Tableau n° VI : Les facteurs favorisants,
déterminants et issus des IUG chez les gestantes reçues à
la clinique hospitalier IMPUHWE
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Variables
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Effectif
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Fréquence (%)
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Facteurs favorisants la survenue des IUG chez les 73
gestantes
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Rapport sexuel non protégé avec un partenaire
critique,
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73
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100
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Bain intime avec l'eau salle contaminée
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7
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9.6
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TV sans asepsie
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2
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2.7
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Utilisation des toilettes non entretenues
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18
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24.7
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Destruction de flore bactérienne protectrice du milieu
vaginal en faisant bain intime avec du savon acide
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35
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48
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Automédication vaine
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12
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16.4
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Dégradation immunitaire à VIH/SIDA
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25
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34.2
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Déterminants des IUG chez les 73
gestantes
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Compression de l'urètre par l'utérus gravide
empêchant le vidage des urines
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73
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100
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Augmentation de la capacité vésicale et stase
urétrale
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31
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42.5
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Activités sexuelles et fréquence des BA
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73
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100
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Multiparité
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47
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64.4
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Cathétérisme uréthral
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21
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28.8
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Agents microbiologiques
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73
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100
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Miction tardive
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73
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100
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Issus des IUG chez les 73 gestantes Cfr. Tableau V
titre 4
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Issus des IUG chez foetus portés par ces 73
gestantes
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Naissances prématurées
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0
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0
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Faible poids à la naissance
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9
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12.3
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Malformations congénitales
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0
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0
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Source : Données de nos enquêtes sur
terrain
Les résultats de ce tableau n°6 nous renseignent
que les facteurs favorisants la survenue des IUG chez les gestantes
reçues à la clinique IMPUHWE sont les rapports sexuels non
protégés par un partenaire critique (100%) et la
dégradation immunitaire par le VIH/SIDA (34.2%) que le Bain intime avec
l'eau salle contaminée (9.6%) et/ou TV sans asepsie (2.7%).
Les déterminants des IUG chez les gestantes à
IMPUHWE sont Compression de l'urètre par l'utérus gravide
empêchant le vidage des urines, Activités sexuelles et
fréquence des BA, Agents microbiologiques et Miction tardive (tout
ça à 100%), multiparité (64.4) et stase uréthrale
des urines (42.5) que le cathétérisme uréthral (28.8).
Connaissant que le traitement est adéquat et
l'évolution est bonne, les conséquences des IUG sur les foetus
sont quasiment nulles malgré le constat de faible poids à la
naissance (12.3%). Cependant, elles influencent les conséquences graves
chez les gestantes (Cfr. Tableau n°6 titre 4).
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