Section 2
La présence de denrées rares dans la
zone
L'arctique a un réel intérêt
économique puisqu'il y a un potentiel minier (Section A), aussi la
présence d'hydrocarbure (Section B).
A. Le sous-sol de l'arctique un potentiel
minier.
Des efforts sur l'utilisation des ressources naturelles ont
était fait par le passé, mais les profits étaient faibles
à cause des moyens de transports très couteux. Ce renouveau est
motivé par la fonte de la banquise.
L'exploitation de ressources naturelles pourrait
s'accroître grâce à l'accès de plus en plus facile
dans l'arctique, on estime la présence de d'une multitude de gisements
de zinc et de plomb en Alaska aux Etats-Unis, de l'aluminium en Islande, du
nickel en Russie, de l'or au Canada, du diamant et du fer au Groenland ainsi
qu'au Canada (Duhaime,2013).
Il est difficile aujourd'hui d'émettre avec certitude le
réelle potentielle minier de la zone puisque les recherches sont
difficiles à cause de la glace et du froid, néanmoins des projets
voient le jours autour de la zone arctique, les entreprises Chinoises
premières consommatrices de nickel, cuivre, zinc, charbon, fer et
d'étain (F Lasserre, 2017) veulent sécuriser leur
approvisionnement en matières premières afin de garder un
contrôle sur ses ressources stratégiques. La présence de
Zinc au Canada mène des entreprises Chinoises à investir,
à titre d'exemple, le deuxième producteur chinois de nickel a
acheté la mine Wolverine au Canada, ce genre d'achat permet à
l'entreprise de se créer des gisements futurs, puisqu'aujourd'hui la
plupart des projets dans l'arctique ne sont pas complètement rentable,
les principaux responsables sont le prix assez bas de ces minerais ainsi que
les coûts d'exploitation élevés dans ces zones. De
même au Groenland où des entreprises mènent des recherches
d'or et de cuivre près de Ittoqqortoormiut. Beaucoup d'autres projets de
d'extraction ou de recherches de gisements sont faits en raison des de
l'attractivité futur de la zone.
De plus, les autorités locales veillent de plus en plus
à l'environnement, des entreprises comme Areva au Canada ou bien
Greenland Minerals au Groenland voient leurs projets abandonnés par des
décisions gouvernementales et largement soutenus par les citoyens
(Muryel Jacque, 2016).
Le sous-sol minier arctique est attractif est de plus en plus
accessible mais en même temps, les courants écologiques viennent
ralentir voire stopper des projets. Nous avons aussi une volonté des
Etats à garder une part de souveraineté sur ses ressources, afin
d'éviter que des entreprises viennent vider les ressources naturelles
d'un territoire.
B. La présence d'hydrocarbure
La zone arctique est probablement la zone où il reste le
plus d'hydrocarbure non découvert, soit plus de 13% des 30% non
découvert selon des estimations (Simonet, 2016). Ce sont donc les 5
Etats de la
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zone qui se répartissent les ressources potentielles.
Aujourd'hui l'utilisation de l'hydrocarbure en Arctique représente 10%
de la production mondiale de pétrole et 25% de la production de gaz.
Avec la fonte des glaces se nombre pourrait se voir augmenter.
Les principaux exportateurs sont les pays de l'OPEP (Organisation des Pays
Exportateurs de Pétrole) aucun d'entre eux sauf les Etats-Unis sont
concernés géographiquement par l'arctique. Une bataille
commerciale pourrait voir le jour si l'extraction des ressources
d'hydrocarbures se multiplie. Il faut tenir compte que l'extraction
amène des exigences matérielles tels que la résistance des
matériaux a des températures basses ou bien à la possible
formation d'iceberg. En effet des compagnies comme Shell on menait des
campagnes d'exploration mais certaines ont était abandonné en
raison des coûts de production élevés par rapport au prix
du baril de pétrole.
En revanche pour ce qui est de l'extraction de gaz, la production
se développe, l'exemple du chantier Yamal lancée en 2013 et
aujourd'hui achevée. Le projet appartient à Gazprom a hauteur de
50% ainsi qu'a Total à 20% et enfin à des entreprises Chinoises
à 30% montre la capacité des industrielles a développer
l'extraction en zone arctique, la multiplication de ce genre de projet pourrait
se multiplié dans les années à venir, quand on voit la
carte (Escudé-Joffres,2019), l'exploitation de l'arctique se tient
seulement dans les zones très accessibles, la fonte des glaces
augmenterais l'accessibilités de la zone et l'utilisation des
réserves.
La zone est actuellement que très peu utilisé, on
imagine que l'intérêt grandissant des différents
états et entreprises montrent qu'il va y avoir une volonté
d'accaparer les ressources par des projets ou des contrats afin d'avoir un
contrôle sur la zone qui semble être un endroit stratégique
pour le futur.
Attention, la volonté d'extraire les hydrocarbures en
arctique peut poser plusieurs problèmes, le défi technologique
est assez élevé et une précipitation pourrait entrainer
des problèmes environnementaux comme des marées noires ou des
problème liés au froid sur les gazoducs. De plus, la
présence humaine dans la zone peut enclencher une
accélération du réchauffement climatique dont les
conséquences ne peuvent pas être complétement anticiper.
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