10° LA RECHERCHE BIBLIOTHEQUE
Elle se fait en se focalisant sur les ouvrages
conservés en bibliothèque ou dans des librairies.
11° LA RECHERCHE EN LABORATOIRE
Ce type des recherches se fait en sortant un objet de son
milieu d'évolution habituelle et le placer dans un milieu qui, tout en
n'étant pas identique à elle, répondra à un certain
nombre de critères et visera à obtenir un comportement
quelconque. Elle sert à l'expérimentation.
12° LA RECHERCHE GLOBALE
Elle est une étude qui se fait autour d'un
thème, un phénomène ou un sujet et qu'on veut
étudier dans sa globalité ou son intégralité.
13° LA RECHERCHE ECHANTILLONNEE
Ici, comme il est difficile d'étudier une population
dans son intégralité, on préfère travailler avec de
petits échantillons représentatifs, c'est-à-dire ; de
petits groupes sélectionnés de telle sorte que les comportements
ou les principales caractéristiques de la population se retrouvent dans
chaque groupe.
14° LA RECHERCHE MONOGRAPHIQUE
Elle est une étude approfondie (complète et
détaillée) sur un sujet précis relativement restreint.
15° LA RECHERCHE DESCRIPTIVE
Comme son nom l'indique, c'est une étude centrée
sur la description des faits. Elle vise l'énumération des
caractères de quelque chose. La description consiste à
déterminer la nature et les caractéristiques des
phénomènes et parfois à établir les associations
entre eux.
16° LA RECHERCHE CLASSIFICATRICE
Elle est une étude approfondie qui vise la distribution
par classes ou catégories des objets ou individus
hiérarchiquement selon une logique ou des critères bien
déterminés. La classification consiste à
catégoriser, regrouper, mettre en ordre pour permettre des comparaisons
ou des rapprochements. Les faits observés, étudiés, sont
ainsi organisés, structurés, regroupés sous des rubriques,
sous des catégories pour être mieux compris.
17° LA RECHERCHE EXPLICATIVE
C'est une étude détaillée visant
l'éclaircissement du sens de quelque chose. Elle cherche tout ce qui
rend compte d'un fait, un phénomène.
Expliquer, c'est répondre à la
question « POURQUOI? ». C'est faire voir comment un
phénomène est né et comment il est ce qu'il est.
L'explication(ASSIE, 2018) consiste à clarifier les
relationsentre des phénomènes et à déterminer
pourquoi ou dans quelles conditions tels phénomènes ou tels
événements se produisent.
18° LA RECHERCHE COMPREHENSIVE
Elle vise à aboutir à ce que l'esprit humain
puisse avoir la facilité de saisir quelque chose qui englobe d'autres
idées ou objets.
19° LA RECHERCHE DISCIPLINAIRE
La recherche s'inscrit nettement et quasi-exclusivement dans
une discipline bien déterminée. Cela on s'en rend compte au
travers de l'objet et la méthode.
20° LA RECHERCHE INTERDISCIPLINAIRE
Elle s'inscrit dans le cadre d'une discipline mais elle ne
s'enferme pas sur le plan méthodique dans une discipline, contrairement
à la recherche disciplinaire.
Pour cela il faut :
- L'ouverture systématique et consciente à la
méthodologie d'une autre discipline.
- L'ouverture doit toucher le niveau méthodologique.
- L'ouverture doit être repensée selon la
discipline du départ. Car il ne faut pas dénaturer la discipline
de départ.
21° LA RECHERCHE PLURIDISCIPLINAIRE
On peut l'aborder dans le sens de la recherche
effectuée dans plusieurs disciplines.
22° LA RECHERCHE TRANS-DISCIPLINAIRE
Elle dépasse le cadre disciplinaire, de sorte qu'on a
du mal à savoir dans quelle discipline la placer.
Il existe également, une fonction au sein des
entreprises contemporaines appelée « fonction
recherche et développement » ou tout simplement
« fonction
recherche-développement », connue sous sa
célèbre abréviation « R&D ». C'est
l'ensemble des processus qui, à partir de la recherche fondamentale ou
d'une invention, permettent sa faisabilité industrielle.
Schumpeter(dynamique-mag, 2019) en est le précurseur
avec ses cinq types d'innovations(1912).
Elle est généralement constituée de trois
phases consécutives(e-marketing, 2019) :
recherche fondamentale, recherche
appliquée et développement.
La dernière phase est suivie des tests et
éventuellement du lancement des produits sur le marché. C'est ce
qu'on appelle l'innovation ou la mise en application des techniques et
découvertes de la recherche appliquée adaptées aux
objectifs commerciaux de l'entreprise.
La R&D à elle seule pourrait faire objet d'un
ouvrage entier tellement c'est un sujet vaste.
3.6. Etapes de la recherche scientifique
La recherche scientifique étant par essence une
démarche ordonnée et bien organisée pour trouver la
vérité, procède par une méthode rigoureuse et
reconnue afin de parvenir à ses fins. La méthode à
utiliser, doit être une méthode scientifique afin de valider les
résultats obtenus par le chercheur.
Le Professeur Tshund'olela précise
qu'une méthode est dite scientifique lorsqu'elle
possède :
- Un objet scientifique,
- Une fonction scientifique,
- Une approche scientifique.
Nous précisons qu'une méthode est selon le
dictionnaire Encarta Collection 2009 :
Un chemin qu'emprunte l'esprit pour atteindre la
connaissance ou pour démontrer une vérité (dans les
sciences)
|
Qui dit méthode, fait allusion aux étapes
conduisant à la résolution d'un problème. La
méthode scientifique fait quant à elle allusion aux approches
(méthodiques, rationnelles, objectives, ...).
Voyons à présent, quelles sont les étapes
d'une recherche scientifique. Dans son excellent cours d'I.R.S. dispensé
en deuxième année de Graduat à l'I.S.P/Bukavu pendant
l'année académique 2015-2016, le P.O.
Tshund'olela de l'UNIKIN distingue cinq (5) étapes:
- La construction de l'objet d'étude,
- La construction de la stratégie,
- L'heuristique,
- L'élaboration des résultats partiels et
enfin ;
- La synthèse et la formulation des
résultats.
ETAPE 1 : LA POSTULATION OU LA
CONSTRUCTION DE L'OBJET D'ETUDE SCIENTIFIQUE
Lorsqu'il entreprend un projet de recherche, le chercheur n'a
que des idées vagues sur le champ de recherche qu'il compte embrasser.
C'est pourquoi, il est pertinent qu'il s'asseye et qu'il
réfléchisse sérieusement à ce qu'il veut faire.
1°/ Choisir le sujet (thème)
d'étude :Bien évidemment, le chercheur devra
avoir au départ une idée sur ce à quoi il veut arriver.
Tout commence par le choix du sujet. Celui-ci devra remplir les conditions
suivantes :
- Il doit être du domaine du chercheur
et correspondre aux compétences de celui-ci.
- Il doit être pertinent. On ne
mène pas un travail de recherche pour le simple plaisir de le mener, il
doit y avoir une pertinence aussi bien scientifique que sociale.
La pertinence dont il est question ici, c'est par rapport aux
moyens disponibles pour le chercheur et pas forcément par rapport aux
moyens existants.
- Il doit être précis. Un sujet
est précis quand il est bien défini et bien
délimité, sans équivoque.
2°/ Explorer le sujet :
Ceci se fait soit par :
- La consultationdes personnes ressources ou
compétentes (des gens ayant des connaissances sur le sujet ou ceux ayant
fait des études dans le domaine avant).
- La consultation documentaire,
incontournable sur le plan scientifique.
Soit, en combinant les deux.
3°/ L'état de la question :
Le chercheur doit synthétiser systématiquement ce
qui a déjà été fait avant par d'autres chercheurs
et ce qui reste à faire.
4°/ Préciser le sujet (Définir
et délimiter): Pour délimiter le sujet, il
faut :
- Il y a des critères spatiaux : le milieu
concerné par le travail des recherches.
- Des critères chronologiques et temporaires : la
délimitation dans le temps.
- Des critères analytiques ou domaniales :
l'aspect dont traite le travail de recherche.
Tout cela dans le but de bien appréhender l'objet de
recherche dans son ensemble.
5°/ Choisir le problème à poser
sur l'objet : Le problème est choisi en fonction des
intérêts personnels, scientifiques et
sociétaux.
Intérêt scientifique car il faut fournir beaucoup
d'effort intellectuel.
Intérêt personnel car suite à l'effort
considérable à fournir, aux multiples corrections à
apporter ou alors aux nombreux culs-de-sac auxquels on aboutit parfois, on peut
être tenté de renoncer. C'est pourquoi, il faut aimer ce qu'on
fait.
Enfin, intérêt sociétal car ce qu'on doit
produire comme résultat des recherches devra profiter à toute la
société.
Le problème doit être
opérationnalisé c'est-à-dire préciser les objectifs
à atteindre, poser le problème sous-forme des questions.
La problématique est un problème posé de
façon à faire ressortir l'objectif et est posé sous-forme
des questions. En d'autres termes, la problématique est un
problème objectivé, opérationnalisé,
intellectualisé et bien cerné.
Par exemple, on peut se poser la question de savoir quelles
sont les causes financières de telle ou telle situation.
Ce n'est qu'après cette première
étape qu'on peut véritablement dire qu'on a un objet
d'étude scientifique.
ETAPE 2 : LA CONSTRUCTION DE LA
STRATEGIE(STRATEGIFICATION)
Cette étape est aussi appelée étape de la
définition de la stratégie de recherche ou encore l'étape
de la construction des modèles.
C'est une étape qui n'existe pas dans la
démarche de la vie de tous les jours. Elle permet de mettre au point une
stratégie pour le règlement d'un problème. Tout comme la
première étape, elle est complexe. Elle se construit
d'après le plan suivant :
1°/ Le choix de
l'hypothèse : C'est une solution provisoire dont la
véracité devra êtreprouvée au cours de la
recherche.
Qualités d'une bonne hypothèse
Une bonne hypothèse doit être :
· Pertinente : c'est-à-dire qu'il faut
qu'elle soit plausible (vraisemblable) et vérifiable scientifiquement
avec les moyens disponibles, une fois de plus.
· Avoir une méthodologie : en d'autres
termes, il s'agit de définir la méthodologie.
La méthodologie est l'ensemble des
méthodes, techniques et des approches appropriées à mettre
en oeuvre à un ensemble d'activités données.
La technique est l'ensemble d'opérations de
collecte et de production des matériaux.
La méthode implique quant à elle la
manière d'opérer. Elle dispose aussi d'une batterie
d'opérations pour sa réalisation. Contrairement à la
technique, la méthode intervient à toutes les
étapes de la recherche scientifique.
2°/ Le choix de la méthodologie :
une méthodologie doit être pertinente par rapport
à la problématique et à l'état de la question, mais
aussi par rapport à l'hypothèse.
3°/ La détermination (choix) des
moyens documentaires et autres essentiels : un large
éventail de documents s'offre au chercheur. Il doit effectuer un tri
sélectif et explorer ceux qui l'intéressent pour son travail.
Il n'est toujours pas évident de trouver exactement ce
qu'il faut avec la surabondance des sources et d'informations actuellement
disponibles. Pour cela, on peut se faire aider par quelqu'un qui s'y connait et
avoir ainsi des idées claires.
4°/ Le plan de travail :
c'est lorsqu'on reprend dans l'ordre les différentes activités et
le timing de ces activités aussi bien intellectuelles, techniques que
matérielles.
A signaler que le plan de travail est différent du
plan de rapport, ce dernier étant en fait le plan de
rédaction du travail.
Les deux premières étapes, constituent la partie
la plus difficile d'une recherche scientifique. Une fois achevées, l'on
peut se féliciter d'avoir déjà fait la moitié du
travail.
ETAPE 3 : L'HEURISTIQUE(AU SENS LARGE DU
MOT)
Le dictionnaire Microsoft Encarta
déjà cité plus haut dans ce travail, définit
l'heuristique (nom féminin) comme « sciences des
règles de la recherche scientifique et de la
découverte». Le Grand Robert de la langue
française quant à lui, définit le nom
féminin heuristique comme : « Partie de la
science qui a pour objet la découverte des faits ».
En Informatique, on oppose l'heuristique
à l'algorithmique. Le premier permet la
résolution d'un problème petit à petit par
évaluations successives et hypothèses provisoires, en tenant
compte de ce que l'on a fait précédemment pour tendre vers la
solution du problème. Le second est une succession d'étapes ou
procédures, conduisant à la résolution d'un
problème. A noter que, selon le dictionnaire du Jargon
informatique, l'heuristique ne garantit pas du tout qu'on arrive
à une solution quelconque en un temps fini alors que l'algorithme est
une séquence d'opérations visant à la résolution
d'un problème en un temps fini (on y mentionne une condition
d'arrêt, un point d'arrêt de l'algorithme). L'heuristique est
très utilisée en Intelligence artificielle et dans les
antivirus.
On entend ici par
« heuristique », la collecte, la
production et le traitement des matériaux. C'est l'étape de la
production des matériaux de recherche. En fonction de
l'hypothèse, on va chercher les matériaux qu'il faut rassembler,
produire et traiter.
Toutefois, les matières qui infirment
l'hypothèse doivent toutes aussi être collectées, car on ne
sait pas si l'hypothèse sera confirmée ou non ; mais aussi
l'hypothèse peut être élargie. Les matériaux qui
rétrécissent l'hypothèse ou qui limitent
l'hypothèse seront également collectés de la même
façon. En bref, toutes les matières en rapport avec la
problématique trouvées, quelle que soit la source ;seront
collectées et incluses dans les données brutes. Ce n'est
qu'après traitement qu'on peut voir poindre un certain ordre dans la
suite d'idées.
Sans matériaux, aucune recherche n'est possible.
L'objectif ici, est de récolter l'ensemble de matériaux en
qualité et en quantité pour commencer l'analyse et enfin passer
à l'étape suivante.
ETAPE 4 : ELABORATION DES RESULTATS
PARTIELS
On parle aussi de l'étude ou l'analyse et
l'interprétation des résultats. L'analyse et
l'interprétation nous amènent à mettre en relation les
données. Les relations peuvent être, entre autres :
- Les liens de causalité : de causes à
effets,
- Les liens de finalité : de moyens aux fins.
Analyser consiste aussi à décrire et non
seulement à expliquer. L'analyse n'est pas la décomposition
même si on ne peut analyser sans décomposer.
On peut distinguer à ce niveau, l'interprétation
descriptive de l'interprétation explicative. La
première cherche une signification appropriée, fidèle et
réelle alors que la seconde cherche plutôt la
compréhension.
L'analyse se fait sur les données,
c'est-à-dire après traitement. L'objectif de cette étape
est la présentation des résultats.
ETAPE 5 : SYNTHESE ET FORMULATION DES
RESULTATS
La synthèse est différente de la conclusion.
Elle consiste en :
· La récapitulation des résultats
partiels(rappel en résumant les principaux points),
· La synthèse-évaluation : on
évalue les résultats obtenus pour connaitre les lacunes et les
forces,
· La synthèse supplétive : comblement
des lacunes grâce au raisonnement proprement-dit (inférence).
· Le raisonnement inductif :
généraliser les résultats.
· La synthèse interprétative : pour
conclure (donner une réponse globale à des questions
partielles),
· La synthèse intégrative :
intégrer les conclusions trouvées dans des connaissances
existantes et trouver des brèches vers des nouvelles.
La conclusion, quant à elle, est une prescription, la
formulation des résultats.
La formulation consiste à communiquer (diffuser) les
résultats. Elle a pour étapes ou principales
activités :
Ø La composition du discours : c'est
l'élaboration du plan de rédaction. Le plan de rédaction
est la structure, la charpente du rapport (des recherches). Il est global et
détaillé, il peut être géographique, chronologique
ou thématique.
Il comporte les éléments
ci-après :
o L'introduction
C'est ici qu'on précise le titre du sujet, la
problématique, les hypothèses, l'état de la question, la
méthodologie, les sources d'information, la subdivision du travail, les
difficultés rencontrées ou encore la délimitation du
sujet.
o Le corps (développement)
Développement des faits et des phénomènes
observés ou étudiés durant les recherches
effectuées. A ce niveau, on doit ressentir également le niveau
scientifique du chercheur, sa capacité à mettre de la logique
dans le tas de données qu'il a récolté et
analysé.
o La conclusion
Elle comporte la synthèse des résultats
partiels et une conclusion ou récapitulatif de la problématique
et du ou des résultat(s) trouvés à l'issue du travail
scientifique.
o L'appareil scientifique du travail
Ici, on retrouve :
§ La bibliographie ;
§ Les notes et références (sources)
;
§ La webographie ;
§ Les annexes ;
§ Les tableaux et les différentes tables ;
§ Etc.
L'appareil scientifique est un précieux outil
permettant la vérification des affirmations avancées, la
compréhension (complète) de l'actualité de l'étude
et ainsi, la valeur du travail scientifique peut être facilement
dégagée.
Ø La communication ou discours
proprement-dit : la présentation devant un comité de
lecture ou un jury des spécialistes suivie généralement
d'une séance questions-réponses à l'épreuve des
faits. Le discours du chercheur durant sa présentation doit être
cohérent, logique et ordonné.
Il s'agit aussi à ce niveau de rédiger un
rapport (ou une littérature) au travers duquel les pairs d'abord et les
profanes par la suite, prendront connaissance des résultats des
recherches menées ainsi que leur apport sur l'état des
connaissances dans une branche donnée de la science, d'une part et de
l'autre ; de diffuser ou communiquer celles-ci.
PUBLICATION SCIENTIFIQUE VERSUS
LITTERATURE SCIENTIFIQUE(wikipedia, 2018)
L'expression « publication
scientifique » regroupe plusieurs types de communications
scientifiques et/ou techniques avancées que les chercheurs scientifiques
font de leurs travaux en direction de leurs pairs et d'un public des
spécialistes. Ces publications ayant subi une forme d'examen de la
rigueur de la méthode scientifique employée pour ces travaux,
comme l'examen par un comité de lecture indépendant
constitué de pairs.
La notion de « littérature
scientifique » désigne plus largement l'ensemble des
publications scientifiques. Les publications scientifiques permettent de
diffuser des informations techniques et scientifiques produites et
utilisées notamment par les chercheurs. Une partie de cette
littérature est réutilisée par les revues de vulgarisation
scientifique.
On peut distinguer les publications scientifiques selon leur
origine (académique, recherche privée...) ou selon support ou
type de parution :
- les revues scientifiques à comité de
lecture ;
- les comptes rendus de congrès scientifique
à comité de lecture ;
- des ouvrages collectifs rassemblant des articles de
revue ou de recherche autour d'un thème donné, coordonnés
par un ou plusieurs chercheurs appelés éditeurs ;
- des monographies sur un thème de
recherche
Seuls les travaux pouvant être classés dans les
catégories ci-dessus entrent généralement en
considération pour l'évaluation de la recherche scientifique et
des chercheurs (et de leurs laboratoires parfois) et les études
bibliométriques et scientométriques.
« Bibliométrie : Étude
quantitative de la production, de la distribution, de la consommation de
livres, de périodiques ou d'autres documents imprimés.
Statistique historique, étude quantitative des publications (d'une
époque déterminée). » (Le Grand
Robert de la langue française version 2.0, Op.cit.)
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