La production des publicités et son effet motivationnel sur la vente du produit manufacturés "savon ovi cool" de la société Plaza à Kisanganipar Guerson WEMBANKOY KITETE Université de Kisangani - Licence en sciences de l'information et de la communication 2022 |
1.1.6 Spot publicitaire1.1.7 Entreprises commercialesUne société commerciale est une société qui exerce une activité commerciale ou une société qui revêt une forme juridique commerciale. Le Code de Commerce (Article L210-1) considère comme commerciales les sociétés qui adoptent les formes juridiques suivantes ; la nature de l'activité exercée n'a, dans ce cas, aucun impact sur la qualification : Les sociétés anonymes (SA), sociétés par actions simplifiées pluripersonnelles (SAS) ou unipersonnelles (SASU), Les sociétés en commandite simple (SCS) et les sociétés en nom collectif (SNC), Et les sociétés à responsabilité limitée pluripersonnelles (SARL) ou unipersonnelles (EURL). 1.1.8 DéficitC'est le manque ou la carence d'une chose de très important dans une organisation ou dans une société.C'est aussi l'incapacité de faire ou de produire quelque chose de bon. Selon le dictionnaire français le déficit c'est Ce qui manque dans une caisse publique ou privée ; l'excédent des dépenses sur les recettes. 1.1.9 Stratégie de ccommunication17(*)Une stratégie de communication est l'ensemble des décisions déterminant la communication d'une entreprise, notamment la définition des cibles à atteindre, les objectifs des différents types de communication mobilisés, les contraintes budgétaires, de temps, les calendriers pour les campagnes publicitaire 1.1.10 Non-maîtriseC'est le manque du profesionalisme dans un domaine quelconque,c'est le faite.C'est aussi le manque de certaines capacités qui vous permettent de réaliser une tache pparticulière. 1.1.11 Technique de productionOn peut le définir comme un ensemble d'outils ou des méthodes qui permettent la bonne production d'une chose. 1.2 CADRE THEORIQUELa théorie désigne couramment une idée ou une connaissance spéculative et vraisemblable, souvent basée sur l'observation ou l'expérience, donnant une représentation idéale, éloignée des applications. Pour notre part, nous tenterons d'expliquer l'objet de notre étude respectivement par la théorie systémique des communications et celle de la communication d'influence. Théorie de la persuasion La persuasion, du latin persuasio, est l'action d'amener quelqu'un à quelque chose, à croire, à faire, à vouloir, à la faveur d'une connivence[1]. L'art de persuader a un rapport nécessaire à la manière dont les hommes consentent à ce qu'on leur propose, et aux conditions des choses qu'on veut faire croire. Les anciens, d'Isocrate à Aristote et Cicéron, ont défini la rhétorique comme l'art de convaincre et de persuader. Des auteurs classiques à partir de l'humaniste Ramus au XVIème siècle ont distingué persuader de convaincre, la persuasion ajoutant à la conviction par la dialectique, l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur et joint à la conviction. La persuasion est partout. Elle joue un rôle essentiel dans le domaine politique, religieux, en psychothérapie, dans l'éducation et dans les relations sociales de la vie quotidienne. L'influence sociale exercée à travers la persuasion est également le moyen le plus répandu et le plus civilisé de contrôle social dont disposent les gouvernements et les individus. Dans la mesure où l'on cherche à persuader autrui (et où l'on est aussi la cible de la persuasion), nous avons appris, à travers tentatives et erreurs, comment fonctionne la persuasion. Certaines personnes pratiquant des professions particulières - celles qui relèvent par exemple du droit ou du commerce - ont aussi développé leurs théories naïves de la persuasion. On appelle & persuasion &, le fait d'arriver à un changement d'attitude (qui peut être inscrit durablement ou non) et & influence &, le fait d'arriver à un changement de comportement (lui aussi durable ou non). Or, ayant pris le recul sur les notions d'attitude et de comportement, on se rend compte que ce sont majoritairement des changements d'attitude que nous visons en général dans nos pratiques associatives de dispositifs de sensibilisation. C'est pour dépasser cela que dans la présente analyse, c'est sur l'influence que nous nous interrogeons. Celle-ci peut bien sûr nécessiter également de viser des changements d'attitudes pour augmenter les chances de modifier un comportement. Nous l'envisagerons donc de manière brève. Pour une étude plus approfondie des théories du changement d'attitude, nous renvoyons notamment vers FONTIAT et BOYER (2015) et les nombreuses références qu'ils proposent. Les recherches de FONTIAT et BOYER ; MARCHIOLI tendent à montrer que l'attitude (favorable ou défavorable) vis-à-vis d'un comportement (par exemple manger moins de viande) va dépendre d'une part des croyances sur les conséquences de ce comportement (par exemple : & manger moins de viande donne une meilleure santé, limite la pollution, mais donne des repas fades & pourrait penser quelqu'un) et d'autre part de l'évaluation de ces conséquences (par exemple : & être en bonne santé et peu polluer est positif, des repas fades ne me plaisent pas &). Mais, pour déterminer un comportement, en plus de l'attitude, vont s'ajouter : les normes que ressent l'individu, elles-mêmes influencées par les croyances en matière de normes de ses proches (par exemple : & je crois que mes amis et mes parents pensent que réduire ma consommation de viande n'a pas de sens &) et la motivation à obéir à ses normes (& je n'aime pas suivre l'avis de mes parents &) ;la sensation de contrôle qu'il a sur le comportement (faisable ou pas). Celui-ci dépend des croyances concernant les obstacles à ce comportement (exemple : & quand je suis invité à manger, il y a rarement un repas sans viande &) et de leur évaluation (& c'est facile pour moi d'expliquer à mes amis qui m'invitent à dîner que je ne mangerai pas la viande &). À l'opposé de cette connaissance intuitive de la persuasion de Friestad, les spécialistes de domaines tels que la psychologie, la communication, le marketing ou la publicité ont étudié la persuasion de manière systématique. Des exposés théoriques sur la persuasion se retrouvent déjà chez les anciens Grecs (typiquement, dans la Rhétorique d'Aristote), et ont connu un nouvel essor durant la Renaissance italienne (voir Quintilien, Istitutio oratoria, et McGuire 1985). Il a fallut toutefois attendre notre siècle pour voir les idées sur la persuasion systématiquement reliée à des observations empiriques. Les premières études allaient d'analyses du contenu de la propagande politique jusqu'à des études de cas sur les fluctuations de l'opinion publique. Mais, contrairement aux démarches corrélatives adoptées par la suite dans les domaines de la sociologie et de la science politique, la démarche de la psychologie est demeurée largement expérimentale. Théorie de la psycho-publicité de B. DE PLAS et H. VERDIER * 17 Wikipedia,consulté à kisangani le 02.11.22 à 16h00 |
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