Grossesses molaires.( Télécharger le fichier original )par Immaculée NIYONSENGA INSTITUT SUPERIEUR TECHNIQUE ET SOCIAL DE GOMA - DE GRADUE EN TECHNIQUES MEDICLAES 2015 |
- 74,2% des enquêtés n'ont pas reçu la formation sur la grossesse molaire contre 25,8% seulement qui en ont reçu- 85,7% des enquêtés ont reçu la formation une seule fois contre 4,1% qui en ont reçu plus de 2 fois- Aucun enquêté ne connait la prise en charge de la grossesse molaire- 89,4% des cas les enquêtés connaissent le nursing à appliquer devant un cas de grossesse molaire contre 10,6% qui n'en connaissent pas- Tous les enquêtés citent la surveillance de la hauteur utérine, les nausées et vomissements et les saignements vaginaux comme éléments de surveillance en cas de la grossesse molaire alors que 59,3% ajoutent la surveillance des signes de la gestose EPHAinsi donc, nous disons que nous avons atteint nos objectifs car nous avons confirmé toutes nos trois hypothèses.De ces résultats, nous avons formulé les recommandations suivantes :A l'hôpital de Rwamagana- D'organiser les formations sur la grossesse molaireAux infirmiers de l'hôpital de Rwamagana- D'enrichir leurs connaissances sur la grossesse molaire afin de bien maitriser les signes cliniques, les facteurs de risque et le nursing en cas de grossesse molaire.BIBLIOGRAPHIE1. HANCOCK B, EVERARD J, Grossesse molaire ou môle hydatiforme in http://www.babycenter.fr/a1500636/grossesse-molaire-ou-m%C3%B4le-hydatiforme consulté le 25/02/2015 à 8 :40 AM2. SEBIRE NJ, SECKL MJ., « Maladies trophoblastiques gestationnelles: management courant des moles hydatiformes,ý 2011 H. BOUFETTAL, P. COULLIN, S. MAHDAOUI, M. NOUN, S. HERMAS, N. SAMOUH, Les môles hydatiformes complètes au Maroc : étude épidémiologique et clinique, Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction, Volume 40, 2013 |
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