SUGGESTIONS
Afin de rendre effective la gratuité de l'enseignement
de base, permettre à nos enfants (élèves) de
bénéficier d'un enseignement de qualité et ne pas faire
d'eux victimes d'une décision politique précoce qui tache d'une
façon ou d'une autre leur formation nous recommandons à ces trois
agents économiques opérant dans ce sous-secteurs,
notamment :
Les suggestions ci-après,
1. A L'ETAT CONGOLAIS
Avant toute chose, Faisant le tour des écoles dans la
ville Lubumbashi, et ressemblant les informations d'un peu partout au pays
jusqu'à notre champ d'investigations qui est EP. IMARA Il est
scrupuleusement indispensable et responsable que l'Etat honore ses promesses,
entre autre :
- La construction des nouveaux établissements (article
43 de la constitution), pour absorber la demande globale.
- Améliorer les conditions de vie des enseignants, leur
doter d'une rémunération mensuelle digne pour leur permettre de
bien exercer leur profession d'éducateur.
- Survenir au fonds de roulement (FR) et besoin en fonds de
roulement (BFR) de chaque école, pour le bon fonctionnement des
établissements.
- Financer la formation professionnelle continue du personnel
enseignant, et corps administratif des écoles, dans le but
d'améliorer d'avantage la qualité de l'enseignement primaire
congolais.
- La création d'un comité de suivi de la
gratuité au sein du ministère de tutelle, pour contrôler,
évaluer, coordonner et motiver l'exécution de cette
décision.
Cela permettra de « sauver nos
écoles », de récupérer les enfants
non-scolarisés pour les scolariser et de garantir l'apprentissage, la
formation de ces jeunes élèves qui ne demandent que d'être
formés. Ainsi, promouvoir le système éducatif
congolais.
Pour l'Ecole primaire IMARA, nous recommandons à
l'Etat de :
- Revoir son financement de frais de fonctionnement de cette
école, qui hier était évalué à 2.500$ mais
aujourd'hui pendant la gratuité il ne vaut que 650$.
- Améliorer le salaire du personnel Ep. IMARA, car une
simple augmentation de 200.000Fc ne suffit pas de combler le vide de leur prime
qui était respectivement à 990$ par enseignant, 1.300$ par
Directeur-Adjoint, 1500$ Directeur Général. Afin de les motiver
et assurer la solvabilité de leur pouvoir d'achat.
- Tenir compte de sa structure organisationnelle qui
nécessite beaucoup d'attention financière et de la hausse du
nombre d'élèves annuellement, afin de lui doter des nouvelles
infrastructures scolaires adaptées, pour toujours garantir la formation
de qualité à la satisfaction de sa clientèle (la
communauté), pour accomplir son but: Page 19.
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