SECTION V. APPRECIATIONS CRIQUES ET SUGGESTIONS
Tout au long de ce travail, nous avons parlé
d'étude pratique du principe de la présomption d'innocence face
aux médias qui nous a pousser à confronter la lettre à la
pratique et nous avons vu que la République Démocratique du Congo
étant un Etat Démocratique et souverain à ses propres lois
régissant les principes. A donner chacun domaine ses frontières
(limites) les uns les autres pour présomption d'innocence et pour les
médias dans l'exercice de ses droits. Et dont les
caractéristiques de ces limites doivent être aussi
déterminées et explicitées, faute de quoi la
liberté se trouve placée sous la menace des autorités, de
législation, d'exécution ou des justices. A condition
d'être réel et non imaginaire à seule condition
d'être un motif constatée par des imaginaires et non un alibi
invoqué par des politiques, des nécessités de la technique
introduisant et ne peuvent pas introduire des dérogations aux droits
communs par la constitution des certaines entreprises dites de
communication.
A notre appréciation nous ne pouvons que jeter des
fleurs à notre pays qui est la RDC pour son respect, sa prudence et
privilège accordés à tout citoyen congolais à
savoir respecter ses droits et droits des autres. La présomption
d'innocence à son fondement dans la constitution et les médias
ont aussi leur fondement à la constitution. Et nous encourageons les
médians pour l'exercice e sa mission d'informer le public congolais de
toute actualité du pays et du monde.
Quant aux critiques nous pouvons dire que la confrontation du
texte à la réalité pratique ne sont formulables, nous
voyons que les médias portent atteinte à la personne
présumée innocente du fait de faire passer son image à la
télévision et en affirmant que celui-ci est criminel, voleur,
escroc, violeur... et à lui posant des questions comme s'il
était un corps judiciaire, et en demandant à certaines personnes
à témoigner en proposant des sacrions pour la personne qui
bénéficie encore de la présomption d'innocence. Or en
droit congolais il est prévu aux juges de prononcer une peine ou la loi
a prévu à une ou telle infraction. Voyons aussi d'autres choses
qui se font de la part des autorités judiciaires par rapport à la
présomption d'innocence qui est celle la détention
préventive, comme son l'indique va entrainer l'incarcération de
l'inculpé pendant l'information. Il s'agit là d'une mesure
très grave qui porte atteinte à la liberté individuelle et
qui parait contraire à la présomption d'innocence, l'auteur
présumé d'infraction subissant l'équivalent de la peine
sérieuse alors qu'il n'a pas encore été condamné
par un jugement définitif.
Une autre chose que nous voyons est que le media (ls
journalistes) donne une affirmation à disant celui-ci est un voleur ou
criminel au lieu de parler d'une supposition et s'il perd le droit de la
défense.
Quant à la suggestion, notre étude approfondis
sur le présent travail (étude pratique de la présomption
d'innocence face aux medias en droit positif congolais). A cette aire ou les
droits de l'homme sont atteint l'apanage a été plus utile tout au
long de ce travail.
D'une démonstration à une exposition fragrante,
il a été constaté que les medias sont assignés de
violer volontairement le principe de la présomption d'innocence en ce
qu'il a été constaté plus d'un cas pareil.
Ainsi, il convient de suggérer ce qui suit :
Ø Que les organes de medias reviennent au respect des
droits de l'homme, de la déontologie y relative,
Ø Que les organes de medias prennent conscience des
enjeux en force desquels ils ne cessent de se trouvez.
Ø Que le respect ainsi de la constitution, ses
dispositions et des lois de la RDC qui sont en rapport aux droits,
libertés et dignités de la personne ;
Ø Que les organes chargés de mise en place des
lois et règlement appliquent toute répression en rapport à
ces violations volontaires respectées
Ø Que les victimes de ces violations s'efforcent
à faire respecter leur droit et qu'ils intentent en permanence des
actions en justice contre tous ceux qui abusant, leur droit et que les
autorités judiciaires puissent pour recevoir.
Ø Que le législateur chargé de lois
édictées prennent suivre la responsabilité en nous, pour
ainsi éduqué ce fléau.
Ø Que les medias filme l'information du début
jusqu'à la fin c'est-à-dire dès le jour de l'arrestation
du présumé de l'infraction jusqu'aux jours de la condamnation au
acquittement de celui-ci.
Ø Ces quelques suggestions, oeuvre d'une justice
équilibrée et d'une réaction digne de fois.
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