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La différenciation par attributs dans la CEMAC.


par Franck OBAME NGUEMA
Université Omar Bongo - Master 2 recherche en Economie Appliquée, option: Economie Internationale 2004
  

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Chapitre I - Attributs de qualité et échange intra-branche

Sur le marché des biens et services, les consommateurs font valoir leurs besoins en terme de qualité auxquelles les entreprises doivent satisfaire. Ce besoin de satisfaction conduit les producteurs à doter leurs produits des attributs de qualité en vue de répondre à la demande différence effective sur le marché. Cette stratégie va favoriser l'apparition d'une différenciation de produit de type verticale.

Section 1 : préférence des consommateurs et qualité des produits.

Les consommateurs recherchent sur le marché domestique tous les produits qui répondent à leurs préférences hétérogènes sur les biens de qualité. La présence d'attributs de qualité sur un bien influence significativement certains consommateurs. Les biens de qualité peuvent être soient fournis par les producteur domestique soient pas les producteurs étrangers. La présence attributs de qualité (la vitesse, durabilité, respect de l'environnement, le prix...) sur un produit lui confère la supériorité sur les autres produits disponibles sur le marché, les consommateurs ayant une préférence pour les biens supérieurs seront attirés par leurs attributs de qualité.

Pour opérationnaliser l'impact des attributs de qualité sur les préférences des consommateurs, plusieurs méthodes de collecte de données et des modèles d'analyses ont été développés. Parmi ces méthodes, l'analyse conjointe a été reconnue comme la meilleure méthode permettant d'évaluer l'importance relative des caractéristiques d'un produit dans la préférence du consommateur. Car, elle permet de mesurer par un seul plan d'expérience, toutes les informations non mesurables par un questionnement direct des consommateurs Gil, (1997) ; Guyon, (2010). Il existe deux approches d'analyse conjointe. L'approche traditionnelle (rating based approach) qui consiste à faire noter ou à faire classer

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les consommateurs, un ensemble de profils et à estimer les utilités par régression linéaire (Guyon, 2010; Halbrendt, et al. 1991 et Ohannessian, 2008). Cette approche est très exigeante en énergie et nécessite que les répondants aient un niveau intellectuel donné. Il faut qu'ils comprennent parfaitement les produits qu'on leur propose et qu'ils soient capable de mener une analyse critique de leurs caractéristiques afin de pouvoir noter ou classer objectivement et judicieusement. Cette méthode a été supplantée depuis les années deux mil par l'approche dite discrète (choice based approach) qui mesurent les choix des consommateurs et non leur note ou classement. Cette dernière approche a bénéficié des progrès effectués en économie dans la modélisation des choix initiés par les travaux de McFadden, (1970). Contrairement à l'approche traditionnelle, les profils sont présentés en plusieurs petits groupes (jeux) pour faciliter l'appréciation.

Plusieurs études seront faites dans plusieurs pays de l'Afrique au Sud du Sahara visant à analyser les préférences des consommateurs qui, comme dans les pays développés, ont des attentes multiples en termes de consommations alimentaires. Cheyns et Bricas (2003) montrent, par exemple, l'attention portée par les consommateurs de Ouagadougou (Burkina Faso) à différents attributs de qualité sanitaire des aliments ou de conformité à des normes de fabrication dans le cas des céréales, de la viande et du soumbala. Sanogo et Masters (2002) montrent la disponibilité à payer des mères de jeunes enfants pour une certification crédible de la qualité nutritionnelle des compléments alimentaires infantiles. Lançon et Benz (2007), montrent que les consommateurs ouest africains sont prêts à payer plus cher le riz importé, mieux lavé et mieux emballé que le riz local. Enfin, Dury et al. (2007) indiquent que les consommateurs maliens, malgré leur pauvreté, sont prêts à payer plus cher le fonio importé de Guinée, car considéré de meilleures qualités (plus claires, plus propres et mieux décortiqué) que le fonio local.

Dans le même ordre d'idée, De nombreux travaux se sont appuyés sur l'approche de Lancaster pour chercher à mesurer le consentement à payer pour les

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différents attributs de consommation des biens, en particulier lorsque la qualité n'est pas directement valorisée par le marché (Coestier et Marette, 2004). Dans le cas des biens alimentaires en Afrique de l'Ouest, Jabbar (1998), sur le marché des chèvres et des moutons au Nigéria, et Dalton (2004) sur la consommation de riz en Afrique de l'Ouest, utilisent des régressions hédoniques pour révéler les attributs des produits qui déterminent les préférences des consommateurs. Sanogo et Masters (2002) évaluent la demande pour la certification des aliments infantiles au Mali au moyen de méthodes relevant de l'économie expérimentale.

Au regard de ces travaux, il est inéluctable de dire que les attributs de qualité jouent un moteur dans le comportement des consommateurs. Sur la base des attributs, ils peuvent soient éliminer (Tversky, 1972) ou sélectionner (Reste, 1962) un produit. En effet, L'heuristique « Élimination par attributs » (EPA) permet de choisir parmi un ensemble de produits à l'issue d'un processus séquentiel : à chaque étape, les consommateurs éliminent tous les produits ne possédant pas un certain attribut de qualité et finalement achètent le dernier bien restant. Cette heuristique a servi de base à Tversky pour élaborer un modèle de choix discrets, au sein duquel l'écart de prix entre les biens peut être représenté par un attribut.

Au sein du modèle EPA, les options de choix sont représentées par des ensembles de caractéristiques : par exemple, si l'option correspond à l'achat d'un bien, ce dernier est décrit par l'ensemble des attributs qu'il possède, approche qui rappelle celle de Lancaster (1966). Tversky suggère de décrire le choix final comme le résultat d'un processus stochastique d'élimination successive des options : les caractéristiques communes de l'ensemble de choix considéré sont éliminées car elles ne peuvent servir à discriminer entre les options ; une caractéristique est sélectionnée aléatoirement et toutes les options ne possédant pas cette caractéristique sont éliminées.

La probabilité de sélectionner un attribut est d'autant plus élevée que son utilité est élevée ; si les options restantes possèdent encore des caractéristiques

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spécifiques, on retourne à la première étape. Dans le cas contraire, si les choix résiduels ont tous les mêmes caractéristiques, la procédure prend fin. S'il ne reste qu'une option, cette dernière est sélectionnée sinon, toutes les options ont une probabilité égale d'être sélectionnée.

Le concept d'attribut de qualité est étroitement lié avec l'innovation et l'imitation. En effet, l'innovation permet non seulement de créer un attribut mais elle peut aussi entrainer la modification de l'attribut central d'un produit. En effet, il y a des produits qui ont des attributs majeurs qui permettent d'identifier ce produit. La modification des attributs d'une catégorie présente le risque de remettre en question l'identification de la catégorie d'appartenance d'un produit. La nature de la modification des attributs a donc un impact sur les préférences des consommateurs. C'est dans cette optique que Rossella Sorio et Béatrice Siadou-Martin, (2018) s'intéresse à l'impact de la modification du contenu en alcool, perçu comme attribut central de la catégorie « vin », sur la catégorisation et les préférences des consommateurs. Cette étude a été conduite auprès de consommateurs français et italiens, deux pays caractérisés par une ancienne tradition viti-vinicole. L'étude montre que la modification de cet attribut impacte la catégorisation, car peu de répondants identifient le vin allégé en alcool comme un vin. En revanche, les résultats entre les deux pays diffèrent quand on considère l'importance du critère « contenu en alcool » lors de l'achat et de la consommation du vin. Alors que pour les répondants français cet attribut n'intervient pas comme un critère discriminant, il est de toute première importance au moment de l'achat et de la consommation auprès des sondés italiens.

Les produits agroalimentaires ne sont pas en marge de l'innovation. En effet, les produits agroalimentaires sont soumis à plusieurs normes de qualités et du point de vue des consommateurs, la qualité est hautement prisée. Il y a un lien très étroit entre qualité des produits agroalimentaire et préférence des consommateurs. La qualité est un attribut majeur qui affecte considérablement le choix des consommateurs. Ainsi, Sihem Dekhili et Mohamed Akli Achabou,

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(2013) montrent qu'en France, comme dans la plupart des pays européens, les produits agroalimentaires ont été exclus du processus d'écolabellisation. Le label AB1 reste la référence pour la valorisation de ces produits. Ils se proposent dans cette recherche de déterminer dans quelle mesure le label écologique, ajouté au label biologique, pourrait valoriser les produits agroalimentaires. Leur étude empirique portant sur le cas des oeufs, a été menée auprès de 85 consommateurs français. Les résultats de leur analyse conjointe montrent que l'utilisation combinée des deux labels influence significativement les choix des consommateurs.

À travers le choix de produits labellisés, les consommateurs peuvent exprimer des motivations altruistes liées à leurs préoccupations envers la société et/ou l'environnement (l'exemple des produits équitables, écologiques...) et/ou des motivations privées, plus égoïstes telles que la recherché de produits de qualité supérieure et la préservation de la santé (l'exemple des produits biologiques). Plusieurs recherches sur la certification, notamment en économie, ont examiné la question du consentement à payer et montré que les consommateurs acceptent souvent que les prix des produits certifiés soient plus élevés que ceux de leurs homologues conventionnels (Harris, Freeman, 2008) et sont prêts à payer plus pour les acquérir (Blend, Van Ravenswaay, 1999 ; Laroche et al., 2001 ; Maguire et al., 2004 ; Gam et al., 2010). Les recherches ont noté, en revanche, une hétérogénéité des préférences pour les labels selon la catégorie de produits considérée. Onozaka et McFadden (2011), à travers une étude menée aux États-Unis sur le cas de deux produits alimentaires : tomates et pommes, ont constaté que la certification biologique et l'allégation sur l'empreinte carbone sont valorisées seulement dans le cas des tomates et que le label commerce équitable affecte la préférence des consommateurs uniquement dans le cas des pommes. Ainsi, McCluskey et Loureiro (2003) estiment que les écolabels peuvent s'avérer efficaces pour certains produits plutôt que pour d'autres. Par ailleurs, d'autres

1 Le logo AB certifie que le produit labellisé est issu d'une agriculture soucieuse du respect des équilibres naturels, qui exclut l'usage des produits chimiques de synthèse, des OGM et qui limite l'emploi des intrants (Ministère de l'Agriculture, 2011).

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facteurs tels que le profil des consommateurs, le prix à payer et l'organisme certificateur interviennent dans la préférence pour les labels (Johnson et al., 2001).

De plus, le prix d'un bien peut être perçu comme un indicateur de qualité du produit. Les études consacrées au comportement du consommateur ont toujours accordé une large place à la référence au prix, considéré comme unique stimulus ou comme l'un des multiples attributs déterminants de l'achat d'un produit. En effet, la notion de prix de référence, semble s'imposer comme source d'un nouveau paradigme s'inscrivant dans une tradition de recherche bien établie sur la perception du prix par le consommateur (Monroe, 1973, 1979 ; Thaler, 1985 ; Mc Goldrick et Marks, 1987 ; Klein et Oglethorpe, 1987. Tuli, Boring et Gonsior, (1964) introduisent le niveau du prix de référence dans leur méthodologie d'étude de la relation prix-qualité. Gabor et Granger (1964, 1966) fondent leur approche du produit nouveau (avec des attributs spécifiques) sur cette notion, encore mal définie, de prix de référence, au sens de : prix d'un produit déjà connu et comparable par l'usage, la fabrication au produit nouveau. Dès 1973, Monroe utilise également le prix de référence dans son analyse de la théorie du niveau d'adaptation (Helson, 1964) de manière cohérente avec les tout premiers travaux sur la perception du prix (Scitovsky, 1944-45). Le prix de référence est alors considéré comme prix standard ou « juste » prix dans la psychologie du consommateur.

Le consommateur, compte tenu de ses capacités de traitement et de mémorisation (Tellis et Wernerfelt, 1987), aura tendance à sélectionner, parmi les informations disponibles, celles qui concernent son « ensemble évoqué ». Ainsi : il consacre plus de temps à la collecte d'informations, il utilise plus de critères pour comparer les marques, il perçoit davantage de différences entre les marques, il est plus exigeant (sa marge de tolérance pour chaque attribut du produit est plus faible).

Selon le type de produit, le reclassement et la formation des prix de référence, subjectifs, seront obtenus par recherche d'information préalable à l'achat ou par

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apprentissage. Dans l'identification des catégories, le consommateur pourra utiliser des attributs intrinsèques ou extrinsèques du produit, selon les informations disponibles. Il apparaît notamment que, dans l'évaluation, le rôle des attributs extrinsèques diminue au profit de ceux qui sont intrinsèques au fur et à mesure de l'accumulation de connaissance du produit (Rao et Monroe, 1988), c'est-à-dire lorsque l'information du consommateur devient moins imparfaite. Alors que la connaissance du produit augmente, les prix et les autres variables extrinsèques ne sont utilisés que si ces variables ont prouvé leur relation avec la qualité du produit. Par ailleurs, les consommateurs peu expérimentés, mal informés, auront tendance à utiliser le prix, et les autres variables extrinsèques, comme indices de qualité. Ces relations entre le niveau d'information et l'évaluation par des critères intrinsèques ou extrinsèques dépendent en fait de facteurs individuels (Lichtenstein et alii 1988) : la conscience du prix et l'implication dans le produit. Les niveaux de conscience du prix varient considérablement d'un produit à l'autre (Me Goldrick et Marks, 1987) de même que la relation prix-qualité (Gernster, 1985). Plus le consommateur a une expérience d'achat élevée, plus il aura tendance à choisir un produit à prix bas et un consommateur inexpérimenté, un produit à prix élevé (Lambert, 1972). Moins le consommateur se sent apte (au sens de confiance en soi) à juger de la qualité des attributs, plus il choisit un produit à prix élevé (Lambert, 1972, Wheatley et Chiù, 1977). L'hétérogénéité des attitudes montre qu'aucun indice extrinsèque ne fournit une information satisfaisante (Grossman et Stiglitz, 1980 ; Gerstner, 1985) : certains consommateurs prennent la peine de rechercher des informations sur les attributs intrinsèques, d'autres se limitent aux signaux extrinsèques, de connaissance plus facile. Par exemple, l'effet de la marque sur la qualité perçue semble plus fort que celui du prix et du point de vente (Rao et Monroe, 1990).

De même plusieurs études montrent que les attributs des produits jouent un rôle fondamental dans la fixation des prix de ces produits. En effet, La théorie des caractéristiques rationalise une pratique empirique plus ancienne, celle de la

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régression hédonique, permettant de mesurer l'impact des attributs d'un produit sur son prix. Cette pratique consiste à régresser le prix du bien sur certains de ses attributs. Le prix caché, d'un attribut est alors défini comme la dérivée du prix du produit par rapport à cet attribut. Dans le cadre d'un marché parfaitement concurrentiel, il s'interprète comme la valeur que les consommateurs attribuent à une unité supplémentaire de la caractéristique. Si le prix caché ou implicite estimé est non significativement différent de zéro, soit la caractéristique n'est pas perçue, soit elle n'est pas considérée comme une caractéristique importante et n'est pas valorisée par les consommateurs (Lecocq ; Simioni, 2005).

Combris, Lecocq et Visser (1997 et 2000) estiment des équations de prix hédoniques pour les vins de Bordeaux et de Bourgogne, en considérant non seulement les caractéristiques objectivées du vin (c'est-à-dire celles qui sont inscrites sur l'étiquette : millésime, appellation, classement), mais aussi les caractéristiques sensorielles, de manière à connaître la valeur que les consommateurs accordent implicitement à ces deux types de attributs. Les résultats montrent que si les prix dépendent des attributs objectivés, ils dépendent beaucoup moins nettement des attributs sensoriels, et sont plus faiblement corrélés avec les notes des experts qu'avec le classement par exemple.

Le prix d'un bien dépend de ses attributs objectifs et subjectifs et le choix de ce bien par les consommateurs est aussi influencé par ces dernières (Luo, Kannan et Ratchford, 2008) ; (Lawton ,2006). Ces auteurs, considèrent les attributs subjectifs comme latent dans leur modèle. La recherche sur les prix dans l'industrie des services ne dépend pas beaucoup de l'économie théories comptables (Schlissel et Chasin, 1991). Une autre spécialité dans la recherche de la tarification est l'asymétrie de l'information. Si le consommateur est incapable d'identifier la qualité du produit et ses attributs différenciés, ils s'appuient sur la qualité moyenne des attributs (Nagle, 1984). Il est plutôt dominant dans la tarification des services que l'on peut voir la qualité du service seulement quand il est livré. Wilson (1980) trouve que les consommateurs seront

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plus vers l'effet qualité-prix quand ils ont moins d'informations sur le produit. L'interaction entre les fournisseurs de services et les consommateurs est un autre aspect du service livraison et, partant, les conditions de l'offre et de la demande diffèrent du marché local qui, à son tour, tend vers une structure de marché plus fragmentée (Taylor, 1972).

Dans le même ordre d'idée, Atanu Adhikari, (2013) font une étude sur la tarification d'un produit expérimental et ses attributs objectifs et subjectifs. En utilisant le Modèle hybride conjoint (Goldbarg, Green et Wind, 1984), le résultat de la recherche montre que les clients ont une utilité séparée pour les attributs subjectifs et objectifs d'un produit et ils sont prêts à payer une prime importante pour les attributs subjectifs. Il montre également qu'il y a une marge de manoeuvre suffisante pour que les spécialistes du marketing puissent repenser un produit expérimental qui combine les proportions différentes d'attributs subjectifs et objectifs.

La recherche des produits de qualités conduit les producteurs à adopter des stratégies de différenciation verticale. Cette stratégie va favoriser l'apparition des nouveaux produits de qualité répondant ainsi aux préférences des consommateurs. Ainsi, l'ouverture sera d'avantage une très bonne chose car elle donnera d'une part un producteur des nouvelles parts de marchés et d'autre part aux consommateurs un important nombre de biens et services de bonne qualité ce qui va favoriser les échanges intra-branche.

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"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984