III.4.2. Variation du temps de pause
1200 1000 800
400 200 0
600
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
pause time
RDIRECTION RPGM
RWP
Figure 4.12 : AODV_temps de pause_AVG
6000 5000 4000
2000 1000 0
3000
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
pause time
RDIRECTION RPGM
RWP
Figure 4.13 : AODV_temps de pause_NRL
100 90 80 70 60 50 40 30 20 10
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
pause time
RDIRECTION RPGM
RWP
Figure 4.14 : AODV_temps de pause_NRL
Contrairement aux cas de la variation de vitesse, nous
observons que le RWP et RD donnent des résultats similaires pour le
temps de délivrance de paquet ; pour le taux de paquet reçu et
nombre de paquet de contrôle généré, le RWP,
même s'il est très proche, est meilleur par rapport au RD. Dans
tous les cas, le protocole de routage AODV donne des résultats plus
satisfaisant sur les deux modèles d'entité par rapport au RPGM.
L'effet du temps de pause est bien évidemment la stabilité du
réseau, moins il y a de mouvement et plus les groupes seront
dispersés. La dispersion des groupes dans le RPGM n'a pas d'impact
important sur le nombre de paquet de contrôle généré
dans la mesure où le processus de recherche de route n'est
déclanché quant cas de besoin.
IV. Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons parlé des environnements
de simulation existant sur le marché en mett ant l'accent sur le NS2.
Nous avons parler de la philosophie de NS2 en générale avant de
passé en revu les modèles de mobilité que nous avons
implémenté. Parmi ces modèles, nous avons utilisé
le modèle de mobilité de promenade aléatoire avec pause et
le modèle de mobilité de direction aléatoire pour y tester
les protocoles de routage OLSR et AODV. Nous n'avons pas utilisé la
version du modèle de mobilité de section de ville pour nos tests
car les paramètres que nous avons choisi pour tester les protocoles de
routages n'existe ou ne sont pas perçu de la manière dans ce
modèle que dans les autres. En outre, nous avons testé les deux
protocoles, évoquer précédemment, sur un modèle de
mobilité de groupe, le RPGM, qui est implémenté par le
groupe de recherche de T. Camp. D'une vu générale le OLSR donne
de bon résultat, pour une variation de la vitesse, lorsqu'il est
simulé sur RWP que sur le RD. Quant à la variation du de pause la
tendance s'inverse. Pour le protocole AODV, la situation
est tout à fait le contraire de celui du OLSR. Dans
tous les cas, les deux protocoles semblent donner de meilleur résultat
lorsqu'ils sont simulés sur les deux modèles d'entité que
sur le modèle de mobilité de groupe RPGM.
En fin, nous somme convaincu que les performances d'un
protocole de routage varie en fonction du modèle de déplacement
utilisé. Il est aussi important de noter que les paramètres
passés en argument du générateur du fichier de mouvement
peu très bien influé sur les résultats des simulations,
par conséquent il est possible de simuler les mêmes protocoles de
routage sur les mêmes modèles de mobilité et avoir, au
finale, des résultats différents.
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