CONSIDERATION CRITIQUE ET
SUGGESTION
CRITIQUE ET SUGGESTION
Normalement on constate que nombreuses dispositions
légales règlementaires et variées protégeant les
droits et devoirs des détenus. Vu que la partie accusante et l'Etat via
la société et plus précisément la partie dite
plaignante ou partie accusante. Tout ceci car la justice est rendue au nom du
président de la République qui est le numéro un (1) de la
république et qui représente un Etat.
D'où l'Etat congolais a des lois et règles qui
ne doit pas violer les droits humains car notre pays est membre de
l'organisation internationale qui privilège et garantit le respect de
droits humains et cela doit être respecté par tous les pays qui
ont ratifié le pacte international relatif aux droits humains.
Donc les droits unérants et fondamentaux des
détenus doivent être garantis aux personnes détenus en
République Démocratique du Congo. Le Droit comme l'habitation
digne et capable de protéger sa personnalité et la nourriture
seine en qualité et en quantité pour garantir sa survie.
Malheureusement l'on relève la balance penchée lourdement vers le
non-respect de détenus qui sont aussi des êtres humains qui
méritent d'être protégés et
rééduqués.
Alors, l'on ne doit pas se réjouir de torturer ces
derniers cars n'oubliez pas que, vous vous croyez être libre, mais nous
vous informons que vous avez juste une liberté qui est d'une
manière provisoire, car la loi est considérée comme un
panneau publicitaire, que l'on peut s'heurter contre et sans le vouloir.
D'où quel que soit ce qui serait votre explication lorsque vous
êtes déjà heurté contre la loi, cette
dernière finira toujours par s'énerver contre vous.
Donc, il faut éviter d'énerver la loi. Surtout
que la loi pénale est de stricte application.
Comme la loi a toujours tendance à s'énerver
contre quiconque semblerait la provoquer, alors si vous violer les droits de
détenus. Ainsi, vous risquerez aussi d'aller vivre la détention
sur terrain avec les hommes que vous avez semblé minimisé voir
même les voir comme de vaut rien pour les torturer comme vous voulez.
Alors pour éviter le pire car la détention, le service
pénitentiaire ou domaine pénitentiaire est bon ou belle que
lorsque vous écoutez ça de loin ou lorsque vous y mener des
recherches pour un but déterminé visant un intérêt
quelconque. C'est bon, mais aussi c'est très mauvais (e) quand vous y
arrivez comme détenus. Alors quel que soit votre pouvoir que vous avez
vis-à-vis de détenus, il est mieux de leurs témoigner
même un minimum de considération envers eux entant qu'êtres
humains et cela sans tenir compte de leurs motifs d'arrestation car l'homme a
toujours des bons côtés et des insuffisances dans son parcours
vital.
Alors, c'est mieux de réaliser et garantir les droits
fondamentaux des détenus entant qu'être vivant, mais ce qui est
décevante est qu'il y a des sérieuses difficultés d'une
manière générale dans prèsquetous les
établissements pénitentiaires de la RDC.Pour dénoncer
toutes les formes des violences dont les détenus sont victimes car aucun
auteur d'infraction ne pourra jamais accepter à ce qu'un détenu
victime d'une violence grave puisse se plaindre officiellement devant les
juridictions légales, de peur pour l'auteur d'être directement ou
indirectement incriminé pour enfin engagé sa
responsabilité. Malheureusement une infraction reste toujours une
infraction car c'est un comportement et acte non voulu par la
société.
D'où un détenu doit aussi jouir de tous ses
droits fondamentaux car sont des droits qui lui est garantis par la loi et la
même constitution qui est supposée être la volonté de
toute la société. Or l'infraction est un mal ou acte non voulue
dans la société. Donc c'est de la même chose que les
détenus n'aiment pas être maltraiter comme s'ils n'étaient
pas des êtres humains.
Bref, c'est mieux que tout un chacun partout où vous
êtes de bien vouloir contribuer et témoigner même un minimum
de considération envers les détenus, contribuer à leur
rééducation car après l'amendement, il peut encore
être réinsérer pour devenir utile à la
société. Si réellement le service pénitentiaire a
bien fait son travail de transformer celui qui était un danger, un non
voulu qui peut être transformé en bénédiction et
personne utile à la société. D'où pour atteindre
cet objectif, nous avons trouvé mieux qu'il faut une réforme bien
faite dans le domaine ou service pénitentiaire en RDC. Sans oublier que
le détenu doit connaître ses devoirs d'une manière
légale, car certains détenus repris de justice versant parfois et
ouvertement dans le triomphalisme, à telle enseigne que, comme qui
dirait, ils n'avaient jamais causé aucun mal à leurs victimes
qui sont souvent la partie plaignante qui peut aussi avoir été
animé d'une mauvaise foi pour faire souffrir inutilement un être
humain.
Alors voilà que le canon est tourné vers les
détenus car tout acte qu'un détenu voudrait faire dans un
établissement pénitentiaire doit être visé par le
chef compétent en la matière.
Ainsi, il est presque difficile pour un détenu victime
de dénoncer la violence ou comportement quelconque qui viole ses droits.
Constat fait est que comme il semble être comparé aux personnes
vulnérables, sans moyens de réclamer ses droits violés,
même ce qui lui est primordial. D'où certains détenus
finissent parfois par maigrir car étouffé parfois par des remords
internes quand ils se trouvent abandonnés de leurs tristes sorts.
Vraiment, il faut un mécanisme de dénonciation dans les
établissements pénitentiaires de la RDC.
Et le gouvernement via les autorités compétentes
doit mettre en place une procédure spéciale pour amender, dire
non à l'utilisation des certains détenus dotés des lourdes
responsabilités vis-à-vis de leurs semblables détenus.
Sans oublier que l'Etat, toujours via les autorités compétentes
en la matière, il doit encourager certains systèmes ou pratiques
importantes appliquées dans l'organisation interne de
l'établissement et d'encourager le système ou les pratiques qui
ne sont pas importants. Surtout, il faudrait beaucoup plus critiquer, le fait
d'utiliser certains autres détenus qui semblent être à la
hauteur plus que les autres détenus comme un éléphant qui
marche sur les oeufs, suite en un pouvoir ou fonction précaire lui
attribué par les membres de l'organisation interne de
l'établissement pénitentiaire.
Donc, il faut une formation instantanée et nous
supposons, qu'il faut construire de grande clôture abrita ou dotée
de plusieurs ateliers et matériels d'apprentissage des différents
métiers. Sans oublier la sécurité et surtout et comme
l'objectif des éléments de force publique, compte tenu de
l'insuffisance des éléments commis à la garde dans un pays
dominé par la guerre continuelle. Ainsi, pour la sécurité
des murs des établissements pénitentiaires. Nous supposons qu'il
faudrait arranger moyennant des dispositifs d'électrification de murs
comme fut à l'époque la clôture du camp de détention
de Buluo. Des dispositifs électriques pour une sécurité
maximale, mais aussi dangereux car quiconque détenu ou une tierce
personne qui oserait s'approcher du mur, il encoure le risque d'être
électrocuté qui est un danger de mort. Malgré tout
ça, ce système doit y être replacé après
avoir fait grandir ou élargir le mur sur une grande étendue de la
surface que contient ou que comporte beaucoup de nos domaines
pénitentiaires qui abritent beaucoup des établissements
pénitentiaires en RDC.
Sans oublier que pour l'effectivité et la
matérialisation de la réforme, il faut aussi la création
des autres établissements pénitentiaires compte tenu de nos
suppositions dans ce travail de mémoire qui est l'oeuvre d'esprit
après tant des recherches soutenues dans le domaine
pénitentiaire. Et comme il faut une formation rigoureuse de la main
d'oeuvre du personnel pénitentiaire et détenus sur la protection
des droits humains. Car actuellement la politique pénitentiaire
congolais semble être décevante car vous trouverez les droits de
l'homme être violé régulièrement dans des milieux
pénitentiaires par d'autres détenus et parfois même par des
personnels ayant l'autorité et le pouvoir sur les détenus. Sous
le gros silence des autorités compétentes pour mettre de l'ordre
dans ce domaine et c'est ce qui devient pire voir un détenu qui peut
même se prévaloir donner des ordres parfois mal donner dans des
établissements pénitentiaires. Et par l'ivresse du pouvoir
précaire dans le lieu carcéral certains détenus ayant des
titres, ils semblent oublier même la peine qui pèse sur eux or ils
sont appelés à subir la teneur de leur pénologie pourvu
qu'ils puissent s'amendé. Ou confessé qu'il ne
répéterons plus à commettre le mal qui les avait conduit
à la détention.
Sans oublier que l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965
doit leurs être applicable avec douceur, telle est la stipulation des
certains articles ou disposition relative à la promotion de droits
humains. Sans oublier la loi du 22 Juin 1987, portant sur les règles
applicables sur la population détenus. Et la loi du 18 Janvier 1994
portant sur la réforme de la santé en milieu
carcéral ; doit aussi être appliquée pour atteindre
les objectifs visés par la réforme souhaitée dans ce
travail : - la loi de 1998 sur la réforme des services
pénitentiaires d'insertion et de probation ainsi que les multiples
circulaires visant la bonne marche du domaine pénitentiaire.
Malgré que nous constatons que jusque-là, les
quelques efforts qui peuvent être remarquables sur terrain comme à
la maison d'arrêt de Boma qui a essayé de repeindre ses murs, mais
la situation pour faire respecter les droits des détenus n'a pas encore
atteint un niveau prioritaire pour le respect des droits fondamentaux à
l'être humain. Jusqu'aujourd'hui dans nos établissements
pénitentiaires rien n'est fait pour préparer comme il faut
l'apprentissage des différents métiers pour la resocialisation
des détenus dans la société libre. D'où nous
souhaitons une réinsertion digne et bénéfique aux
détenus et à toute la population congolaise. Surtout les
détenus qui ont été condamnés doivent en être
bénéficiaires après leur amendement. Pour préparer
leur retour à la vie paisible dans la société libre et
parfois innocent, mais coupable des actes de récidiviste cause par les
détenus qui n'ont pas été bien préparé pour
le retour normal dans la société libre.
A ce point les détenus, ont complétement raison
de réclamer le respect de leurs droits car c'est pour vouloir bien aussi
de leur tour chercher de bien s'acquitter de leurs devoirs. Et leur raison est
fondée par le constat que dès la sortie dans le milieu où
ils étaient enfermé, il ne sait pas sur quel pied commence la
dance vu que dans la société il faut un travail pour parvenir
à subvenir et répondre aux multiples besoins pour la survie.
Alors comme un détenu qui a fait longtemps en détention, il
semble perdre le rythme de la dance dans la société libre et
suite à leur isolement, y sont aliéné mentalement voir
même tourmenter en esprit qui est déjà faible dès le
jour d'arrestation et même parfois qui semble être entouré
de rouille et horreur. D'où ils leurs arrivent d'être difficile de
s'adapter facilement après leurs libération pour la
société libre et travailleur.
Ainsi, suite à tous ces cris de détresses et de
désespoirs sous forme des critiques. Nous suggérons que c'est
mieux que, les autorités ainsi que toute personne qui lira cet ouvrage
d'avoir la bonne foi et l'amabilité de bien vouloir faire respecter les
droits des détenus, surtout, ils ont droit ont travail
rémunératoire pour répondre à ses multiples besoins
après leurs libération légale. Ainsi, avant de chuter avec
cette partie du travail réservée aux critiques et suggestions.
Nous trouvons que c'est mieux de signaler que nous constatons
que dans la plupart des établissements pénitentiaires de la RDC,
il y a toujours et parfois les violations et violences faites aux
détenus. L'autre constat est que la plupart des bâtiments
pénitentiaires qui existent en RDC, ont été construit par
les colonisateurs Belges et comme ça date de longtemps, d'autres sont
actuellement menacés par un état avancé du
délabrement car menacé par la rouille et ne répondant pas
aux normes requises pour sauvegarder les droits humains et répondre aux
normes internationaux.
Par considération de la pertinence de tout ce qui
précède, nous continuons à suggérer qu'il y a
toujours l'espoir au changement pour habiller notre domaine
pénitentiaire d'une nouvelle robe et nous pensons que ce changement doit
commencer dans le coeur du personnel pénitentiaire congolais pour donner
la chance au respect des droits humains et nous sommes sûrs que tout ira
bien pour permettre le service pénitentiaire de bien s'acquitter de ses
devoirs pour atteindre les objectifs tant attendu dans la
société.
Nous chutons par des notions suivantes qui dit qu'il faut une
formation rudimentaire dans les établissements pénitentiaires au
profit de la population détenus car c'est dans le cadre de la
réforme sous forme de la révolution de la modernité pour
le respect des droits humains car il est dit que, même en cas guerre, il
faut même un minimum d'un comportement civilisé entre les parties
au conflit. Donc, il n'y a pas débat car les respects de droits humains
s'impose.
Ainsi, c'est aux autorités pénitentiaires de se
plaindre incessamment devant l'hiérarchie gouvernementale et les
particuliers de bonne foi jusqu'à ce qu'une solution sera trouvé
tels que la construction et la réhabilitation des autres bâtiments
pénitentiaires. Il faut la multiplication de maisons ou
établissement pénitentiaire dans le pays, sans oublier la
prévision des ateliers et salles d'apprentissage des différents
métiers au profit des détenus, les ateliers et les salles doivent
être bien équipé pour bien contribuer à
l'éducation de détenu via la main, d'oeuvre perfectionné
et bien outiller. Surtout que nous avons parfois et toujours
écouté que notre pays est suffisamment riche. Ainsi, nous
espérons que dès maintenant et dans les jours avenir, notre pays
sera doté d'un domaine pénitentiaire qui donne la confiance
à la rééducation et la réinsertion utile et
importante au détenu lui-même et à la
société. Après toute ces critiques et suggestions ci-haut.
Enfin, nous suggérons aussi qu'il faut des établissements
pénitentiaires ayant plusieurs ateliers d'apprentissage des
différents métiers professionnels au profit des détenus.
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