CHAPITRE SEPTIEME.
LA POESIE MALLARMEENNE DANS LA BALANCE
« Tu verras,Henri,il n'y a de vrai,d'immuable,
de grand et de sacré que
l'art ; ; »
Il n'y a pas de forme qui ne soit le reflet du
fond. »
Je suis monde,corps,pensées.Mon corps devient
l'instrument direct de l'iesprit et cependant
l'auteur de toutes ses idées.. »
Enfin,les mots ont plusieurs sens,
sinon on s'entendrait toujours..Nous
en profiterons ...Le bonheur d'ici- bas est
ignoble. »
Mallarmé.
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