CHAPITRE V. DISCUSSION DES DONNEES.
5.1. Introduction.
Ce chapitre nous permet de revenir sur nos objectifs de
recherche et de développer une observation critique et analytique des
conclusions secondaires sur base de la revue de la littérature.
5.2. Discussion des données.
Nous avons constaté que les concepts d'apprentissage et
de gestion de connaissances sont essentiels vis-à-vis de l'exploit
organisationnel du Barreau de Bujumbura, puisqu'il est d'un exceptionnel
modèle d'innovation pour laquelle la relation avec ces perceptions est
efficiente. Cette analyse contrarie pourtant les études de (Gandia et
al., 2018) qui présentent conséquemment la différence
d'influence spécifique de la gestion des connaissances quant aux
différents modes de succès, mais communique une incidence
invincible de l'administration des connaissances pour ce qui est de
l'innovation d'un profit compétitif, pourtant non indiscutable à
l'égard de l'exploit stratégique.
Cette disparité de succès peut se disculper par
l'évolution des outils de gestion de connaissances sur les nouvelles
techniques et de la communication qui encouragera la distribution des
connaissances. Etant donné que la gestion stratégique des savoirs
a un impact plus efficient que d'autres éléments vis-à-vis
de l'exploit organisationnel. En ce qui est pour le succès
organisationnel, en outre, la structure des procédures à
l'égard de la gestion des connaissances qui proposent une admirable
innovation. Il est à signaler que l'aménagement de la
création des connaissances et la conduite tactique des savoirs apportent
d'une bonne performance ; et réforme les recherches existantes qui
expliqueraient l'incidence authentique de la gestion stratégique des
connaissances (KMS) s'agissant de l'innovation organisationnelle (Dubouloz et
al., 2013) et la découverte des pratiques (Messaoudi et al., 2021).
Néanmoins, nous avons examiné quelles sont les
incidences des pratiques d'apprentissage (AO) et de gestion des connaissances
à l'égard de l'exploit organisationnel. Nous avons
constaté que ces concepts ont un impact significatif vis-à-vis du
succès du Barreau de Bujumbura. Les capacités de formation et de
gestion de savoirs influencent positivement l'innovation et la réussite
de l'organisation. Ce sont les informations de probabilité pour
lesquelles l'impact est plus vulgarisée, puisque pour innover, le
Barreau de Bujumbura est
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obligé de devancer certains éléments
clés de son environnement (Depret et al., 2009).L'apprentissage au
niveau collectif apparaît également désigner un rôle
indispensable pour l'innovation, particulièrement parce que la
création résulte aisément d'une évolution
collective introduisant des théories d'invention de compétences
intérieures et extérieures (Barbaroux et al., 2016).
Pour ce qui est de la gestion des connaissances, il importe en
général au responsable et son équipe dirigeante
(Leadership) qui gère quotidiennement les activités du Barreau
qui, par surcroît, encouragerait les avocats pour influencer positivement
le succès organisationnel. Les deux concepts examinés proposent
un impact favorable à l'égard de l'innovation d'un
privilège concurrentiel (Barbaroux et al., 2016). Cette recherche permet
de confirmer que l'apprentissage et la gestion des connaissances sont des
corollaires de la performance organisationnelle (Messaoudi et al., 2021). Nous
avons, de même, recherché à analyser plus absolument
l'influence du niveau de mise en oeuvre des capacités d'instruction et
de gestion des connaissances à l'égard du succès
organisationnel. Lorsque les pratiques d'apprentissage impactent
complètement à la réussite, c'est le niveau de la
collectivité qui, en outre, collabore à l'activité de
l'innovation au sein de l'organisation. De surcroît, nous avons
constaté un effet encore indispensable des pratiques d'apprentissage
à l'égard de l'innovation tandis que les connaissances se
communiquent parmi les membres de l'ordre à l'aide des pratiques de
feedback. Messaoudi et al. , (2021) constatent qu'en fait, les pratiques de
feedback favorisent la compétence tactique et la diffusion des
connaissances, ce qui présente le succès organisationnel.
Il nous paraît donc primordial vis-à-vis de toute
société de mettre en oeuvre les nouvelles technologies (Messaoudi
et al., 2021), d'un modèle organisationnel et d'une culture plus
convenable à ces pratiques (Barbaroux et al., 2016) afin de permettre
l'acquisition des savoirs, le changement stratégique, l'application et
la sauvegarde des connaissances. Un apport formidable de cette recherche est
également de permettre de confirmer la conception de la gestion des
savoirs à l'égard de l'innovation, de proposer que ces deux
éléments ne doivent pas, pour obtenir une innovation surtout
efficient, être surveillés et pratiqués de manière
indépendante, pourtant abondamment exécutés et
commandés par une stratégie commune. Il s'agit d'une
administration systématique des connaissances qui permet l'obtention
d'une bonne performance vis-à-vis de l'innovation (Messaoudi et al.,
2021).
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De plus, nous avons également analysé
l'influence de ces concepts par rapport aux différents modes de
succès organisationnel. De manière générale, selon
Besbes et al., (2013) l'apprentissage a une relation importante avec
différentes façons de succès. Cette remarque confirme ceux
de l'information des compétences. Néanmoins, la liaison
particulièrement considérable s'examine à l'égard
de l'exploit tactique et du savoir-faire (Lamari et al., 2001). Ce
succès se justifier à l'aide des réalismes
appliqués à cette façon d'innovation ; l'innovation des
savoir-faire résulte des cultures structurelles, des habitudes et des
compétences, de la communication et de planification entre les membres
et, l'apprentissage en est l'une des influences internes indispensables
(Dubouloz, 2013).
Il faut signaler que cette conjoncture en pleine
évolution est, tantôt de source contextuelle des
opérations, de l'existence des adversaires sur le terrain par exemple,
tantôt du changement brusque des techniques informatiques et de
l'échange. Cela étant, le climat des opérations est en
perpétuelle transformation concurrentielle alors que les méthodes
de structurations sont de plus en plus entortillées. Collationné
à ces circonstances turbulentes, les sociétés ont l'option
différentes alternatives ; tantôt le comportement, tantôt
l'ajustement, tantôt la transformation ou l'innovation (Gueguen, 1999).
Il importe d'une tactique structurelle ou compétitive de gestion afin
d'administrer l'évolution avec diverses capacités et
succès organisationnels dérivés, tantôt de
l'incorporation, de l'extensibilité et de l'enseignement des avocats,
qui doivent être motivés pour gérer cette évolution
progressive de l'atmosphère des affaires extérieures.
Booto et al. (2010) introduit que les techniques informatiques
sont, à l'égard de toute société, une
capacité tactique lui assurant un degré davantage accru
d'organisation et développent la qualité de la planification des
différentes agglomérations d'affaires et de perfectionnement des
rapports société-clientèle. Par exemple, une
société qui a accepté l'application contingente des
compétences, et ayant un responsable de grande taille dans la perception
des affaires et des compétences organisationnelles des savoirs
approfondis, une planification des actions et la stratégie de
mobilisation de tous les personnages de même que l'évolution et la
sauvegarde des rapports consommateurs, disposent des éléments
essentiels qui encouragent le perfectionnement remarquable du succès et
l'acquisition à travers le profit compétitif.
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