Perception de l’image (branding) de la bière tembo auprès de consommateurs de la ville de Kisangani.par Albert BWATO Université de Kisangani - Licence 2018 |
3.2.11. Population d'étudePour parler de la population d'étude, Norbert LESER Baum, montre que la population d'enquête est l'univers sur lequel porte une enquête ; un ensemble d'humains caractérisé que l'on cherche à connaitre ses opinions, ses besoins, ses réactions, etc. ensemble qui a en commun des caractéristiques connues permettant l'identification psychosociale des individus de ce groupe humain49(*). ESISO ASIA A., conçoit la population d'étude comme : « l'ensemble d'unités ou individus qu'on espère décrire par la généralisation ou l'extrapolation des caractéristiques constatées sur l'échantillon50(*). Nous considérons donc pour nous qu'une population d'étude est composée d'un ensemble des humains ou objets concernés par une enquête. Notre population d'étude est alors composée des consommateurs de la bière Tembo à Kisangani. 3.2.12. Echantillon d'étudeUn échantillon d'étude, selon Georges De Landshere, est le choix d'un nombre limité d'individus ou d'événements concernés par une étude et dont l'observation permet de tirer des conclusions applicables à la population d'étude, à l'intérieur de laquelle le choix a été opéré51(*). Nous considérons donc pour nous que l'échantillon d'étude est l'ensemble d'individus ou objets choisis, qui a des caractéristiques de représenter l'ensemble de la population d'étude. En nous appuyant sur ces définitions et étant limité par les moyens matériels, nous avons, nous aussi recouru à la méthode d'échantillonnage. Nous avons opté pour un échantillon aléatoire composé de 60 individus hétérogènes tirés au hasard pour que sa composition reflète bien la réalité de notre population d'enquête sous examen. 3.2.13. Technique de dépouillement et traitement des donnéesLe dépouillement des données de notre mémoire n'a pas été chose facile pour nous ; le questionnaire d'enquête utilisé étant du type semi fermé, c'est-à-dire, certaines réponses étaient déjà fixées, tandis que pour les autres, le sujet enquêté était libre de mentionner ses idées. C'est pourquoi, le dépouillement s'et réalisé à deux niveaux selon que la question est du type fermé ou ouvert. De ce fait, pour les réponses fixées, notre tâche consistait à relever les fréquences du choix des occurrences pour chaque question, en dressant un tableau des résultats globaux de type N×n (n : nombre de questions ; N : nombre de sujets), représentant un ensemble de réponses de tous les sujets au questionnaire. En ce qui concerne les questions ouvertes, nous avons tenu compte de l'idée maitresse, à chaque fois que celle-ci apparaîtrait, puis nous avons gardé les fréquences d'apparition de chaque réponse dans ce seul but d'apprêter l'ensemble de données à l'interprétation. L'interprétation de nos résultats à nécessité, vu la nature de nos données (fréquences), l'usage de pourcentage. La formule utilisée se présente de cette manière :
Légende : F1 : fréquence relative exprimée en pourcentage ni : effectif correspondant à chacune des variables Ni : effectif total, la taille de l'échantillon * 49 LESER BAUM N., « Professeur mène l'enquête psychologique » in Rencontres Pédagogiques, n°6 INPP, Paris, 1971, P. 198 * 50 ESISO ASIA A., Méthodologie de recherche en Sciences Sociales, Cours, inédit, G2 Sociologie, RI, SPA, FSSAP, UNIKIS, 2008, P.2. * 51 De LANDSHERE G., Introduction à la méthode de la recherche en éducation, Paris, PUF, 1972, P. 230 |
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