CONCLUSION
Pour exister dans un environnement concurrentiel, l'entreprise
doit satisfaire ses clients et générer un profit
c'est-à-dire réaliser un chiffre d'affaires supérieur
à la somme de ses coûts (salaires et charges, achats, frais de
fonctionnement, amortissement des investissements, impôts et taxes). Par
conséquent, elle doit assumer la gestion de quatre types
d'activités interdépendantes : la gestion d'une production
matérielle ou immatérielle, la gestion d'une main d'oeuvre, la
gestion de relations avec le marché, la gestion de problèmes de
financement.
De notre réflexion sur le thème
« Relations entreprises-banques : cas de MONO
NEGOCE », il en ressort que la relation bancaire de l'entreprise est
mise à mal par certains dysfonctionnements provenant de la
clientèle.
La clientèle de l'entreprise règle ses achats
soit en espèces soit par chèque. Les chèques qui font
l'objet de règlement et remis à l'encaissement reviennent souvent
impayés. Ceci fragilise l'entreprise auprès de son banquier. En
plus les ventes à crédit matérialisées par des
traites entrainent des charges bancaires et constituent un manque à
gagner pour l'entreprise.
Pour palier à ces problèmes, l'entreprise doit
reconsidérer sa relation avec la clientèle afin de redresser sa
relation avec les banques. De plus l'équipe dirigeante doit
réorganiser la structure interne de MONONEGOCE pour une nouvelle
dynamique au sein de l'entreprise.
A la fin de notre étude, nous osons croire que
l'intérêt porté à notre thème est
partagé, à travers ces quelques lignes abordées ; et
que nos remarques et suggestions seront pris en compte afin d'améliorer
et consolider la relation bancaire de l'entreprise.
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