LISTE DES ABREVIATIONS
Ø CIC : Conseil internationales des
céréales.
Ø BYDV : Jaunisse nanisante.
Ø CIMMYT : Centro internacional de mejoramiento de
maiz y trigo.
Ø CNCC : Centre national de contrôle et de
certification de semences.
Ø CV : Coefficient de variation.
Ø CEI : communautés des états
indépendants.
Ø DDL : Degré de liberté. ET : Ecart
type.
Ø ETP : évapotranspiration potentiel
Ø FG : Faculté germinative.
Ø FUS : Fusariose
Ø Fig. : Figure.
Ø g : Gramme.
Ø GS HS : Groupes homogènes.
Ø Hr : Humidité relative.
Ø ha : Hectare.
Ø ICARDA : international center for agricultural
research in the dray areas.
Ø INRA : Institue national de la recherche agronomique.
Ø ITCF : Institue national des céréales et
des fourrages.
Ø ITGC : Institue national des grandes cultures.
Ø INA : Institue national des sciences
agronomiques.
Ø ING : ingénieur.
Ø Jrs : Jours.
Ø mm/an : Millimètre par an.
Ø MS : moyennement sensible.
Ø MR : moyennement tolérant.
Ø OIDI: Oïdium.
Ø P MOY : précipitation moyenne.
Ø pH : potentiel d'hydrogène.
Ø PMG : Poids de milles grains.
Ø P E : piétin échaudage.
Ø PNBA : Programme national de l'amélioration du
blé.
Ø PROBA : Probabilité.
Ø Qx : Quintaux.
Ø Qx/ha : Quintaux par hectare.
Ø R : résistant.
Ø RAVAG : Ravageur.
Ø RB : Rouille brune.
Ø Rdt : rendement
Ø RJ : Rouille Jaune.
Ø RS : Reserve utile.
Ø SCE : Somme des carrés des écarts.
Ø SEPT : Séptoriose.
Ø T : tolérant.
Ø TB : très bonne.
Ø T SPOTE : Tain Spot.
Ø T°MOY : Température moyenne.
Ø UE : Union Européen.
Ø V : Variétés.
Ø Kg/habitant.
INTRODUCTION GENERALE
En Algérie, la céréaliculture demeure le
pivot de l'agriculture, c'est une filière stratégique et
représente un poids considérable dans l'économie agricole.
Les céréales sont la principale source calorique
pour les différentes couches de la population quel que soit leur niveau
de vie. Elles assurent 60% de cet apport et 71% de l'apport protéique
(Padilla et Oberti, 2000 cités par kellou, 2008).
La production des céréales en Algérie,
avec le blé dur comme l'espèce la plus cultivée en
occupant 41% de la sole céréalière (Anonyme,
2009) demeure très insuffisante pour satisfaire la demande de
ce produit de large consommation estimé par Zaghouane et al.
(2006) à 220 kg/an/habitant. Avec une production atteignant
15 q/ha dans le meilleur des cas et face à une demande sans cesse
croissante, l'Algérie continue d'importer massivement le blé dur
de l'étranger pour couvrir une partie de ses besoins ce qui
pénalise grandement l'économie du pays.
Les différentes fluctuations et la faiblesse des
rendements sont liés d'une part aux matériels
végétales peu performent et souvent inadaptés, et d'autre
part aux techniques culturales appliqués.
Afin d'atténuer cette dépendance alimentaire, un
développement plus intense s'est effectué en matière
d'introduction de nouvelles variétés dont l'objectif est de
rechercher les mieux adaptés à notre climat, les plus
résistantes aux maladies, et avec de bonne qualité technologique,
dans le but d'homologuer ces nouvelles variétés et de les
inscrire au catalogue national.
C'est dans ce contexte que s'inscrit notre travail, qui
consiste en une étude d'adaptation de 27 nouvelles
variétés de blé dur en zone Sub-humide.
L'étude de ces variétés, prises en
charges dans ce mémoire fait partie d'un essai national pour
l'année 2010-2011 à l'ITGC.
La première partie de notre manuscrit présente
une étude bibliographique sur le blé dur, la seconde traite les
matériels et méthodes que nous avons adoptés, ainsi que
l'analyse et l'interprétation de nos résultats.
Chapitre I
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