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Prévalence de la co-infection à  gardnerella vaginalis et candida spp chez les femmes ayant été consulté à  l'hôpital Laquintinie de Douala


par ISSA bi Ahmadou ABDOUL WAHAB
Universite de Ngaoundéré - Licence en Sciences Biomedicales 2021
  

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II.1.3.4 Déséquilibre lié à un facteur pathologique

? Le diabète

Les patientes diabétiques sont plus sujettes aux infections vulvo-vaginales que les femmes qui n'en souffrent pas, en particulier celles dont le diabète est mal pris en charge (Patel et al., 2004). En effet, la présence de glucose dans les sécrétions vaginales constitue une source nutritive pour les levures et favorise leur adhérence, leur croissance et l'expression de leurs facteurs de virulence (Amouri et al., 2010). L'hyperglycémie a également un impact sur l'immunité, en inhibant l'action des polynucléaires neutrophiles et, par ce mécanisme, diminue leur capacité à phagocyter les agents pathogènes et à éliminer les levures (Anane et al., 2010).

? Le VIH

Les femmes séropositives sont plus fréquemment touchées par la candidose vulvovaginale (Sobel, 2007). La pathologie infectieuse est plus persistante chez les immunodéprimés (mais les symptômes ne sont pas plus sévères) et varie en fonction de la charge virale (Anane et al., 2010). D'autres formes d'immunodépression (neutropénie, cancer), ainsi qu'une altération de l'état général des patients sont des facteurs pouvant augmenter le risque de candidose vulvovaginale (Amouri et al., 2010).

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