1.2.6 : Les anomalies et les critiques de MEDAF
La critique la plus connue sans doute celle de Roll (1977), il
remarque qu?il est impossible de calculer avec exactitude la rentabilité
du portefeuille du marché.
Stambough (1982) à montré empiriquement que les
tests du marché sont dans les faits moins sensibles au choix du proxy,
ou l?indice de marché de Roll (1977) ne le prévoyait.
Les analyses théorique de Kandel et Stambough (1987) et
de Skamken (1987) montrent que les erreurs de mesurées sur le
portefeuille de marché n?affectent les résultats des testes du
modèle que si la corrélation entre l?indice de marché
utilisé et le vrai portefeuille de marché est diffusément
faible.
Bassu (1977) qui montre l?existence de l?effet PER les
portefeuilles qui ont de petit PER ont des rentabilités moyennes plus
élève que celles prévues à l?aide de CAPM.
Banz(1981), l?effet taille ou le fait que les actions à
faible capitalisation ont des rentabilités moyenne supérieure
à celle des prédites par le CAPM.
Reiganum (1981) confirme l?existence de ces deux effets et montre
qu?il est relié.
Keim (1983) confirme l?existence de l?effet taille et montre
qu?il est aussi relié à l?existence d?un effet janvier, aussi on
distingue d?autres effets comme l?effet sur réaction de Debondt et
Thaler (1985) et l?effet momentum de Jagadeesh et Titman (1993).
Reinganum (1981), Lakonishok et Shapiro (1986), Chopra et
Ritter (1989), Fama et French (1992) ils ont mentionné l?existence d?une
certaine relation entre les betas des actifs et les rentabilités
moyennes. Black (1993), Chan et Lakonishok (1993), Pettengil, Sundaram et
Mathur (1995), Grundy et Malkiel (1996), confirment la mort de la beta.
Le CAPM versus le modèle de neutralité ou risque
avec l?existence d?une région critique pour la prime du risque du
marché.
1.2.7 : Le MEDAF conditionnel
La version conditionnelle du MEDAF est appliquée au
marché émergent de la période 1990 à 2005,
Joelle R (2007) à mis en évidence la variabilité des
moments conditionnel des rendements boursières, permettent aussi la
variation de la prime du risque. Il constitue en
outre un outil pertinent dans l?analyse de l?intégration
en ayant recourt au variable d?informations dites variables internationales.
Le MEDAF conditionnel à utilise pour
l?évaluation des rentabilités des marchés, toutes les
différentes études théoriques et empiriques ont abouti
à une conclusion en faveur de la variabilité des
paramètres variant dans le temps dans le cadre du MEDAF conditionnel qui
est basé sur le principe suivant :
La relation entre la rentabilité d?un titre particulier et
la rentabilité espérée du portefeuille du marché ne
serait valable que conditionnellement à l?information disponible.
Dans sa version traditionnelle le MEDAF est donné par
l?expression suivante :
E ( 1) - f . 1) - f ~
Tandis que le MEDAF conditionnel s?exprimera comme suit :
1 - f i - f ~
Les variables et les coefficients de régression
s?interprètent.
1 Est l?espérance de rentabilité de t qui est en
fonction des informations disponibles en
t-1
f Le taux sans risque, Buckberg (1993) à testé
un MEDAFC appliqué au marché émergent de la période
1977 à 1991 il obtient un résultat non significatif. A
l?exception des variables aléatoires « Independent et identiquement
distribuer » les moments conditionnel il en le même facteur beta
même si la beta conditionnels est constant, il nécessairement ou
beta non conditionnel.
En se qui concerne le lien de causalité entre les deux
modèles, il est noté que la pertinence du modèle
conditionnel n?implique pas à celle du modèle non conditionnel
aussi que l?efficience au sens « moyenne- variance » du modèle
conditionnel n?implique pas à celle du modèle non
conditionnel.
Un des résultats théorique les plus important
qui a contribué à la suivie du MEDAF est celui de Dybvig et Ross
(1985) et Hansenet Richard (1987) qui ont montré que la version
conditionnelle du MEDAF est appropriée même si le MEDAF
traditionnel est mis en couse.
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