1.2.2. Ouvrages
policiers
- MONJARDET, D. (1996), ce que fait la police, Paris, La
Découverte. L'ouvrage présente la triple détermination de
la Police. Dimension organisationnelle (travail), institutionnelle (valeur) et
professionnelle (intérêt). C'est la première dimension qui
nous captive. Il épingle ou décrit les pratiques quotidiennes des
agents de la police qui sont relatives d'une police à l'autre.
- OCQUETEAU F., (2004), Polices entre Etat et marché,
Paris, éd. PSP. Il démontre l'essor de la sécurité
du secteur privé comme une défaillance de l'Etat dans ses
allocations de ressources de protection.
- JOBARD F., (2002), Bavures policières ? La force
publique et ses usages, Paris, La Découverte. L'auteur présente
la violence des policiers exercés sur la population. L'ouvrage nous
permet de lire la police comme une organisation discrétionnaire. En
plus, les auteurs de la violence sont punis administrativement pour cacher les
méfaits de la police.
- SMITS M. (2003), Etudier la police : une
nécessité démocratique, Jurbise, C.E.P. En tant qu'une
nécessité, la police et démocratie ouvrent pour nous une
piste de réflexion d'une recherche ultérieure en termes de
Police, droits de l'homme et démocratie.
1.2.3. Ouvrages
juridiques
- DAYEZ B., (1999), A quoi sert la justice
pénale ? Bruxelles, De Boeck. Elle nous permet de
réfléchir sur la finalité de la justice sociale et nous
permet à soutenir la pratique de l' « OPJ
debout » comme un modèle de justice spécifique par
l'arrangement entre parties en conflit.
- LEVY T., (2004), Eloge de la barbarie judiciaire, Paris,
Odile Jacob. Elle nous permet de soutenir les avantages et
intérêts de la pratique policière de l' « OPJ
debout ».
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