent. Mais d'après les journaux, ce n'est qu'après la dévaluation du FCFA en 1994 que l'économie camerounaise se stabilise et réentame une croissance soutenue.Entre 1995 et 2006, la production intérieure passe d'un déficit de -0,06% entre 1988 et 1994 àune croissance de 4% en moyenne entre 1995 et 2006.La situation des finances publiques s'améliore nettement grâce à une meilleure mobilisation des recettes propres, tandis que le taux de chômage passe de 24,6% de la population active en 1993 à 7,5%, ce qui a permis d'améliorer la cotation internationale du Cameroun. Concernant le problème d'endettement qui n'a cessé d'accroitre jusqu'en 1999,c'est sousl'achèvement de l'initiative PPTE que l'encours de cet endettement excessif est réduit grâce à l'IADM adopté en 2005 à Lyon. Par ailleurs, à l'image des autres pays d'Afrique noire comme la Côte d'Ivoire et le Sénégal, le Cameroun a étéincapable de promouvoir une industrie locale solide à cause de la concurrence étrangère dont la politique industrielle accorde des avantages difficilement réversibles 18 ans après. À l'atteinte de l'initiative PPTE renforcée en avril 2006, la production économique camerounaise se limite aux matières premières, aux activités dont les coûts de transport à l'importation sont très élevés, aux petites industries à faible économie d'échelle et aux activités de bouts de filières. Celaa amené certains journaux, tels queLe Messager, Mutations et Jeune Afriqueà considérer les programmes d'ajustement comme un fiasco au Cameroun. Car même si le FMI permet de desserrer la contrainte financière grâce ses conditionnalités, la contrepartie a été l'accroissement des risques de ré endettement et de faiblesse de la coordination des politiques d'aide, d'où le Cameroun dans les fourches caudines du FMI. Le gouvernement camerounais a également été critiqué pour sa gestion de la coopération avec le FMI, soulignant des problèmes de transparence et de corruption. Pour y remédier les perspectives proposées sont : d'adopter des dispositifs efficaces pour faire face à ces défis et orienter les capitaux vers l'innovation des secteurs essentiels et stratégiques comme l'éducation, la santé,les infrastructures, l'agriculture, etc. Annexe 1 : Interview exclusiveduprésident de la République El Hadj Ahmadou Ahidjo accordé au journaliste EngelbertNgog-Hoble 12 novembre 1974
Source : Cameroon tribune, n°115. Annexe 2 : Opération 150.000 t. de cacao encouragé par la SODECAO pendant le 3e plan quinquennal
Source : Cameroon tribune, n°108. Annexe 3 : Lois relatives au régime des substances minérales, et fixant l'assiette, les taux et mode de recouvrement des droits fixes, redevances et taxe minières en 1978
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Hypothèses de recherche 13 CHAPITRE 1 : FACE AUX DEFIS DE L'HEURE, LE CAMEROUN RECOURT AU FMI 17 I. UNE ECONOMIE ENTRE RESILIENCE ET CONTROVERSE 17 1. L'économie camerounaise : une brillante exception en Afrique ? 18 1.2. Un bilan positif et riche de promesse 24 2. Le difficile destin de l'économie camerounaise 32 2.2. Le plan de rigueur et les mesures préconisées pour limiter les irrégularités 35 II. LES RAISONS JUSTIFIANT LE RECOURS AU FMI 37 1. Les raisons microéconomiques et macroéconomiques 37 1.1. Une crise sévère.........................................................................................37 1.2. L'instabilité politique et sociale 39 2. Le poids des pesanteurs extérieures 41 2.1. Selon des considérations économiques 41 2.2. Considérations politiques 43 III. AUX ORIGINES DU FMI ET DES PROGRAMMES D'AJUSTEMENT STRUCTUREL (PAS).. 45 1.1. Contexte et circonstances de création du FMI 45 1.2. Les objectifs et les missions attribuées au FMI 47 2. Les visées des PAS du FMI 49 2.1. Le consensus de Washington : fondement théorique des PAS 49 2.2. Le modèle intégré FMI-Banque mondiale des PAS 50 CHAPITRE 2 : VERS UNE COOPERATION EFFECTIVE ENTRE CAMEROUN ETET FMI 52 I. LA NATURE DES ACCORDS CONCLUS 52 1. Les accords de confirmation ou Stand-by Arrangement 53 1.1. L'accord de confirmation du 24 septembre 1988 53 1.2. L'accord de confirmation du 20 décembre 1991 55 1.3. L'accord de confirmation du 25 mars 1994 56 1.4. L'accord de confirmation du 27 juillet 1995 57 2. Les accords économiques et financiers triennaux 58 2.1. La Facilité d'ajustement structurel renforcé (FASR), 1997-2000 58 II. LES CONDITIONNALITES D'EMPRUNT ET LEUR MISE EN APPLICATION CONCRETE AU CAMEROUN 60 1. Les politiques de réformes approuvées par l'Etat Camerounais 61 1.1. Les politiques macroéconomiques 61 1.2. Les politiques structurelles 62 2.1. Sur le plan institutionnels et politiques 64 2.2. Sur le plan économique 67 III. LE DESACCORD SURL'APPLICATIONDES PAS AU CAMEROUN 73 1. Une mise en avant des limites des PAS 73 1.1. La vision dogmatico-satique du développement et la négligence du volet social Erreur ! Signet non défini. 2. L'idéalisme des autorités des autorités camerounaises face aux problèmes conjoncturels 77 2.2. Ajustement structurel comme plan d'action contre l'autoritarisme au Cameroun 79 I. ANALYSE DES PERFORMANCES ECONOMIQUES 84 1. La dérèglementation des politiques économiques 84 1.1. La libéralisation du marché camerounais 84 1.2. L'instauration de la concurrence dans le secteur industriel 88 2. Une croissance économique diversifiée et soutenue..................................................90 2.1. La hausse du niveau de la production intérieure.....................................................93 2.2. L'amélioration du rendement des principaux secteurs économiques..............................98 II. ANALYSE DES PERFORMANCES SOCIO-POLITIQUES 100 1. L'impact des PAS sur le système politique camerounais 100 1.1. Les changements institutionnels 100 1.2. La redéfinition des politiques publiques 104 2. Une nette reconfiguration sociétale 107 2.1. Le renforcement de l'écart du niveau de vie entre Camerounais 108 2.2. La résilience de la population et l'émergence du secteur informel 111 1. Les indicateurs économiques du développement 118 1.1. Le Produit Intérieur Brut (PIB) 118 1.2. Le PIB par habitant (PIB/hbt) 119 2. Les indicateurs sociaux du développement 121 2.1. L'Indice du Développement Humain (IDH) 122 CHAPITRE 4 : QUEL AVENIR POUR LA COLLABORATION CAMEROUN-FMI ? 127 I.LE FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL : UN INSTRUMENT DEVANT PERMETTRE AUX POUVOIRS PUBLICS D'AMELIORER LES CONDITIONS FINANCIERES DURANT LA DECENNIE 1990 ? 127 1. Le FMI, une panacée contre les déséquilibres économiques au Cameroun 127 1.1. La logique d'une mise en application des politiques d'ajustement et de stabilisation 128 1.2. Une évolution riche de virtualitéset pleines de promesses 129 2. La coontre-facette de l'intervantion du FMI au Cameroun 131 2.1. Favoriser l'expansion des entreprises occidentales 132 2.2. Renforcerle circuit infernald'argent-dette et d'aide-credit concessionnel 134 II. QUEL INTERET POUR LE CAMEROUN A COLLABORER AVEC LE FMI ? 136 1. Rétrospective sur la banqueroute etle recoursdu FMI en 1988 136 1.1. Une nécessité de rétablir les équilibres micoéconomiques et macroéconomiques 136 1.2. Pour bénéficier du rééchelonnement de la dette extérieure 138 2. Pourquoi coopérer avec le FMI après l'atteinte du point d'achèvement de l'IPPTE ? 139 2.1. Pour bénéficier pleinement des flux financiers d'allègement 139 2.2. Pour une croissance soutenue, plus inclusive et diversifiée 140 III. QUELQUES PERSPECTIVES POUR TIRER PLEINEMENT PROFIT DE CETTE COLLABORATION 141 1. Rompre avecle pacte colonial 141 1.1. Renforcerle capital humain 141 1.2. S'adapter aux défis et oppportunités 142 2. Mettre en place des stratégies de développement durable 144 2.1. Diversifierl'économie et développerles infrastructures 144 2.2. Promouvoir l'entrepreneuriat, l'intégration régionale et internationale 146 SOURCES ET REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 186 * 501 D. Boisvert, «L'argent-dette : un système d'exploitation à repenser'', in Le journal de Montréal, consulté en ligne sur www.journaldemontréal.com, le 13 avril 2023 à 07h38. * 502 E. Toussaint, Banque mondiale, le Coup d'État permanent. L'agenda caché du Consensus de Washington, Liège, CADTM, 2006, p.20. * 503Anonyme, «Cameroun : l'économie après le point d'achèvement''..., consulté en ligne sur www.cameroon-info.net, le 26 février 2023 à 14h03. * 504Anonyme, «Cameroun : l'économie après le point d'achèvement''..., consulté en ligne sur www.cameroon-info.net, le 26 février 2023 à 14h03. * 505J. Perkins, «Les confessions d'un assassin financier'', 2004, consulté en ligne sur www.aphadolie.com, le 12 juin 2023 à 2h01. * 506M. Lelart, «Les statuts du FMI'', in Revue d'économie financière, 1994, p.527. * 507J. AmbelaNyemba, «Observer les effets de la crise et de la politique d'ajustement en milieu rural : Choix et limites des indicateurs OCISCA'', in Le village Camerounais à l'heure de l'ajustement, n°1, 1994, p.129. * 508Fozing, L'éducation au Cameroun..., p.53 et 54. * 509Fambon, «Endettement du Cameroun...,p.17. * 510Mongo Beti, main basse sur le Cameroun..., p.12. * 511M. Raffinot, Soutenabilité de la dette extérieure : De la théorie aux modèles d'évaluation pour les pays à faible revenu, Paris, DIAL, 1998, p.18. * 512Cameroun tribune, n°8588/4787, 28 Avril 2006, p.2. * 513Anonyme, «Cameroun : l'économie après le point d'achèvement''..., consulté en ligne sur www.cameroon-info.net, le 13 mai 2023 à 14h03. * 514Ibid. * 515FMI, Rapport annuel 2007, p.27. * 516FMI, Rapport annuel 1999, p.198. * 517Ibid. * 518DSCE, p.10. * 519 Ibid. * 520 DSCE, p.10. * 521 J. Poirot, «Le rôle de l'éducation dans le développement chez J. Rawls et A. Sen, entre équité et efficacité'', in Mondes en développement, Vol.33, n°132, 2005, p.34. * 522J. Ki-Zerbo,Repères pour l'Afrique, Sénégal, NENA, 2018, p.134. * 523 Ki-Zerbo, Repères pour l'Afrique..., p.80. * 524D. Moyo, L'aide fatale. Les ravages d'une aide inutile et de nouvelles solutions pour l'Afrique, Paris, J.C. Lattès, 2009, p.98. * 525Moyo, L'aide fatale..., p.98. * 526J. Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, Paris, Payot, 1990, p.77. * 527Moyo, L'aide fatale..., p.98. * 528A. Sen, Un nouveau modèle économique.Développement, justice, liberté, Paris, Odile Jacob, 2000, p.2. * 529Ki-Zerbo, Repères pour l'Afrique... p.80. * 530 J. Sachs, The End of Poverty : Economic Possibilities for Our Time, New York, Penguin Press, 2005, p.233. * 531R. Dumont, L'Afrique noire est mal partie, Paris, Seuil, 1962, p.246. * 532Anonyme, «Cameroun : l'économie après le point d'achèvement''..., consulté en ligne sur www.cameroon-info.net, le 13 mai 2023 à 14h03. * 533 Sachs, The End of Poverty..., p.233-234. * 534 M. TafamKoagne, «La problématique du financement de l'industrie manufacturière au Cameroun (1946-99)'', Mémoire de DEA en Histoire, Université de Yaoundé 1, 2005, p.46. * 535Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie..., p.77. * 536D. Rodrik, La mondialisation, démocratie et l'État : le trilemme de l'économie mondiale, New York, W. W. Norton &Company, 2011, consulté en ligne sur https://books.openedition.org, le 23 mai 2023 à 15h01. |
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