Mise en place d'une base de données répartie sous Oracle. Cas de la gestion du dossier judiciaire dans les parquets de grande instance de la ville de Kinshasapar Dieudonné MWADIA BILE Ecole Supérieure des Métiers d'Informatique et de Commerce - Licence en Informatique 2015 |
Liste des figuresFigure 1. Conception d'une base de données répartie : Approche ascendante 13 Figure 2. Conception d'une base de données répartie : Approche descendante 13 Figure 3. Architecture d'une base de données répartie (ANSI-SPARC) 14 Figure 4. Structure de stockage d'Oracle 26 Figure 5. Relation entre structure physique et structure logique d'Oracle 27 Figure 6. Une instance Oracle 27 Figure 7. Organisation de l'Ordre judiciaire du Parquet congolais 39 Figure 8. Organigramme du Parquet de Grande Instance 40 Figure 9. Le graphe ordonné du projet 52 Figure 10. Le graphe complet du projet 53 Figure 11. Diagramme de flux d'informations 57 Figure 12. Diagramme de classe d'analyse 61 Figure 13. Diagramme de classe de conception 64 Figure 14.Aperçu du réseau privé virtuel dans le terminal Linux 82 Figure 15. Aperçu des tables sous SQLDevelopper 83 Figure 16.Aperçu des vues sous SQLDevelopper 83 Figure 17. Aperçu de la table Parquet sous Oracle Apex 84 Figure 18. Aperçu de la vue Personne_Physique sous Oracle Apex 84 Liste des tableauxTableau 1. Chronologie des versions d'Oracle database. 24 Tableau 2. Types de vues 34 Tableau 3. Liste de phases et tâches du projet 51 Tableau 4. Dictionnaire des données 63 INTRODUCTION GENERALE1. ProblématiqueL'ordre judiciaire Congolais est constitué, à chaque niveau de sa hiérarchie, des juridictions dont dépendent des parquets. Le parquet de grande instance près le tribunal de grande instance comprend un secrétariat lui permettant d'accomplir sa mission de ministère public dans la gestion des dossiers judiciaires. Le secrétariat est le pivot moteur autour duquel s'articulent toutes les activités du parquet, divisé en quatre section chacune avec un rôle bien spécifique, ces dernières détiennent des registres permettant de conserver les données inhérentes aux dossiers judiciaires pour le bon fonctionnement du parquet. Certaines données généralement confidentielles doivent être transmises ou partagées sans incohérence entre les sections internes au parquet ou entre différents parquets dans le délai prescrit. En observant ce fonctionnement, par rapport à la gestion des dossiers judiciaires, nos préoccupations sont les suivantes : · la gestion manuelle des données est efficace ? · L'accès aux données est-elle performante ? · N'y aurait-il pas risque de redondances voire incohérences de données ? · Quel serait niveau de partage et de disponibilité des données ? · Les données sont-elles réellement fiables et sécurisées ? Voilà autant des préoccupations aux quelles notre mémoire tentera de répondre. |
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