II
LES TABLEAUX DE BORD
1. Les forces
· Les TDB sont intégré dans le SIG
· Les TDB contiennent certains indicateurs
carctéristiques de l'activité
2. Les faiblesses
· Ayant souffert d'une insuffisance d'expérience
en matière de mise en place de son nouveau SIG, pour définir
efficacement le besoin et le maniement des l'information issu des TDB, le SIG
d'ACEP Cameroun offre un nombre superflu de TDB et en finalité, les
utilisateurs, submergés par le long dépliant de TDB et rapports
ne savent plus souvent sur quoi porter leur attention.
· Les indicateurs des tableaux de bord périodique
ne permettent pas de mesurer le niveau d'atteinte progressif des objectifs
(minimisation des coûts d'exploitation, de progression des
activités (finance, commercial, opérationnel etc...)
· Inexistence des réunions d'évaluation
périodique (par département ou par agence) des performances
managées par les tableaux de bord, ceci pour apporter des mesures
correctives, d'amélioration et de redressement des
compétences.
· Carence de circulation d'informations liées
à la compétence. Les dirigeants s'interessent beaucoup plus
à la maîtrise des coûts au détriment du
dévelppement des compétences : les allocations de ressources
par le biais du budget sont effectuées par région par agences et
par services, mais sans qu'il y ait élaboration de plans
d'exécution, ni de contrôle.
· Tout au long de son organigramme, l'on trouve un
certain nombre de responsabilités liées à
l'actvité, mais l'exercice de reporting est quasi inexistante, et si
oui, exigé à contretemps à certains responsables sans
formulaire spécifique mettant en exergue des indicateurs de suivit et
d'évaluation de leur actions spécifiques ou de leur
activité de manière générale.
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