III.2.B- Mais le plaisir esthétique peut
créer une boucle de
renforcement.
III.2.C- Bien amenée et ma»trisée par
l'art-thérapeute, l'activité théâtre peut être
une des activités artistiques des plus adéquates pour les enfants
intellectuellement précoces afin de renforcer leur estime
d'eux-mêmes et la confiance en eux-mêmes.
p.16
p.17
IV- Conclusion.
IIéME PARTIE : UN STAGE PRATIQUE A
PERMIS D'EXPÉRIMENTER L'HYPOTHéSE ÉMISE DANS LA
PREMIÈRE PARTIE : << L'ART -THÉRAPIE Ë DOMINANTE
THÉåTRE PEUT AIDER CERTAINS ENFANTS INTELLECTUELLEMENT
PRÉCOCES EN DIFFICULTÉ SCOLAIRE Ë SORTIR DE LA SPIRALE DE
L'ÉCHEC È.
p.17 p.17
p.17
p.18
p.19
p.19
p.19
p.19
p.20
I- Ce stage a été effectué au
sein du collège Charcot à Joinville-le-Pont, académie de
Créteil (94).
I.1- Le collège Charcot accueille des
élèves intellectuellement précoces en difficulté
scolaire.
I.2- Plusieurs étapes ont été
nécessaires à la mise en place des séances
d'art-thérapie.
I.3- Le bon déroulement de l'atelier ainsi que le
suivi <<hors atelier È a pu se faire gr%oce à un
partenariat avec toute l'équipe pédagogique.
II- Je vous présente deux prises en charge
oü l'hypothèse de la première partie est
expérimentée.
II.1- Quentin.
II.1.A- La mise en place de la stratégie
thérapeutique s'effectue après la première rencontre avec
Quentin.
a- L'état de base de Quentin a été
établi à partir des renseignements donnés par
l'équipe pédagogique et de mon observation durant notre
première rencontre.
b- Les objectifs de la prise en charge de Quentin, ainsi que
les moyens utilisés pour les atteindre, ont été
établis à partir des indications de l'équipe
pédagogique et de l'analyse de cette première rencontre.
c-
p.21
p.22
La stratégie thérapeutique est sous -tendue par
l'exploitation de l'opération artistique.
II.1.B- La réalisation d'une fiche d'observation
adéquate à la prise en charge de Quentin est nécessaire
afin d'évaluer son évolution par rapport aux objectifs.
a-
p.22 p.22 p.26 p.26
La fiche d'observation concentre tous les faits d'observation
nécessaires à l'évaluation.
b- Le choix des items et faisceaux d'items d'observation
s'est fait au regard des objectifs de Quentin.
c- Ma propre évaluation a été
complétée par l'autoévaluation de Quentin.
d- Mais d'autres items et faisceaux d'items
d'observation ont étayé ma fiche
d'observation.
II.1.C- Les séances se sont déroulées de
mi-janvier à fin juin p.27
2010.
II.1.D- L'évaluation des faisceaux d'items retenus au
regard p.34
des objectifs doit être effectuée
régulièrement afin d'organiser la fin d'une prise en charge.
a- L'évaluation de la capacité relationnelle
de Quentin p.34 est sous-tendue par l'évaluation de sept
items.
b- L'évaluation de la détente
générale de Quentin est p.36 sous-tendue par
l'évaluation de six items.
c- L'évaluation de la spontanéité de
Quentin est sous - p.37 tendue par l'évaluation de trois
items.
d- L'évaluation de l'ambiance mise par Quentin est
p.38 sous-tendue par l'évaluation de trois items.
II.1.E- Le bilan de la prise en charge s'effectue au regard des
p.39
évolutions de Quentin au sein de l'atelier
d'art-thérapie.
II.1.F- Comme ce bilan se limite à l'atelier
d'art-thérapie, un p.40
questionnaire sur l'évolution de Quentin au sein de
l'établissement scolaire a été rempli par les membres de
l'équipe pédagogique qui le cTMtoient .
II.1.G- Conclusion de la prise en charge de Quentin. p.41
II.2- Jérémie. p.41
II.2.A- Même si le protocole de prise en charge de
Jérémie est p.41 identique à celui de Quentin, la
stratégie thérapeutique est différente.
a- État de base de Jérémie.
p.41
b- Pénalités et objectifs de
Jérémie. p.42
c- Stratégie thérapeutique de la prise en
charge de p.42
p.43
p.44
p.46
p.47 p.47 p.49
Jérémie et moyens.
II.2.B- La grille d'observation de Jérémie
possède une partie commune à celle de Quentin et une partie
dédiée à ses propres objectifs.
II.2.C- Les séances se déroulent sur deux
trimestres.
II.2.D- L'évaluation de l'implication relationnelle de
Jérémie correspond à la moyenne des évaluations de
son mode relationnel et de sa fonction relationnelle.
II.2.E- Ë la fin de l'année scolaire, je
réalise un bilan de la prise en charge de Jérémie au sein
de l'atelier d'art -thérapie.
II.2.F- Le bilan de l'équipe pédagogique sur
l'évolution de Jérémie au sein de l'établissement
scolaire me permet de compléter le mien.
III- Je reviens sur l'hypothèse après
avoir fait un bilan sur les douze prises en charge d'enfants
intellectuellement précoces réalisées au collège
Charcot.
IIIéME PARTIE : L'ART-THÉRAPIE
PEUT-ELLE æTRE UNE ACTION p.51 DE PRÉVENTION DES
DIFFICULTÉS SCOLAIRES AUPRéS DES ÉLéVES
INTELLECTUELLEMENT PRÉCOCES?
Avant de commencer. p.51
I- La notion de risque est constitutive de
l'idée de prévention. p.51
I.1- Différents risques de difficultés
sont associés au haut potentiel. p.51
II.1.A- Un haut potentiel intellectuel peut mettre
l'élève en p.51 difficulté scolaire.
p.51
p.52
p.52
p.53
II.1.B- Ces difficultés scolaires peuvent entrainer des
difficultés relationnelles.
II.1.C- Certaines difficultés psychopathologiques sont
plus importantes chez les enfants ou adolescents à haut potentiel
intellectuel que ceux au quotient intellectuel moyen.
I.2- Trois types de prévention
existent.
I.3- Au regard des différents risques liés
au haut potentiel intellectuel et des définitions de la
prévention, l'art-thérapie fait déjà partie des
actions de prévention secondaire et tertiaire auprès des
élèves intellectuellement précoces en difficulté
scolaire.
II- L'art-thérapie pourrait s'associer à
d'autres actions préventives primaires afin d'éviter aux enfants
intellectuellement précoces d'être en difficulté
scolaire.
II.1- Des actions de prévention primaire
existent.
II.1.A- La première action de prévention primaire
est directement liée au déroulement du parcours scolaire.
II.1.B- La seconde s'effectue dans l'environnement social de
l'enfant.
II.2- L'art-thérapie pourrait faire partie des
actions préventives primaires en adaptant son protocole
thérapeutique en protocole de prévention.
|
p.53
p.53
p.53
p.54
p.54
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p.54
p.55
p.56 p.56
p.56
p.57
II.2.A- Une stratégie de prévention primaire peut
être établie. II.2.B- Présentation de la stratégie
préventive primaire au regard de l'opération artistique.
II.2.C- L'évaluation est nécessaire afin de
conna»tre l'efficacité d'une prévention.
a- Cette évaluation repose sur l'exploitation des
feuilles
d'observation.
b- Deux objectifs sont attribués à cette
évaluation.
III- Mais de nombreux problèmes peuvent
empêcher la mise en place d'une prévention primaire en
art-thérapie auprès des enfants à haut potentiel.
III.1- Toute prévention primaire est sous -tendue
par un dépistage p.57 précoce du haut
potentiel.
p.57
III.1.A- En France, le diagnostic se fait par un psychologue
à la p.57 demande des parents ou sur conseil des rares professeurs des
écoles formés à la précocité
intellectuelle.
III.1.B- Un dépistage systématique de haut
potentiel intellectuel auprès de tous les enfants serait
intéressant afin de permettre au plus grand nombre
d'élèves intellectuellement précoces de
bénéficier des actions de prévention primaire.
p.58
III.1.C- Un dépistage systématique de haut
potentiel intellectuel peut avoir des effets contraires à la
prévention primaire des risques qui lui sont associés.
III.2- L'efficacité de la prise en charge
préventive primaire en art p.58 thérapie peut
être compliquée à évaluer.
III.3- La mise en place de cette prise en charge
preventive p.59
primaire en art-therapie peut etre
compliquee.
III.3.A- La prevention primaire des difficultes liees au haut
p.59
potentiel intellectuel doit se derouler sur le long terme.
III.3.B- Cette prevention primaire en art-therapie necessite un
p.59
cadre bien defini.
III.4- Des difficultés propres à
lÕart-therapie peuvent empecher p.60
lÕefficacite dÕune prise en charge
préventive primaire.
IV- TABLEAU RÉCAPITULATIF. p.61
V- CONCLUSION. p.62
GLOSSAIRES SUR :
p.63
p.64
p.65
La precocite intellectuelle. L'Art.
L'art-therapie.
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