Le défi
du désendettement soutenable
en Afrique subsaharienne :
Au delà de l'initiative PPTE
Claire Barraud
Master Recherche Économie Internationale &
Globalisation Spécialité Politiques Économiques et
Sociales Année universitaire 2006-07
Sous la direction de Chantal Euzéby
Remerciements
Ce travail représente l'aboutissement d'une analyse
économique qui s'inscrit dans une perspective citoyenne.
L'enrichissement personnel qui en résulte, non seulement au niveau de la
méthodologie d'analyse et de la rigueur d'écriture, mais surtout
quant à la concrétisation d'un projet qui me tenait à
coeur, me laisse penser que ce cursus universitaire s'achève sur le
sentiment d'accomplissement et d'espoir que j'espérais ressentir en y
entrant, il y a cinq ans.
Je sais maintenant que, quoi qu'il arrive, je continuerai
à «rechercher» ce sentiment de rendement à travers des
travaux tant économiques que sociaux. Et « tout accroissement de
rendement exige un accroissement plus que proportionnel de force» (Gide
C.)
Car la science économique étant une science
humaine, et non une science exacte, le nombre de contre-exemples permettant de
discuter une théorie doit toujours être plus exhaustif et plus
ostentatoire.
Or, je dois ces sentiments et cette volonté en tout
premier lieu à Chantal Euzéby, dont la qualité et la
sincérité des travaux, tout comme celles de professeur et de
directeur de mémoire, sont rares. Sa pédagogie, ses conseils, ses
encouragements, mais aussi ses exigences de rigueur m'ont en effet permis de me
dépasser. J'ai énormément appris, merci.
Je tiens également à remercier
Jean-François Ponsot, qui a pris, sur son emploi du temps chargé,
la peine de me donner ses avis pertinents pour mieux m'orienter. Je regretterai
son absence lors de la soutenance, tant attendue, de ce travail auquel il a
participé.
Je suis également très reconnaissante à
l'égard de Redouane Taouil, qui, peut-être sans même le
savoir, a amorcé en moi une pression positive qui m'a rendue d'autant
plus volontaire à des moments où je commençais à
douter. J'apprécie de m'asseoir sur les bancs de la place Victor Hugo,
c'est apaisant...
Mais pour travailler efficacement, il est tout aussi essentiel
d'être bien entourée au niveau personnel.
Dans ce domaine, je dois exprimer ma gratitude en premier lieu
à Sylvain Briand. Carje n'aurais pas eu le privilège d'avoir une
illustration exclusive en page de couverture, ni ces tableaux et graphiques
soigneusement insérés en annexe, sans lui. Alors je m'excuse
d'abord de l'avoir pressé pour obtenir un tel résultat plus
tôt que prévu, etje le remercie ensuite d'avoir cru en moi avec
ses « gambate ». Je lui dois la mise en page de ce travail.
Je n'oublierai pas non plus l'épaule indispensable de
mon Thierry Romestant. Personne d'autre n'aurait pu aussi bien me consoler, me
rassurer et m'encourager, tout en m'admonestant et en m'enfermant dans ma
chambre pour que je travaille ! Je lui dois la touche humaine de cette
étude.
Merci également à Fanny Romestant et Angie Peho,
sans qui cet écrit contiendrait plus de fautes d'orthographe et de
frappe qu'il ne le devrait. Alors, encore merci à vous d'avoir pris le
temps de relire les différentes parties avant que je ne m'y
atèle. Le gain de temps a été d'autant plus grand.
Enfin, même s'ils sont à 800 kilomètres de
moi et que je ne l'ai pas vus depuis six mois, je remercie mes
grands-mères, ma mère et mon père, sans qui
déjà que je n'aurais pu poursuivre mes études à
l'université, avoir régulièrement des bons produits
réconfortants du sud-ouest, et dont j'avais simplement besoin d'entendre
la voix, même uniquement par téléphone.
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