1.2.2 : Les hypothèses de MEDAF
Le marche comporte N actifs risques de rentabilite i-- i oi) et
un actif sans risque de taux d?intéret f exogène.
-Les prix des actifs cotés sur le marché sont des
prix d?équilibre. (le CAPM est modèle d?équilibre (vs
APT))
-Tous les investisseurs sur le marché sont rationnels au
sens de Markowitz (utilisent tout le critère moyenne-variance)
- L?univers d?investissement est le méme pour tous les
investisseurs (mémes titres pris en considération (=> prise en
compte de tous les titres)
- Les anticipations des investisseurs sont homogènes (tous
les investisseurs font les mêmes prévisions (espérance de
rendement, risque) et possèdent tout le même horizon de
placement)
-Les seules différences permises par le modèle
concernant les investisseurs :
- aversion pour le risque - richesse initiale
- Chaque investisseur, pris individuellement, est preneur de prix
(Price- taker) : leurs transactions ne peuvent affecter les prix de
marché.
- Il y a une divisibilité complète des actifs.
- Les marchés de capitaux sont parfaits (pas de frais de
transaction, liquidité assurée) - Il n?y a pas d?impôt
- Les investisseurs peuvent prêter ou emprunter au
même taux
1.2.3 : Validation empirique du MEDAF
Colmart, Gillet et Szafarz (2009) « efficience des
marchés, concept, bulles spéculatif et image comptable » en
étudier la validation empirique du modèle comme suit est que le
point de départ c?est la relation linéaire entre la
rentabilité attendue 1 et le risque systématique ,
1) f . ) - f
C?est une relation transversale (Cross- Section)
~ ~ ~ ~ ~ ~
Avec i = 1... .n
Y à comparer avec f
y à comparer avec ) - f
Ce résultat empirique à rencontré de
nombreux problèmes économétriques, grâce à
ces problèmes Roll(1977), Fama et French (1992 ,1995)
1.2.4 : Régression en série chronologique
Le point de départ Steve A (2007) est le modèle
suivant :
- r ) - r )
Ou la constante dans la régression est le portefeuille X
et ce qu?on prend pour le
portefeuille du marché.
Pour que la régression soit strictement valide et non
une approximation à une relation non linéaire, une
conséquence testable de la version du MEDAF est la constante dans la
régression devrait être égale à zéro, aussi
qu?il ne devrait pas y avoir de variable explicative au - delà du
facteur beta qui aide à prédire le rendement
espéré.
Finalement, il ya aussi des tests économétriques en
linéarité qu?on peut appliquer afin de confirmer ou infirmer le
MEDAF.
1.2.5 : Le MEDAF de Black (1972)
En 1970, pour contourner le problème de manque de
linéarité de l?hypothèse de prêt / emprunt à
un taux d?intérêt sans risque unique, Black a testé une
version du modèle dans la quelle cette hypothèse est remplacer
par celle de la possibilité de vente à découvert
potentiellement illimité des actifs risqué.
J.clerical (2009) montre que ses résultats lui de
permettent de définir le portefeuille à zéro beta et
à variance minimale comme étant le portefeuille efficient a
corrélation nulle avec le portefeuille du marché, il
redéfinit des lors le prime du risque au rendement excédentaire
des actifs et des portefeuilles par rapport à ce zéro- beta et
non plus en fonction du taux d?intérêt sans risque.
Dans ce même article Black (1972) montre que la
condition d?équilibre de non arbitrage implique que la condition des
portefeuilles efficients choisis par les investisseurs, pondérés
par leur proportion respective dans la richesse investie agrégé,
ne peut mener qu?à la définition du portefeuille de
marché.
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