Pauvreté, Insecurité spirituelle et Dynamique religieuse: Cas de Lome, exemple du quartier Be( Télécharger le fichier original )par Yao HOUKPATI Universite de Lome/ Togo - Maitrise es Lettres en Sociologie Urbaine 2008 |
MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77.MEINTEL D., 2003, La stabilité dans le flou : Parcours religieux et identités de spiritualistes : Le religieux en mouvement, Revue Anthropologie et sociétés, vol. 27, no1, pp. 35-63. PAQUOT, T., 2006, Urbanisation des moeurs à l'oeuvre en Inde, Ville en développement, n°71, mars, p7. RACINE, J., 1998, Propension Utopique et Géographie Sacrée : Les leçons de La Nouvelle Jerusalem, Utopies Urbaines, Emmanuel Eveno, Presse Universitaires du Mirail Coll. Villes & Territoires, pp271-304. RAFFESTIN, C., 1985, Religions, relations de pouvoir et géographie politique,. Cahiers de Géographie du Québec, 29,76. SARTORIUS,B., 1991, A l'aise d'être Suisse? La vouire, Cahiers romands de psychologie analytique, vol.12,49-76. THESESAMOUZOU, K., 1979, Religion et Société : Les croyances traditionnelles chez les Bè du Togo, Thèse de Doctorat, EHESS , Centre d'Etudes Africaines, Paris. LANGEWIESCHE, K., 2001, Mobillité religieuse: Changements religieux au Burkina Faso, Thèse de doctorat, EHESS , Marseille, 386p RAPPORTS BANQUE MONDIALE, 2000, Combattre la pauvrete. Rapport sur le développement dans le monde, Banque Mondiale: Washington, 204p WEBOGRAPHIEODIA NDONGO Yves Francis et EBENE Alice Justine, 2007, « Religion, Capital Social et réduction de la pauvreté au Cameroun : Le cas de la Ville de Yaoundé » http://observatoiredesreligions.fr/spip.php?article219%20 Dossier : « Les religions : leviers ou linceuls pour le combat des pauvres » http://www.revue-quartmonde.org/spip.php?article140 ANNEXES : QUESTIONNAIRE, GUIDE D'ENTRETIEN, LISTE DES TABLEAUX, LISTE DES GRAPHIQUES ET GLOSSAIRE ANNEXE 1 : QUESTIONNAIRE STRUCTURE THEME : PAUVRETE, INSECURITE SPIRITUELLE ET DYNAMIQUE RELIGIEUSE : CAS DE LA VILLE DE LOME - L'EXEMPLE DU QUARTIER BE Questionnaire structuré destiné aux fidèles des églises de Bè
SECTION I : IDENTIFICATION DES ENQUETES
SECTION II : MANIFESTATION DE L'INSECURITE SPIRITUELLE
SECTION III : PERCEPTION ET ATTITUDES LIEES A L'INSECURITE SPIRITUELLE
SECTION IV : PRATIQUES RELIGIEUSES LIEES A L'INSECURITE SPIRITUELLE
ANNEXE 2 : GUIDE D'ENTRETIEN THEME : PAUVRETE, INSECURITE SPIRITUELLE ET DYNAMIQUE RELIGIEUSE : CAS DE LA VILLE DE LOME - L'EXEMPLE DU QUARTIER BE Guide d'entretien destiné aux autorités religieuses 1. Qu'est ce qui selon vous peut expliquer l'adhésion massive des individus aux églises aujourd'hui ? 2. Quelle est la place à accorder à l'existence des problèmes d'ordre spirituel dans l'affiliation des individus aux nouvelles églises ? 3. Quels sont les genres de problèmes spirituels que vous rencontrez dans votre église ? 4. Quels sont les signes qui permettent de distinguer les problèmes d'ordre spirituel ? 5. Quel peut être le rôle de la science occidentale dans la compréhension de ces phénomènes liés à l'action des forces invisibles ? 6. Quelles sont selon vous les autorités qui peuvent traiter ces problèmes d'ordre spirituel ? 7. Quelles peuvent être les incidences de l'appréhension de l'action de ces forces invisibles sur les individus et les communautés ? 8. Quelles peuvent être les solutions contre ces phénomènes liés à l'action des forces invisibles ?
Merci de votre disponibilité ANNEXE 3 : LISTE DES TABLEAUX Tableau 1. Variables entrant dans l'estimation de la pauvreté monétaire Page40 Tableau 2. Récapitulation des indicateurs de l'insécurité spirituelle Page41 Tableau 3. Variables entrant dans l'estimation de l'insécurité spirituelle Page42 Tableau 4. Variables entrant dans l'estimation de l'affiliation religieus Page44 Tableau 5. Variables entrant dans l'estimation de la pratique religieus Page45 Tableau 6. Prédiction de la performance globale des paramètres du modèle Page46 Tableau 7. Prédiction de la performance globale des paramètres du modèle Page47 Tableau 8. Prédiction de la performance globale des paramètres du modèle Page 47 Tableau 9. Prédiction de la performance globale des paramètres du modèle Page48 Tableau 10. Répartition des fidèles enquêtés selon le sexe Page54 Tableau 11. Répartition des fidèles enquêtés selon l'âge Page54 Tableau 12. Répartition enquêtés selon la situation matrimoniale Page55 Tableau 13. Répartition des fidèles enquêtés selon le quartier d'habitation Page55 Tableau 14. Répartition des fidèles enquêtés selon le village d'origine Page55 Tableau 15. Répartition des fidèles enquêtés selon la profession Page57 Tableau 16. Répartition des fidèles enquêtés selon la croyance à l'influence des mauvais esprits dans la vie des individus Page58 Tableau 17. Répartition des fidèles enquêtés selon la confrontation à un problème spirituel Page58 Tableau 18. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel selon le sexe Page59 Tableau 19. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel selon l'âge page59 Tableau 20. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel selon le revenu Page60 Tableau 21. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel selon l'autorité consultée Page61 Tableau 22. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel suivant la fréquence de satisfaction vis-à-vis de l'autorité consultée Page62 Tableau 23. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel selon la consultation d'une autorité externe Page62 Tableau 24. Répartition des 19 fidèles selon leur date d'entrée dans l'église et la date de consultation de l'autorité Page63 Tableau 25. Répartition des 19 élèves ayant consulté une autorité externe selon la satisfaction vis-à-vis du service rendu par l'autorité Page64 Tableau 26. Répartition des fidèles enquêtés selon la connaissance de personnes ayant eu un problème spirituel Page64 Tableau 27. Répartition des fidèles enquêtés selon les signes d'identification d'un problème spirituel Page65 Tableau 28. Répartition des fidèles enquêtés selon la prédominance des problèmes spirituels en ville Page66 Tableau 29. Répartition des fidèles enquêtés selon les dispositions à prendre contre les problèmes spirituels Page66 Tableau 30. Répartition des fidèles enquêtés selon la raison de la massive fréquentation des églises par les populations Page66 Tableau 31. Répartition des fidèles enquêtés selon la raison d'adhésion à l'église Page67 Tableau 32. Répartition des fidèles enquêtés selon la fréquentation d'un centre de prière Page67 Tableau 33. Répartition des 33 fidèles fréquentant un centre de prière selon le but de fréquentation Page68 Tableau 34. Répartition des fidèles enquêtés selon la participation aux veillées de prière Page68 Tableau 35. Répartition des fidèles enquêtés selon les objectifs poursuivis en participant aux veillées de prière Page68 Tableau 36. Répartition des fidèles enquêtés la motivation des individus pour les veillés de prière par la délivrance Page69 Tableau 37. Répartition des fidèles enquêtés suivant les solutions proposées contre les problèmes spirituels Page69 Tableau 38. Répartition des fidèles enquêtés selon la capacité d'autres autorités à résoudre les problèmes spirituels Page70 Tableau 39. Répartition des 31 fidèles affirmant que d'autres autorités peuvent aider dans la résolution du problème selon le titre de l'autorité Page70 ANNEXE 4 : LISTE DES GRAPHIQUES Graphique 1. Répartition des fidèles enquêtés selon le niveau d'instruction . Page56 Graphique 2. Répartition des fidèles enquêtés selon la durée de fréquentation de l'église Page56 Graphique 3. Répartition des fidèles enquêtés selon le revenu mensuel Page57 Graphique 4. Répartition des 35 fidèles ayant connu un problème spirituel suivant selon le type de problème Page60
Graphique 5. Répartition des 35 fidèles ayant connu le problème spirituel selon la provenance du problème Page61 Graphique 6. Répartition des 19 fidèles ayant consultés une autorité externe selon le titre de l'autorité Page63 Graphique 7. Répartition des 30 fidèles connaissant des personnes ayant un problème spirituel suivant le type de problème Page65 Désenchantement du monde : il signifie concrètement que la magie et le surnaturel disparaissent progressivement comme moyens d'explication du monde. Peu à peu, la science remplace la religion sous ses différentes formes comme moyen d'expliquer des phénomènes dont les hommes sont les témoins. Elle s'accompagne d'une perte de sens du monde, dès lors qu'il peut être scientifiquement expliqué. En effet, dès lors que tout est explicable, on ne cherche plus le sens caché des choses. Magie : elle suppose que des forces surnaturelles peuvent être mobilisées par des moyens divers pour prévenir les malheurs, corriger l'injustice, assurer la réalisation des souhaits des individus ou pour se venger, jeter les mauvais sorts, envoûter pour des intérêts égoïstes. C'est une mise en oeuvre de pouvoirs externes, manipulés à travers des symboles (objets, formules, gestes) en vue de modifier le cours des événements dans un but profitable à l'agent mais éventuellement nuisible à d'autres. Religion : le terme désigne un ensemble de rites, croyances généralement théistes, règles (éthiques ou pratiques) ou dogmes adoptés comme conviction par une société, un groupe ou une personne. [].Selon le contexte, le terme est aussi employé pour désigner l'ensemble des croyants, l'éventuelle institution en découlant ou finalement « la religion » en tant que vue d'ensemble des différentes religions. Re-enchantement du monde : il désigne le retour de la religion, de la magie en tant que mode d'explication des phénomènes physiques en les reliant à des forces surnaturelles. Sécularisation : elle correspond à un processus de baisse de l'influence des religions dans la société, dit aussi laïcisation. Sorcellerie : elle est généralement perçue comme une forme d'action injurieuse, perpétrée par certains êtres humains qui mettent en mouvement des forces invisibles en utilisant des connaissances secrètes. Urbanisation des moeurs : c'est l'ensemble des transformations qui sont indues dans le comportement des individus par l'influence de la ville. Elle s'exprime à travers diverses situations comme les pratiques vestimentaires, alimentaires, interrelationnelles, intergénérationnelles, festives, religieuses et architecturales. Elle témoigne de cette nouvelle représentation qu'on a de soi, du monde et de la modernité dans un processus de mondialisation globalisée. TABLE DES MATIERES DEDICACE 2 REMERCIEMENT 3 SOMMAIRE 4 LISTE DES SIGLES ET ACRONYMES 5 INTRODUCTION 6 1ère PARTIE: Cadres théorique, conceptuel, méthodologique et physique de la recherche 9 1er Chapitre: Cadres théorique et conceptuel de la recherche 10 1.1 Justification du choix du thème 11 1.2 Problématique 12 1.3 Les hypothèses 14 1.3.1 L'hypothèse générale 54 1.3.2 Les hypothèses spécifiques 15 1.4 Les Objectifs 15 14.1Objectif général 15 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 3.3.4 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 4e Chapitre : Présentation et analyse des résultats. DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 DEDICACE 2 SOMMAIRE 4 LISTES DES SIGLES ET ACRONYMES 5 Les auteurs, P. BOUTRY ET A. ENCREVE (2003), in La Religion dans la Ville, démontrent la relation entre les phénomènes de l'urbanisation, et celui du recul de la pratique religieuse, lié à la sécularisation/laïcisation de la société urbaine. En s'appuyant sur des enquêtes portant sur les banlieues des villes françaises, ils dévoilent les effets déchristianisateurs liés au développement des banlieues. L'urbanisation est le co-résultat d'une immigration qui a un caractère néfaste pour la religion. Les tentatives sont alors faites en amont pour empêcher l'immigration, et en aval pour encadrer le nouvel « immigré ». En choisissant l'exemple des catholiques et des protestants du Massif Central, ils montrent un catholicisme ultramontain et social du XIXe siècle, qui déteste la ville. Pour éviter le départ vers la ville, et notamment vers Paris, les notables catholiques locaux cherchent à améliorer les structures économiques de la terre natale des futurs migrants, en fondant, par exemple l'Association dentellière lozérienne. Les protestants qui partagent cette image urbaine de Sodome et Gomorrhe, développent à leur tour des coopératives de consommation et de production, comme dans le Queyras. Il existe même un espoir « oecuménique » mis dans le développement du tourisme pour arrêter le flux migratoire. Mais constatant leur échec, les responsables catholiques cherchent au moins à détourner ce flux vers d'autres régions rurales. De part leur analyse il apparaît que la ville est un lieu de détachement religieux dont le développement est néfaste pour la religion. 20 CONCLUSION 90 BIBLIOGRAPHIE 93 BOUTRY, P. & ENCREVÉ, A., 2003, La Religion dans la Ville, Bordeaux, Institut Jean-Baptiste Say, Université Paris XII/Éditions Bière, 270 p 93 MARGUERAT, Y., 1998, Les deux naissances de Lomé : une analyse critique des sources, In : Gayibor N., Marguerat Y. & Nyassogbo K. (ss. dir. de), 1998 : Le centenaire de Lomé, capitale du Togo (1897-1997), Actes du colloque de Lomé (3-6 mars 1997), Collection « Patrimoines » n°7, Lomé, Presses de l'UB, pp.59-77. 96 |
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