3. Les limites de l'étude.
Au cours de notre étude, nous avons pu noter que des
limites sont également présentes. Tout d'abord, nous n'avons eu
qu'un échantillon de 125 personnes pour notre questionnaire.
L'optimisation de notre recherche serait de pouvoir élargir notre
échantillon et de pousser celui-ci à un plus grand nombre de
sujet dans le but d'affiner notre résultat. Ensuite, nous savons
qu'actuellement, la banque est présente de différentes
manières pour les clients.
Nous connaissons en effet la banque traditionnelle, mais
aujourd'hui d'autres acteurs sont présents et attirent de nouveaux
clients, tels que les banques en lignes, les fintechs etc. Notre étude
se focalisant sur la mutation des demandes clients en lien avec la
digitalisation, elle ne permet pas de prendre en compte les différentes
intentions que les clients auraient à partir dans d'autres formes de
banques (numériques...)
De plus, les réponses au questionnaire ayant
été faites soit dans le cadre d'un entretien en banque soit dans
le cadre d'internet de manière dématérialisée, les
réponses à ce dernier, ne peuvent être à 100%
tangibles. En effet, le client étant libre de son choix, il nous donne
la réponse qu'il souhaite. La non véracité des
réponses apportées peut donc induire un certain nombre d'erreurs
notre étude.
Enfin, la spécialisation d'un conseiller bancaire
relève d'un autre sujet d'étude. Nous évoquons ici la
possibilité d'un nouveau système de fonctionnement pour des
banques traditionnelles dans les années à venir engendrer par les
conséquences attendues du virage numérique. Nous émettons
des hypothèses qui ne peuvent être que théoriques à
ce stade car pour le moment, nous ne connaissons pas suffisamment
l'avancée technologique réelle qui en sera issue ni la mutation
que ce virage engendrera réellement.
52 | P a g e
|