La place de l'internet dans les pratiques professionnelles des enseignants de l'université de Ndjamena ( Tchad ).par Joseph Ndjig-nan Dinza Université de Yaoundé - Master en Enseignements Fondamentaux en Education 2020 |
4. Les activités que font les enseignants enquêtés sur le NetEn ce qui concerne les activités que font les utilisateurs d'Internet, nous avons ciblé quelques activités qui sont fréquemment utilisées par les internautes soit dans le cadre de la recherche académique, et la communication, soit pour des intérêts personnels. Ainsi donc, de manière générale, nous constatons que la très grande majorité des enquêtés pratiquent des activités reliées à la communication. En conséquent, malgré qu'il y a un manque crucial en ce qui concerne la documentation physique, c'est-à-dire dans les bibliothèques, très peu des enseignants de l'Université font de l'Internet, un moyen qui pourrait combler le manque de la documentation que l'on s'observe à l'Université de N'Djamena. Alors qu'en réalité, ces enseignants devront être conscient du fait qu'ils n'ont pas des bibliothèques bien documentées et cela devrait leur laisser le choix d'utiliser massivement l'Internet pour la recherche d'information. La lecture et l'interprétation du tableau 21, permettra donc d'avoir une vision d'ensemble de ce que font les enseignants sur l'Internet. Tableau 21 :sexe de répondant croisé avec les activités que l'on peut faire de l'Internet. En général, quand je vais sur Internet...
Source : enquête de terrain 2019 Au regard de ce tableau, nous constatons que les enseignants de l'Université, particulièrement ceux qui ontfait l'objet de cette enquête, n'ont pas l'habitude de visiter les sites Internet. Seulement 33,55% visitent souvent et 7,01% des répondantes visitent très souvent les sites Internet. Ce qui laisse à croire que, les enseignants enquêtés n'ont pas assez de confiance à l'Internet ou ils utilisent l'Internet pour d'autres fin, même si 68,09% des répondants visitent les sites Net occasionnellement. Or, avec le nombre des sites que contient l'Internet aujourd'hui quel que soit leur nature, la visite des sites Net s'impose du-moins aux enseignants. Aujourd'hui, on compte plus d'un milliard de sites Internet et avec une augmentation très rapide également comme l'utilisation des réseaux sociaux. Ainsi, il faut savoir que plus de 44,4 millions de noms de domaines sont enregistrés dans le monde chaque année soit environ 123 000 par jour31(*). Pour ce qui est de recherche de l'information pour son intérêt personnel, notons que les répondants font généralement les recherches pour leurs propres intérêts. Nous pouvons dont dire qu'après avoir observé le tableau 21, 40,35% et 28,07% des enseignants (sexe masculin) utilisent occasionnellement l'Internet pour leur propre intérêt. Et en ce qui concerne les femmes, nous observons qu'elles utilisent majoritairement l'Internet pour leurs propres intérêts, le tableau 21, montre effectivement que 50% des femmes utilisent occasionnellement et 50% utilisent souvent l'Internet pour la recherche des informations pour leurs propres intérêts. Quant à la recherche des informations pour les travaux académiques, Bégault, B. (2007, p. 6) pense que la pratique informationnelle peut être considérée comme l'ensemble des actions et des choix de l'individu lors d'une phase de recherche d'information provoquée par un besoin d'information. Pour ce qui est de cette recherche, nous pouvons dire qu'en général, les répondants ne font pas souvent ou très souvent la recherche de l'information pour leurs travaux académiques. Même si nous avons vu dans les propos que les enseignants ont tenus sur leur représentation d'Internet que la fonction recherche et de la communication sont intimement liée à Internet. Bien qu'ils ont également montré que l'Interneta aussi comme avantages, la recherche de l'information, les enseignants ne connaissent pas que l'Internetconstitue un accès à une ressource puissante et efficace en termes de recherche d'information, et qui peut contenir « tout le savoir du monde ». Il est dès lors, anormal de constater qu'ils ont des hésitations à se tourner vers Internet comme première source d'information documentaire. Sur ce, seulement 26,31% et 21,05 des hommes utilisent souvent ou très souvent l'Internet dans le cadre de leurs recherches académiques. Tandis que chez les femmes, ce constat est encore grave, car seulement 6,25% des répondants de cette catégorie, utilisent l'Internet pour la recherche de l'information dans le cadre de l'enseignement apprentissage. En regardant ces chiffres, nous pouvons dire sans hésiter que si ces femmes se connectent souvent, elles ne le font pas souvent dans le cadre académique. Car, plus de la moitié, affirme qu'elle n'utilise pas l'Internet dans le cadre des travaux universitaires. Alors que ces femmes ont majoritairement les téléphones androïdes (confère figure 1), choses qui facilitent la connexion à l'Internet. Cela montre à suffisance qu'il n'y a aucune obligation formelle qui oblige les enseignants a utilisé l'Internet pour leurs activités académiques. Où notre hypothèque selon laquelle ces enseignants n'ont pas suivi une formation ou séminaire adéquate pour valoriser et montrer l'importance de l'Internet mérite d'être confirmée. Sinon, il serait illogique de dire que les enseignants de l'Université n'utilisent pas l'Internet dans le cadre de leurs travaux académiques. Mais le tableau 21 le montre clairement que 56,25% de la population féminine, qui enseigne pourtant à l'Université ne font pas recours à l'Internet quand il s'agit de rechercher de l'information pour constituer les travaux académiques. Or, il y a cela presque neuf (9) ans que Karsenti et Dumouchel (2011, p. 180) ont effectué une recension des études empiriques publiées entre 2002 et 2010 touchant aux compétences informationnelles des futurs maîtres au Québec. Ce faisant, ils ont constaté que les futurs enseignants québécois ont majoritairement et prioritairement recours aux TIC (c'est-à-dire Internet et les moteurs de recherche) pour obtenir de l'information dans le cadre de leurs études, tant dans leurs cours que lors de leurs stages d'enseignement. Même si après évaluation de leurs pratiques réelles, Karsenti et Dumouchel (2013, p. 13) ont constaté plus de lacunes que de forces dans les compétences informationnelles des enquêtés, ces enseignants font assez souvent recours à l'Internet pour la recherche d'information. Ce qui est encore horrible, la population féminine dans l'ensemble, affirme qu'elle n'utilise pas souvent ou très souvent les moteurs de recherche tels que Yahoo, Erudit, Wikipédia, Alta Vista, Google, Google Scholar etc. Alors que ces moteurs de recherches sont des outils qui permettent aux « hommes avertis » de l'Internet de bénéficier des informations scientifiques que contiennent ces moteurs de recherche. Une fois de plus, nous pouvons dire que hormis Google qui peut être la porte d'entrer des toutes les informations quelque soient leurs natures et présente également les contenus des autres moteurs de recherche, les moteurs de recherche tels que cités, sont susceptibles de permettre aux enseignants d'avoir des informations spécifiquement scientifiques. Mais, 50% de la population féminine, affirme qu'elle n'utilise seulement à l'occasion ces moteurs de recherche. Et 31,25% déclare qu'elle n'utilise rarement ces moteurs de recherche. En ce qui concerne la population masculine, nous constatons qu'elle utilise mieux les moteurs de recherche que les femmes. Car 21,05% et 14,03% déclarent qu'ils utilisent souvent et très souvent les moteurs de recherche pour avoir les informations scientifiques. Seulement 12,28% n'utilisent jamais les moteurs de recherche. Au contraire une étude menée par Traoré, B-S. (2008, p.70) auprès des enseignants et étudiants de l'Université de Mali, montre que les universitaires maliens utilisent de façon majoritaire (94,3%) les moteurs de recherche. De la même manière, l'étude menée par Karsenti et Dumouchel (2013, p.15) auprès de futurs enseignants au Québec, montre que parmi les futurs enseignants interrogés, 85,7 % ont affirmé utiliser souvent, très souvent ou toujours les moteurs de recherche généralistes comme Google lorsqu'ils cherchent de l'information dans le cadre de leurs études. Nous pouvons donc dire que même si en réalité, les contextes ne sont pas les mêmes, l'étude réalisée par karsenti et Dumouchel ne sont pas auprès des enseignants dits « chercheurs » de l'Université. Aussi leur étude date de 2013, donc plus de 6 ans de plus que notre étude, et dont notre résultat pouvait être plus positif en faveur de l'utilisation d'Internet que leur étude. Et comme les répondants de notre étude peinent à utiliser les moteurs de recherche, ils ne pourront pas laisser les commentaires sur les sites consultés. Même en contexte africain, Kitumu, M. (2019, p. 174) dans son étude auprès des personnelles de l'Université de Congo, montre que sur l'ensemble de deux catégories (scientifiques et académiques), qu'il a orienté son étude, une importante utilisation des moteurs de recherche, soit 86,75% pour les scientifiques et 49,33% pour les académiques. Ce qui prouve qu'au Tchad, la réalité des enseignants du supérieur est plus loin de leurs collègues des autres pays. C'est ce qui traduit dans le tableau 21. Toutes les femmes enquêtées n'ont jamais laissé un commentaire après avoir consulté un site Net. Et ce constat et le même chez les hommes, malgré que 5,26% déclarent laisser souvent les commentaires sur les sites consultés. Et donc, nous pouvons dire à propos que la formation à la recherche d'information pourrait permettre aux enseignants qui ne sont pas informés des différents moteurs ou bases de données, de les utiliser davantage pour leur recherche. Cependant, c'est formidable quant à la communicationen direct avec d'autres utilisateurs d'Internet.En observant le tableau 21, nous constatons que les répondants en général sont dans la logique des internautes du 21e siècle. Ainsi, nous confirmons l'hypothèse selon laquelle aujourd'hui plus des internautes se connectent juste pour communiquer avec d'autres utilisateurs, avancés par Karsenti et d'autres chercheurs. Il faut également rappeler que nos répondants avaient déjà confirmé lorsqu'ils définissaient le mot Internet en assimilant celui-ci à un outil de communication. Car, chez la population féminine, 37,5% utilise souvent et 62,5% utilise très souvent l'Internet pour communiquer en direct avec d'autres utilisateurs. Nous pouvons donc dire que ces chiffres sont significatifs puisque cette population détenait tous les téléphones androïdes (confère figure 1) et elle avait également en générale, préféré la connexion à partir de téléphone mobile. Chez les hommes, 5,26% et 5,26% utilisent jamais ou rarement l'Internet pour communiquer. Nous pouvons qualifier ceux-ci des« petits utilisateurs » d'Internet. Mais nous constatons que la majorité des enseignants et enseignantes envoient le message à travers le mail. Cependant, la plupart envoient occasionnellement le message par ce canal. Soit un pourcentage de 66,66, c'est-à-dire que dès que le besoin se fait sentir, ils utilisent le courrier électronique pour se communiquer. Alors que la population féminine le fait presque tous, c'est-à-dire 93,75% utilisent le courrier électronique occasionnellement. En générale, nous pouvons donc dire que les enseignants enquêtés utilisent majoritairement l'Internet pour la communication. Le fait que la majorité utilise occasionnellement le courrier peut être expliqué par le fait que l'on ne peut faire plus des choses sur le mail, car son utilisation est asynchrone. Il n'a pas assez des fonctionnalités comme Facebook ou d'autres réseaux de communication. C'est pourquoi les enseignants enquêtés, globalement utilisent le mail occasionnellement pour communiquer un message. Du coup, nous pouvons dire que même si ces enseignants n'utilisent pas assez l'Internet pour la recherche, ils le font plus pour la communication. C'est pourquoi pour l'énoncé tel que « Je me suis fait de nouveaux amis sur Internet », c'est formidable de voir que la majorité des répondants confirme qu'elle le fait souvent ou très souvent. Chez les femmes, elles ont à 100% qui affirment qu'elles se font souvent des amies sur le Net, même si chez les hommes, quelques-uns disent n'avoir jamais eu des amis sur le Net, soit 1,75%. Ce qui suppose que dans l'ensemble, les répondants connaissent l'Internet dans sa fonction communicationnelle ou sociale. L'autre constat le plus frappant, c'est la participation au sondage ou aux enquêtes en ligne. Les enquêtés n'ont pas pour la plupart utilisé ce type de service qu'offre l'Internet. Cette affirmation s'est concrétisée lorsque nous avons voulu soumettre le questionnaire de cette présente étude en ligne. Les enseignants nous sont clairement dits que si c'est en ligne, ils ne pourront pas remplir. Et comme on avait constaté, ils n'ont pas assez développé les pratiques élevées de l'Internet et se contentent seulement de communiquer et faire des recherches non-avancées sur le Net. Ainsi donc, 87,5% et 75,43%, n'ont jamais réponduà des sondages ou à des questionnaires en ligne et même ceux qui affirment le faire rarement, nous ne sommes pas convaincus qu'ils le font réellement. Cela parait aussi identique pour l'énoncé « Je télécharge (download) des jeux vidéo, des images ou des logiciels ». Car, pour cet énoncé, 8,77% des hommes seulement le font souvent, et aucune femme télécharge souvent les jeux, vidéo, des images, moins encore le logiciel. Alors qu'aujourd'hui, You tube est devenu le deuxième site le plus visité dans le monde après Google selon les classements d'Alexa32(*), notamment grâce aux vidéos qui circulent sur You tube. Chez les enseignantes enquêtées par exemple, il est étonnant de dire que 62,5% n'ont jamais téléchargé quelque chose sur Internet, que ce soit vidéo, image, jeux, ou des logiciels. Nous n'allons pas aussi dire que tous les outils numériques cités ne font pas partis de priorités de nos répondants, car il est inadmissible que cela puisse paraitre. Posséder un ordinateur et n'est jamais bénéficier des avantages qu'offre l'Internet, en ce qui concerne le téléchargement des vidéos éducatives pour s'auto-apprendre ou pour illustrer son enseignement ; les images pour illustrer le cours et tout autre téléchargement qui pourront contribuer à la construction de connaissance. Ceci montre que nos répondants ne sont pas des « grands utilisateurs » d'Internet. Et ne connaissent que l'utilisation de service comme les réseaux sociaux. Mais le constat le plus remarquable, c'est le cas de l'énoncé « je commande ou j'achète des produits (exemples: disques, revues, livres, article etc.) ». Les répondants n'achètent à peine les documents électroniques. Dans la généralité, 12,28% seulement affirment qu'ils achètent à l'occasion les documents numériques sur Net. Chez les femmes, sur 16 qui ont répondu à la question, on constate qu'aucune d'entre elle ne fait les achats en ligne. Cela témoigne que les répondants sont à majoritaires novices dans l'utilisation de l'Internet. Ceci peut être justifié par le fait que ces enseignants ne font pas des publications scientifiques dans leur discipline respective et se contentent juste d'utiliser l'Internet pour la communication. Sinon comment admettre qu'étant enseignant de l'Université, 77% des hommes et 100% des femmes affirment qu'ils n'ont jamais commandé ou acheté des produits sur l'Internet ? Pour ce qui est de cet énoncé « je soumets mes articles pour l'évaluation avant la publication » il faut déjà comprendre que si la plupart des enseignants ne font pas des achats sur le Net, c'est-à-dire qu'ils ne peuvent franchir la barrière qui existe entre le Tchad et d'autres pays. Déjà nous avons vu au chapitre 1 que la publication scientifique est presque inexistante dans les Universités du Tchad. Ainsi, nous comprenons aisément que cela constitue un défi majeur pour l'Etat tchadien et pour les acteurs eux-mêmes. Ou bien, nous pouvons émettre l'hypothèse selon laquelle le manque des enseignants au grade « chargés de cours et des professeurs titulaires » sont les causes de l'absence de publication scientifique dans les Universités du Tchad en générale et Université de Ndjamena en particulière. Alors qu'en réalité, même les assistants des Universités doivent publier les articles scientifiques dans leur domaine. Même si nous n'avons pas eu les données qui nous permet de dire exactement les chiffres quant aux financement de l'Etat dans le domaine de recherche, nous savons au moins que l'Etat a l'obligation de financer les recherches et d'ailleurs l'Etat le fait assez souvent. C'est pourquoi, au Tchad, dès que les enseignants de l'Université ne perçoivent pas ces « primes de recherche », les cours sont souvent perturbés puisqu'ils revendiquent en tout moment cette prime. Alors que ces derniers ne soumettent presque pas les articles ou tout autre document en ligne. Seulement 7,01% des enquêtés disent avoir soumis souvent et 1,75% très souvent les articles avant la publication. Or chez les femmes enquêtées, la majorité ne soumet pas les articles avant la publication (87,5%). Seulement 12,5% dit avoir soumis les articles avant la publication. Il faut dire que les énoncés qui ont été conçus, suivent un certain niveau de complexité, c'est-à-dire plus nous entrons en profondeur de nos énoncés, plus nous constatons que les petits utilisateurs de Net ne font presque plus ces activités. C'est pourquoi aux énoncés qui suivent, les résultatssont toujours négatifs du point de vue de l'utilisation de l'Internet. Et comme la plupart de répondant ne soumet pas leur article en ligne avant la publication, l'énoncé selon laquelle « je mets mon cours en ligne », ne nous surprend plus, car il présente un résultat similaire. Ainsi, 73,68% déclarent qu'ils n'ont jamais mis leurs cours en ligne. Pour cet énoncé, nous pouvons dire qu'en réalité, pour mettre son cours en ligne, il faut au moins suivre une petite formation appropriée à la mise en ligne de cours ou un enseignant qui aurai suivi son parcourt en technologie ou encore c'est lorsqu'il a une grande expérience en technologie. Et, en ce qui concerne la population féminine, et comme le précédent, les enseignantes affirment à 100% qu'elles n'ont jamais mis leurs cours en ligne.Ainsi, le degré de « sophistication » de l'usage du Net ou du surfjusqu'àdes activités plus « sérieuses», comme la recherche à l'aide des outils de recherche, achat des documents ou encore la soumission des articles pourrait dépendre autant des habitudes de l'usager et de son niveau de scolarisation que de sa familiarisation avec le nouveau média. En effet, l'objectif de ces figures et de ces tableaux est de savoir si les moyens d'accès, utilisés par les enseignants et les enseignantes leur permettaient, malgré leurs diversités, de bénéficier des services d'Internet sans trop de difficultés. En d'autres termes, le fait qu'il y ait une prédominance du téléphone par rapport à l'ordinateur et à la tablette chez les enseignantes ou encore une préférence de l'ordinateur par les enseignants comme matériels d'accès à Internet, n'affecte pas significativement l'utilisation de cette technologie chez les enseignants questionnés. Cependant, il se dégage une différence significative au niveau de finalité de l'utilisation d'Internet. Les enseignantes utilisent l'Internet plus pour la communication, peu d'entre elle fait de la recherche d'information. Alors que chez les hommes, les finalités de l'utilisation sont partagées, c'est-à-dire l'utilisation varie selon l'utilisateur. * 31Spécialisée en Web Marketing et Inbound marketing depuis 2001, l'agence web Nolimit est à l'origine de la création et du suivi de plus de 624 projets web et plus d'un millier de campagnes publicitaires sur Facebook et sur les sites partenaire Google. En ligne à partir de : https://www.nolimitmaroc.com * 32 Alexa est une entreprise qui réalise un classement de tous les sites mondiaux, et ce classement est réalisé en fonction du nombre de visiteurs unique et du nombre de page vue par chaque visiteur. En ligne à partir de : www.alexa.com/topsites |
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