Sauf exception légale, la jurisprudence exige
l'exercice du droit de rétention du créancier, que l'objet du
gage soit corporel ou incorporel (1). Dans le cas des meubles incorporels,
l'appréciation de la rétention se fait de façon
particulière (2).
"Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant ou l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses"Milan Kundera