2. La Russie et le Kazakhstan: terrains
privilégiés
C'est dans l'objectif inouïe de développer les
partenariats, d'échanger les cultures et de promouvoir la science que
les responsables du pôle projets internationaux ceux-là même
charges du dossierIPHeRMOK ont pensée utile d'intégrer
non seulement certaines universités de la Russie mais aussi du
Kazakhstan dans la mesure où ils ont quasiment le même état
de développement en matière d'inclusion des personnes
handicapées. Au nombre des universités kazakhes, nous avons :
l'Université Nationale Kazakh Al-Fârâbî d'Almaty,
l'Université Caspienne d'Etat d'Ingénierie et de Technologie
basée à Aktau15. Certaines universités russes
sollicitées dès le début ont au dernier moment
manifesté leur désinvolture en ne répondant pas
immédiatement à nos sollicitations et c'est à cet instant
précis que certains partenaires russes avec qui nous avions
déjà préalablement travaillé dans le projet TEMPUS
ont pris le relais tant en Russie qu'au Kazakhstan et ont pu débloquer
la situation. . Les raisons du choix porté exclusivement sur les
universités de ces deux pays reposent sur l'étendue
géographique parce que ces universités partenaires sont bien
distantes l'une de l'autre. En outre la Russie n'est plus un secret puisque
certains projets précédents ont déjà
été réalisés sans toutefois oublier la
volonté manifeste de la Russie et du Kazakhstan de promouvoir
l'égalité des chances, la nondiscrimination et l'inclusion des
personnes handicapées.
Pour finir, ces deux pays faisaient partir de la liste des
pays pouvant bénéficier d'une aide de la Commission de l'Union
Européenne16, où la question du renforcement des
capacités dans l'enseignement supérieur est une priorité,
la Russie et le Kazakhstan malgré leur volonté n'auraient pas
été des terrains privilégiés.
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