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Perception du climat social au travail et rendement des agents de la société nationale des chemins de fer au Congo/Lubumbashi


par Alliance Nsenga Kasongo
Université de Lubumbashi - Bachelier 2023
  

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3.3 INTERPRETATION DES RESULTATS

Nous interprétons ces résultats juste pour faciliter aux lecteurs de comprendre comment nous sommes arrivés à l'aboutissement de cette recherche scientifique, production des connaissances de haute qualité.

Après avoir présenté et analysé les résultats, il est demandé au chercheur de leur donner un sens, l'interprétation des résultats obtenus sur le terrain permet de faire la vérification directe de notre hypothèse de travail.

A la première préoccupation qui parle sur les facteurs qui caractérisent l'environnement professionnel au sein de l'entreprise, notre investigation montre qu'au moyen du test chi-carré l'environnement professionnel au sein de la société nationale de chemin de fer est caractérisé par les affinités tribales et groupe informel entre les agents suis des conflits verticaux et conflits horizontaux.

Ensuite, nous avons remarqué par truchement du chi-carré que les facteurs cité ci haut détériorent le climat de travail.

A la troisième préoccupation qui est sur la perception du climat social dans l'institution le résultat du test chi-carré nous révèle que la perception du climat social au sein de la société nationale des chemins de fer est perçu d'une manière négative avec comme éléments les travailleurs viennent au travail frustrés la pension se donne sans être payé des années.

A la phase suivante, tableau qui évoque l'influence du climat social sur la production des agents, notre recherche au moyen du test chi-carré révèle l'influence du climat social ne pas négative sur la productivité des agents de la SNCC.

En suite le climat social de l'entreprise ne renforce pas la ponctualité des agents, et ne permet pas aux agents de produire un travail de qualité, notons aussi que le climat social de l'institution ne stimule pas les agents de à s'impliquer au travail mais disons que la hiérarchie de la société nationale des chemins de fer au Congo reconnaît les efforts fournis des agents de la SNCC.

Pour la préoccupation inscrite au tableau 8 qui évoque l'autonomie des agents pour contester une décision, notre investigation montre qu'au moyen du test chi-carré révèle que les agents ont de l'autonomie pour contester une décision.

À la neuvième préoccupation qui stipule l'environnement social favorise positivement la qualité de vie au travail, par le truchement du test chi-carré les résultats montrent que l'environnement social ne pas favorable à la qualité de vie au travail. En suite c'est l'organisation du travail qui est à l'origine du climat social désirable au travail.

En fin à la onzième préoccupation qui évoquait sur la communication professionnelle correspond aux normes établies de l'institution, notre investigation montre que la communication professionnelle ne corresponde pas du tout cela veut dire parfois ça correspond parfois ça ne corresponds (comme le respect entre les collègues, la retraite des agents sans valeur, l'impatiemment de salaire des agents et le taux de paie inférieur au taux du jour).

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Au vu des résultats obtenus, nos hypothèses qui stipulent :

H1 : le climat social au travail à la SNCC serait caractérisé par : le style de commandement non directif, à L'information non accessible à tout le monde, à l'absence de reconnaissance, à la Communication inefficace, à la Faible autonomie au travail

H2 : Les agents de la société nationale des chemins de fer au Congo à Lubumbashi percevraient le climat social dans leur milieu du travail d'une manière péjorative. Ils seraient indifférents : l'impaiement irrégulier de salaire, La communication ambiguë, La faible reconnaissance, faible soutien organisationnel, La présence des conflits verticaux et horizontaux

H3Les effets de cette perception péjorative du climat social des agents sur leurs rendements seraient la faible productivité des agents, l'absentéisme, mauvaise qualité de travail fourni et le Flânerie.

Les résultats trouvés nous permettent confirmer nos hypothèses de la recherche, ces résultats sont appuyés par : la théorie de l'échange social de Peter blour (1970) qui affirme que les individus sont motivés par le profil Social, c'est-à-dire les avantages qu'ils peuvent obtenir dans les relations sociales.

La théorie de la motivation hygiène développé par Frédéric herizberg en 1959 à son tour stipule que les facteurs motivationnel (comme la reconnaissance, le développement personnel et les responsabilités) peuvent conduire à la satisfaction et à un rendement élevé. Tandis que selon Frédéric les facteurs d'hygiène comme (les conditions de travail, la rémunération et les relations interpersonnelles) sont nécessaire pour éviter l'insatisfaction mais ne contribue pas nécessairement à un rendement élevé.

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