1.3.3 : [S 111110X1[3IBEX[7Kp1i1 [(L5S 37
Arbitrage Pricing Théory (APT) développé
par Ross (1976), c?est l?une des réponses concrètes aux critiques
du MEDAF. Dans le meme cadre d?apparition il s?agit d?une relation
d?équilibre entre le rendement attenu d?un actif et un facteur du risque
pou un CAPM classique, par la suite parmi ces facteurs on distingue l?attendu
et l?inattendu. En fait, le modèle APT est modèle multi-facteurs
est part de l?hypothèse que le rendement d?un titre pour une date t peut
être explique par plusieurs facteurs de risque
1(t) = Ri + Eicic=ithic Fic( ) +
Par la suite, les betas ont la même
interprétation et se calculent de la même manière que le
modèle CAPM, bien que les hypothèses du modèle APT soient
légèrement différentes de celle du modèle
d?évaluation des actifs financiers. D?ailleurs pour déterminer
les facteurs du modèle APT on distingue deux approches : l?une par
utilisation du facteur économique et l?autre par utilisation des
facteurs statistiques. En fait du point de vue statistique, les tests
empiriques montrent que le modèle APT est le meilleur que le
modèle CAPM.
De même N xella Ricci et C Hurson montre que le CAPM
attribué à Sharpe (1964), Lintner (1965) et Mossin (1966) relient
linéairement le rendement attendu de l?actif E(Ri) à son risque
dit 13i marquant sa rentabilité au mouvement de l?économie
globale prise comme unique facteur déterminant soit :
) = Rf + 13i(E(RM) -- Rf)
De plus ce modèle réside mal aux tests
empiriques, d?après les critiques de Roll (1977) sur la
testabilité de ce dernier. En fait la mise en évidence de
l?instabilité des paramètres du risque. Bref, la relation
d?équilibre dans le marché serait décrite par le CAPM,
d?où la nécessité d?une meilleurs description dont celle
fourni par L?APT de Ross (1976). L?APT propose une relation multifactorielle
entre risque et rendement, elle nécessite moins d?hypothèses
restrictives que le CAPM. L?argument de Ross veut que l?arbitragiste ne soit
pas récompensé le portefeuille en proportion VVides écarts
de prix perçus ne lui procure aucun enrichissement, ne possède
aucun risque 13 et ne génère aucun rendement
complémentaire. Etant donnée que l?argument d?arbitrage est
considéré comme la capacité de crée des
espérances de portefeuille dans le cadre d?une structure factorielle
stricte, Huberman (1982) montre que l?erreur d?évaluation est
borné supérieurement. De plus, l?argument d?équilibre au
l?aversion ou risque de l?investisseur serait reliée. Cannar (1982),
Dybvig (1982) et Grinblatt et Titman
(1982) ont développé une borne inferieure ou
supérieur pour l?écart d?évaluation qui est fonction du
dégré d?aversion au risque. En fait L?APT fondé sur
l?équilibre offre une base conceptuelle plus forte que l?APT
fondée sur l?arbitrage.
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