II-3.AUTRES SUGGESTIONS
- L'absence d'un plan de règlement (prévision
des dates de règlement pour chacun des fournisseurs) pourrait
créer des tensions de trésorerie, il serait alors
intéressant qu'un tel document soit mis en place.
Il faudrait par-ailleurs, revoir les dates
d'échéances des fournisseurs dans la mesure où elles
correspondent à celles des clients. Nous pouvons les affecter à
45 ou 60 jours fin de mois de façon à ce que l'entreprise
puisse avoir assez de provision dans ses comptes. Le paiement des dettes
se ferait en toute quiétude.
-Afin d'éviter une insuffisance en liquidités
à PPM, il faudrait faire recourt à des facilités de
caisse pour subvenir aux difficultés. Sinon procéder à la
création d'effet de commerce (règlement des fournisseurs),
à la mise en place d'une politique d'encaissement plus avantageuse, aux
relances des factures impayées à échéance.
-Pour la comptabilisation des prêts octroyés aux
salariés, nous suggérons que cette écriture se fasse dans
un compte de la classe quatre (04). Plus précisément dans le
compte « 421300 prêt au
personnel » au lieu de le faire dans le
« 272100 ».
De même, l'on redevrait éclater le compte TVA
récupérables en deux sous comptes au minimum. Ce qui permettrait
de distinguer la taxe sur la valeur ajoutée récupérable
sur achats et celle sur les prestations de services reçues. Car toutes
ces dernières sont enregistrées sur un seul
compte « 445200 ». L'on envisage
qu'il ait aussi l'emploi du «
445400 » afin de bien les spécifier.
-Il serait judicieux, de plafonner le montant des prêts
accordés au personnel ainsi que les bons de commande alloués
à ce dernier.
-L'entreprise devrait avoir une politique incitative dans le
recouvrement des créances auprès des employés
congédiés. Ce qui conduirait à une
traçabilité de recouvrement en sachant où les trouver
(nouvel employeur) et quelle mesure prendre afin percevoir le montant de la
créance.
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