F / Au niveau des infrastructures de commodité
et de la reconversion des personnes actives du domaine du sable
La reprise en main de l'activité du sable par l'Etat
suppose non seulement la mise en
place des infrastructures (aussi bien d'exploitations que de
commodités) mais aussi une compression du personnel opérant
dans le domaine. Nous proposons à cet effet pour ces
personnes, qu'une cellule de prise en charge soit mise sur pied
du moins, juste le temps que ces gens puissent se reconvertir à autre
chose.
Toutes ces solutions préconisées doivent être
accompagnées d'une volonté aussi bien politique
qu'économique avant d'aboutir.
G / A propos du maintien de l'environnement
L'après exploitation constitue un problème dans
les carrières de la périphérie, car il se pose le
problème de remblayage. A ce niveau, nous exhortons le Ministère
de l'Environnement et la DGMG à mener des opérations conjointes
en vue de traquer les propriétaires de ces carrières clandestines
afin qu'ils prennent leur responsabilité vis-à-vis des marques
laissées dans le paysage.
S'agissant de l'érosion côtière qui se
poursuit à l'Est du port de Lomé, nous proposons la construction
d'une nouvelle digue afin de retenir le sable et de repousser l'érosion
vers d'autres horizons.
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