3.1.5. La dominance relative
Ø La dominance relative des
espèces
Figure 24 : Dominance relative des espèces de
forêt du site 1
La figure ci-dessus nous montre que la dominance relative la
plus élevée est observée au niveau de l'espèce
Cola griseiflora (12,00%), suivies des espèces de Cynometra
lujae (7,31%), Desbordesia glaucescens (6,31%),
Hymenostegia laxiflora (5,81%) et enfin de Prioria
balsamifera (4,44%).
Figure 25 : Dominance relative des espèces de
forêt du site 2
La figure ci-dessus nous montre que la dominance relative la
plus élevée est observée au niveau de l'espèce
Dialium corbisieri (14,99%), suivies des espèces de
Desbordesia glaucescens (10,18%), Cola griseiflora
(6,10%), Ganophyllum giganteum (5,34%) et enfin Pentaclethra
macrophylla (4,79%).
Figure 26 : Dominance relative des espèces de
forêt du site 3
La figure ci-dessus nous montre que la dominance relative la
plus élevée est observée au niveau de l'espèce
Gilbertiodendron mayumbensis (14,71%), suivies des espèces de
Desbordesia glaucescens (4,79%), Prioria balsamifera
(4,77%), Pentaclethra macrophylla (4,07%) et enfin de Klainedoxa
gabonensis (3,58%).
Figure 27 : Dominance relative des espèces de
forêt du site 4
La figure ci-dessus nous montre que la dominance relative la
plus élevée est observée au niveau de l'espèce
Hymenostegia laxiflora (14,56%) suivies des espèces de
Dacryodes buettneri (12,25%), Cola griseiflora (10,69%),
Diospyros iturensis (5,13%) et enfin de Chrysophyllum africanum
(3,53%).
Tableau 22 :
Dominance spécifique dans les différents complexes dans le
Nord-est de la Réserve de Biosphère de Luki.
Légende 1 : Dom.Rel. :
Dominance relative ; C : crêtes ; P : Pentes ;
D : dépressions
Légende 2 : Le rang dans la
classification des espèces les mieux représentées en
dominance relative est indiqué entre parenthèse.
Espèces
|
Dom.Rel. C (%)
|
Dom.Rel. P (%)
|
Dom.Rel. D (%)
|
Cola griseiflora
Cynometra lujae
Prioria balsamifera
Hymenostegia laxiflora
Dialium corbisieri
Dacryodes buettneri
Tessmannia africana
Newtonia glandulifera
Nesogordonia kabingaensis
Pentaclethra macrophylla
|
9,09 (1)
7,06 (2)
5,52 (3)
4,78 (4)
4,71 (5)
3,93 (6)
3,66 (7)
3,58 (8)
3,09 (9)
2,93
(10)
|
13,95
(1)
2,72
(10)
3,33
(9)
7,00
(2)
3,76
(7)
4,76
(3)
0
0
4,13
(5)
3,66
(8)
|
2,86
(8)
0
0
0
0
0
0
0
0
2,97
(6)
|
Diospyros iturensis
Ganophyllum giganteum
|
0
0
|
4,34
(4)
3,92
(6)
|
0
0
|
Desbordesia glaucescens
Gylbertiodendron mayumbensis
Strombosia pustulata var pustulata
Chrysophyllum africanum
Klainedoxa gabonensis
Ceiba pentandra
Staudtia kamerunensis
Trichilia gilgiana
|
0
0
0
0
0
0
0
0
|
0
0
0
0
0
0
0
0
|
17,12
(1)
9,53
(2)
5,45
(3)
4,90
(4)
3,55
(5)
2,87
(7)
2,63
(9)
2,41
(10)
|
Il ressort de ce tableau que la dominance relative la plus
élevée du complexe éluvial est observée au niveau
de l'espèce Cola griseiflora (9,09%), suivi de Cynometra
lujae (7,06%), Prioria balsamifera (5,52%), Hymenostegia
laxiflora (4,78%), Dialium corbisieri (4,71%), Dacryodes
buettneri (3,93%), Tessmannia africana (3,66%), Newtonia
glandulifera (3,58%), Nesogordonia kabingaensis (3,09%), et
enfin, Pentaclethra macrophylla (2,93%)
.
Au niveau de complexe illuvial, Desbordesia
glaucescens est l'espèce la plus représentée avec
17,13%, suivies de Gilbertiodendron mayumbensis
(9,53%), Strombosia pustulata var pustulata (5,45%),
Chrysophyllum africanum (4,90%), Klainedoxa gabonensis
(3,55%), Pentaclethra macrophylla (2,97%), Ceiba pentandra
(2,87%), Cola griseiflora (2,86%), Staudtia kamerunensis
(2,63%), et enfin, Trichilia gilgiana (2,41%). Tandis qu'au niveau de
complexe colluvial, Cola griseiflora (13,95%) est plus
représenté suivis de Hymenostegia laxiflora (7,00%),
Dacryodes buettneri (4,76%), Diospyros iturensis (4,34%),
Nesogordonia kabingaensis (4,13%), Ganophyllum giganteum
(3,92%), Dialium corbisieri (3,76%), Pentaclethra
macrophylla (3,66%), Prioria balsamifera (3,33%), et enfin,
Cynometra lujae (2,72%).
Ø Dominance relative des familles
|
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