CONCLUSION
Le respect des droits humains via la qualité et
l'efficacité de la justice préoccupant tous les citoyens d'un
Etat, et c'est au coeur du développement d'une nation.
Ainsi, dans cet ouvrage le respect de droits de détenus
est un principe sacrosaint. Pour rappeler aux professionnels et
autorités compétentes. Chacun (e) a son niveau de bien vouloir
faire respecter les droits de détenus, et cela dans la conformité
de la loi nationale qu'internationale relative à la protection des
droits humains. Sans oublier de contribuer à l'élimination d'une
autre forme d'antivaleur qui est le tribalisme qui doit aussi être mis en
écart dans le service pénitentiaire de la RDC. Car il est
mentionné noir sur blanc dans la constitution de la République
Démocratique du Congo à son article 16 et dans d'autres
dispositions de la même constitution de notre pays.
Sans oublier les traités et règles minima des
nations-unies sur le traitement des détenus acceptées et d'autres
sont parfois signe à Genève. L'ordonnance-loi n°344 du 17
septembre 1965 applicable aux détenus en RDC dont la première
disposition stipule que : « Le condamné à le droit
d'être amande, reclassé et préparé à
l'insertion dans la société libre », nous
évoquons aussi l'adage en latin qui dit « UBI SOCIETAS UBI
JUS » c'est-à-dire que là où il y a une
société il y a le droit. Ainsi, notre sujet est dans la
société carcérale pour confirmer notre position qui
prône la réforme pour le respect de droits de détenus car
sont des êtres humains.
Rappelez-vous que la présente oeuvre d'esprit
scientifique animée par la diversité et me dote d'une
volonté scientifique farouche, qui est toujours prêt à
répondre à l'appel de la science comme un commando pour
défendre sa patrie. Alors ce travail est animé autour d'un sujet
intitulé : « NECESSITE DE REFORME DU SYSTEME
PENITENTIAIRE EN RDC. (UNE ETUDE DES DROITS DE DETENUS DANS LA MAISON D'ARRET
DE BOMA, LE CAMP DE DETENTION DE BULUO ET LA PRISON DE KASAPA).»
Ce travail est subdivisé en trois chapitres qui
traitent séparément sur les notions préliminaires,
sur les considérations générales, dans le premier chapitre
et deuxième chapitre qui traite sur l'aperçu
général de l'applicabilité de la pénitence dans la
maison d'arrêt, dans le camp de détention et dans la prison.
D'autre part, hormis ces trois chapitres, nous avons
l'introduction générale, les critiques et suggestions, la
conclusion et l'annexe qui contient des idées pour compléter la
compréhension et l'information sur l'idée qui ont poussé
l'auteur que nous sommes d'apporter notre attention au sujet que nous avons
choisi pour animer ce travail de mémoire. Enfin, il y a la bibliographie
qui vient après l'annexe que nous avons inséré entre la
conclusion ici présente et la bibliographie qui vient tout avant l'index
qui est la partie finale de ce travail car la table de matière a
été placé parmi les pages préliminaires parmi les
pages de la première position dans ce travail et c'est bien pour le plan
de travail de mémoire présent pour sanctionner notre formation en
deuxième licence,département de Droit public.
Avant de jeter l'encre et pour préparer de mettre les
points sur les Xs dans cette partie qui est la conclusion de ce travail, il
est mieux de signaler que nous savons pertinemment que le législateur
congolais a déjà disposé du fondement juridique, mais qui
peut aussi être révisé pour être adapté aux
situations de la réalité nouvelle dans un domaine concerne par ce
fondement juridique.
D'où dans le cas du domaine sous étude dans ce
travail de mémoire nous voyons l'ordonnance-loi n°344 du 17
septembre 1965 portant régime applicable aux personnes détenues
en RDC. Cette ordonnance mérite la révisitation, l'amendement et
la révision de certains articles pour les adapter aux
réalités nouvelles dans le domaine pénitentiaire et des
réalités actuelles sur la scène internationale de la
promotion de droits humains.
En bref, nous avons eu aussi à parler sur les
instructions et circulaires qui nous ont servis à la rédaction de
ce travail, tels que : le circulaire n°005/002/PGR/2004, du
28/12/2003 relatives à la population carcérale et la
mortalité dans les milieux carcérales par MUKEBA, procureur
à 2004.
Bien que, nous connaissons CAMILLE DE GEZ qui est parmi les
éminents doctrinaires qui ont écrit sur l'organisation du domaine
pénitentiaire, dans son ouvrage intitulé « univers
carcéral » lui aussi avait constaté comme nous qu'il
existe une faible quantité des matériaux disponibles pour
l'éducation des détenus amandé. Ainsi, nous concluons en
disant que, pour la resocialisation et l'insertion avec réforme de
détenus amandés, et pour nous permettre d'avoir encore confiance
et l'espoir en un avenir digne et prospère des détenus
après leurs libérations.
Pour la matérialisation de la réforme avec des
nouveaux structures pénitentiaires et anciens réhabilité.
Il faut prévoir des ateliers de la mécanique, automobile, la
menuiserie tout comme la maçonnerie, la plomberie, la pâtisserie
pour la fabrication des paix, oeuvre d'art, vannerie,
électricité, l'agronomie pour l'agriculture maraichère
tout comme l'élevage et j'en passe. Et nous espérons à un
meilleur résultat qui est une victoire pour le service
pénitentiaire pour avoir réduit le taux de la récidive en
évitant le chômage des détenus. Donc tout détenu
libéré doit avoir un bon souvenir d'avoir maitrisé ne fus
qu'un métier libéral dans le milieu carcéral. Ainsi, aux
services et organisations de bonnes foies dans la société de bien
vouloir aussi si moyen il y en a, organisé des structures d'accueil
comportant différent travaux pourra aider d'encadrer les personnes
libres dans le milieu carcéral et cela pour les permettre de trouver ne
fis qu'un petit rien, en attendant qu'ils puissent voler de leurs propres
ailes, une chose charitable et louable que nous souhaitons. Malgré,
qu'il existe aussi une catégorie de personne qui n'ont aucune vocation
professionnelle dans leurs vie, qui poussent à dire quelque part que de
telles personnes méritent de passer le reste de leurs vie en milieu
carcéral car il semble qu'ils sont anormales ou déjà
abimé pour avoir laissé leurs peaux dans l'établissement
pénitentiaire.
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